Au moment de mourir je laisserai la main dans le livre des vieux mots la main refermée sur les moineaux mobiles accouplés depuis toujours dans la volière de mon crâne au ciel souterrain les moineaux retournés à la chair qui roucouleront le sens dont le baiser me lèche mais les moineaux je les entends comme alouette ou miroir aux mouettes alors revient le peur de mille mensonges en si peu de mots seraient-ils les seuls moteurs de l’horloge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .