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3,75

sur 939 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai trouvé le premier livre bien meilleur.
En effet même si on retrouve avec plaisir les personnages finalement ils sont assez éparpillés dans l'histoire et il manque cette complicité qui m'a beaucoup plu sur le premier livre.
De plus il y a sur le milieu du livre des longueurs cela a manqué de rythme pour moi.
Par contre le final très bien construit et donne malgré tout envie de lire la suite
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Quelle déception, ce second tome !
Malgré ses défauts, j'avais bien aimé le premier volet de cette trilogie mongole : je m'étais attachée aux personnages, aux paysages, et même à l'intrigue pourtant déjà un peu confuse et tirée en longueur... La seule chose qui m'avait déplu, c'était la violence extrême qui s'abattait sur Oyun, et qui m'avait paru teintée d'un voyeurisme un peu malsain car elle était finalement assez gratuite dans le déroulement de l'histoire.
Mais alors là, ces maladresses narratives prennent une telle ampleur dans "Les temps sauvages", que cela finit par en rendre la lecture lourde et pénible !
L'intrigue, qui suit en parallèle quatre enquêtes, menées à la fois par Yeruldelgger, Oyun et un nouveau venu, Zarza, est emberlificotée et difficile à suivre, d'autant qu'on saute d'un enquêteur à l'autre, à la fois en Mongolie et en France. Il m'est arrivé de devoir revenir en arrière dans ma lecture pour comprendre ce qu'il se passait car j'avais perdu le fil de l'histoire. A force, ça lasse...
Et je ne me suis pas vraiment sentie récompensée de mes efforts, car le fin mot de l'histoire ne m'a pas franchement semblé à la hauteur des différentes pistes soulevées : tout ça pour en finir par une sorte de duel à la western dans la neige des steppes, c'est à la fois absurde et décevant.
Quant à ce que subit Oyun, en termes de violence à connotation sexuelle, on se retrouve à nouveau plongés ici dans une scène aussi invraisemblable que nauséeuse : à croire qu'elle y est abonnée, et c'est déplaisant de penser que c'est ce que l'auteur souhaite.
Bref, je ne crois pas que je vais me lancer dans le dernier volet de cette série... Dommage, car il y avait moyen de creuser ces personnages prometteurs et leur cadre de vie original de manière beaucoup plus subtile et haletante.
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Déçu par ce deuxième opus mettant en scène Yeruldegger, le commissaire mongol. Une histoire alambiquée mais sans grand intérêt ; ce qui faisait le charme du premier volume a un peu disparu : à multiplier les rebondissements, Ian Manook oblige le lecteur à échapper à la psychologie des personnages, ici juste effleurée et qui était si originale dans les premières aventures. La Mongolie et ses traditions "magiques" restent au second plan. A mon goût, un vrai ratage.
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Attention, coup de froid en perspective !!

Yeruldelgger, policier émérite en Mongolie, est suspecté du meurtre d'une prostituée qu'il a connu par le passé. Il va faire en sorte de résoudre cette affaire accompagné de son équipe dont Oyun et Solongo. Il l'a résoudra en mettant sa vie en danger sous l'air menaçant d'Erdenbat, son ex beau-père. Il ira au-delà des frontières de la Mongolie pour retrouver le fils de cette prostituée disparue mystérieusement. En parallèle, Oyun doit enquêter sur un cadavre écrasé par un yack venu du ciel... elle sera secouée par ses rencontres et mettra en oeuvre toute son énergie pour comprendre le contexte de ce meurtre. Elle se rend alors compte que cette enquête est en lien avec Yeruldelgger. Qui se cache derrière tout cela ? On suit les différents protagonistes à travers la Mongolie, la Russie, la France avec les services secrets, le FBI, un policier français de la ferroviaire... Zarza.

Mon avis sera mitigé. En effet, j'ai eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire et ne faire qu'un avec ce livre. Je trouve qu'il y a trop de détails, trop d'enquêtes mêlées entre elles, trop de protagonistes... ce qui peut perdre le lecteur dans sa lecture. J'ai failli abandonner mais j'ai tenu bon, j'ai enfilé mon bonnet, mon écharpe en laine et mes gants (en vrai c'était plutôt bougies et plaid) et je suis repartie à la conquête de la Mongolie, armée de ma patience afin de de débusquer un point positif dans cette lecture. Et ce fut la découverte de ce pays à travers les us et coutumes des habitants et la description des paysages qui m'ont donné envie de continuer afin de voyager à travers un pays inconnu.

Couvrez vous bien si vous voulez le lire car certains passages m'ont donné froid.
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De Ian Manook , j'avais lu et bien aimé « Yeruldelgger » . J'ai donc entamé « Temps sauvages » avec plaisir . On y retrouve les héros principaux . Mais cette fois-ci....déception ! Plusieurs intrigues dès le début et beaucoup de personnages puis au milieu du livre , sans crier gare , l'action quitte la Mongolie et part au Havre , et là , l'auteur m'a un peu perdu ….
Un embrouillamini ....une multitude de personnages , une intrigue pas très palpitante et assez alambiquée font que j'ai failli abandonner le livre aux 2/3 . En résumé , un livre que j'ai beaucoup moins aimé que le précédent . Je ne suis jamais vraiment entré dans l'histoire . J'espère que le prochain me séduira davantage !
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Ce deuxième roman policier des enquêtes du commissaire Yeruldelgger est nettement en-dessous du premier à mon avis. Si on retrouve les qualités du premier livre (essentiellement géographiques), ses défauts semblent exacerbés. En premier lieu, une violence omniprésente et gratuite avec un nombre de morts qui grimpent en flèche, sûrement parce qu'on tend vers le roman d'espionnage. Même les policiers mongols, censés être intègres, se mettent à tuer de sang-froid ; la vie ici ne vaut vraiment pas grand chose. Deuxième point énervant : le placement de produits. Pénible quand il s'agit de flingues ou de motoneiges, ça devient carrément scandaleux quand il s'agit de produits plus courants comme des téléphones ou des ordis. Troisième point faible : l'invention du double français de Yeruldelgger, Zarza (plus agent secret que flic) qui permet de situer une partie de l'action en France sans faire voyager le commissaire. Un signe que Zarza est trop copié sur Yeruldelgger, c'est qu'il n'interagissent presque pas, comme si le Français donnait le don d'ubiquité au Mongol mais que leur présence dans un même lieu était paradoxale. le cas de l'inspecteur Oyun, qui a été complaisamment violentée dans le premier tome, est typique du sexisme latent du livre où elle apparaît plus ou moins comme une cruche naïve et irréfléchie, qui sert de sujet sexuel à l'histoire. Ce deuxième livre sent beaucoup plus la testostérone que le premier !
Pour ce qui est de l'intrigue, comme dans le premier opus, on voit vite de quoi il retourne sauf que c'est beaucoup moins bien ficelé et qu'il faut faire un effort énorme pour raccrocher soi-même les différents éléments de l'enquête.
Ceci dit le livre se lit très vite et je donnerai sa chance au troisième volet La mort nomade qui, je l'espère, sera plus convaincant. Et enfin, je me suis fait un avis sur les titres de chapitre faits des derniers mots dudit chapitre : je n'aime pas car je me demande si l'auteur a fait exprès d'arrêter son chapitre de cette façon pour que le titre soit accrocheur ...
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J'ai décidé de prendre les transports dans la semaine pour aller au travail et d'en profiter pour lire ce second volume des aventures de mon inspecteur des steppes adoré. J'étais comme un ballon de baudruche toute gonflée d'air, pleine de passion, mais au fur et à mesure des pages j'ai perdu cet air frais pour finir toute fripée et baveuse. Poussant des cris, parfois de rage parfois de soulagement, faisant peur à l'ensemble des passagers du bus ("Non mais non!! S'il vous plaît c'est n'importe quoi!").

Une écriture avec beaucoup mais alors beaucoup de descriptions (je ne suis pas passionnée par les voitures je l'avoue et lire la recette de la marmotte dès 8h du matin pour une végé c'est compliqué surtout quand on est pas assisse dans le sens de marche du bus). L'histoire vire des fois beaucoup trop sur le fantastique ( trop trop même ) et certains personnages sont descendus dans mon estime (je ne dirai pas qui mais elle fut inutile).

Je lirai donc le troisième opus mais je vais me laisser du temps pour me remettre de cette petite déception.
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Le livre précédent de Ian Manook était sympathique , avec beaucoup de rebondissements et ..d'explosions !

Là , je ne l'ai plus suivi dans ces aller-retour Mongolie-France incessants avec une histoire qui se perd un peu ..

Je m'arrêterai là avec ce héros !
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J'avais émis un avis sur le tome 1. Je me garderai d'en émettre un sur le tome 2.
Vaste foutoir narratif, prétexte à des scènes absurdes, à une surenchère dans le grand n'importe quoi. Que cherchent-ils tous ? On n'en sait fichtre rien et, au fur et à mesure d'une logorrhée verbale étourdissante, on aperçoit un vaste trafic d'êtres humains dont on ne sait pas vraiment qui tire les ficelles : l'armée, le beau-père, les services secrets, aucun ou tous ?
Honnêtement, s'il y a un tome 3, je m'en passerai.
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Tout est pourri ou presque au royaume de Mongolie, où dans la confusion la plus totale, Yeruldelgger et Oyun démarrent une enquête périlleuse dans laquelle l'armée et les services secrets semblent nager dans la même eau trouble que les abominables trafiquants internationaux qui nous emmènent loin sur les docks du Havre, dans une intrigue au moins aussi compliquée que dans Usual Suspect.
Toute la géopolitique mondiale semble convoquée dans cette affaire, où le nombre de cartouches tirées est assez impressionnant.
Grandgousier le Yak, et Voltaire le gypaète, éclairent un peu la noirceur des événements, dans lesquels les loups sont plus sympas que les humains.
Un souçon de bonne cuisine normande et mongole, laisse à penser que l'auteur serait pas mal en critique gastronomique.
J'ai moins aimé ce deuxième opus signé Ian Manook, inégal, avec des longueurs, qui part dans tous les sens, même si le personnage de Zarza, le flic français est très réussi. A noter toutefois, certains dialogues assez réussis dans le plus pur style série B. Yeruldelgger perd un peu son âme dans cette affaire avec sa violence gratuite, oublié très longtemps quelque part dans un chapitre au milieu de nulle part, même si son « Kaiser Sose » pervers ne fait pas non plus dans la tendresse.



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