Diana, Constance, Elodie, Walter. 4 personnes d'horizons différents vont se croiser, s'approcher, s'apprivoiser. 4 personnalités intéressantes avec leur joie, leur peine, leur secret, surtout leur secret.
Un roman à quatre voix, donc, assez intéressant qui se lit très vite. Une écriture fluide, jeune, dynamique.
J'ai beaucoup aimé. On s'attache aux personnages, à certains plus qu'à d'autres. Personnellement, j'ai trouvé Walter assez exaspérant !
Bonne lecture.
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Un beau roman mêlant quatre personnages avec leur peine, joie et interrogation face à ce clochard pas comme les autres sur la place du village.
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Le roman collectif de quatre jeunes écrivains réunit quatre destins au hasard de la grande ville.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
"Je ne veux pas d'une jolie histoire, je ne veux pas passer dans ta vie et partir vers d'autres hommes, je ne veux pas être une habitude et puis un abandon, tu as changé ma vie, si tu ne veux pas de moi, alors je disparais, je ne serai pas triste, je te le promets, il n'y a pas d'amour malheureux, il n'y a que des histoires et tu es la mienne."
" Elle est de ces filles recluses dans leur monde alors que le monde s'arrête un instant quand elle passe."
" C'est doux comme mot, Shabnam, ça se murmure, c'est comme un vent chaud, du sud."
" et il sera né quelque chose de beau de mon corps, de ma peine, de mon labeur."
"Je n'aime que mes semblables, les perdus, les bestiaux, et puis les ombres."
Dans “L'Origine du mal”, le grand thriller familial de Sébastien Marnier, Jacques Weber incarne le seul personnage masculin, patriarche affaibli, et haï par les femmes qui l'entourent, et il faut dire qu'elles ont de bonnes raisons.
Dans ce rôle, il est extraordinaire de monstruosité caressante : chef d'entreprise “ami de Charles Pasqua”, il garde son vin sous clé, balance des phrases antisémites vautré sur son canapé, et s'invite, en slip, dans la chambre de Laure Calamy… Un éclatant retour au cinéma de la part de ce grand comédien de théâtre, qui, tout récemment, a aussi impressionné, et ému, cette fois, en chef d'entreprise au bord du suicide dans la deuxième saison de “En Thérapie”.
Il nous parle de ces emplois de colosse aux pieds d'argile, mais aussi de Depardieu, et d'un désir, neuf, de cinéma. Il joue certaines de ses réponses, il module sa voix, fascinant animal au milieu des bêtes empaillées…
Entretien réalisé à la galerie Design et Nature, située dans le 2ème arrondissement de Paris.
#jacquesweber #loriginedumal #sebastienmarnier
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