AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Émilie Antonucci (Illustrateur)
EAN : 9782081200692
275 pages
Flammarion (07/03/2007)
4.11/5   9 notes
Résumé :

" Les notions d'évolution et de progrès sont éminemment subjectives, voire anecdotiques, comparées à l'urgence de la seule question qui vaille : Que m'est-il permis de faire sur un territoire donné où j'espère pouvoir vivre durablement ? Ne pas le détruire, ne pas le souiller inutilement, cueillir les fruits nécessaires à ma subsistance sans mettre en péril la vie de l'arbre qui les porte. " L'au... >Voir plus
Que lire après Eloge de la simplicité volontaireVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Hervé René Martin dans son éloge de la simplicité volontaire construit son ouvrage entre essai sur la simplicité volontaire et carnet de bord d'une construction de maison économique et écologique. J'ai trouvé cela très intéressant pour qui s'intéresse à ce concept idéologique cependant le propos est parfois un poil extrême et un peu technique (mais très riche d'enseignement pour qui s'intéresse à la construction écologique.)
Commenter  J’apprécie          30

Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Comment comptes-tu t'en sortir sans mon aide ? demande le Diable, montre-moi un peu les cartes que tu caches dans ta manche. Tu ne veux plus de croissance ? Bien ! Que proposes-tu à la place ? Et il le demande avec une telle autorité qu'on ne peut imaginer ne pas lui répondre. Du coup chacun y va de sa proposition. Bien sûr le diable dispose d'une batterie d'experts, des gars triés sur le volet capables de te démontrer n'importe quelle théorie. Alors tout le monde se lance dans la discussion, avance des chiffres, conteste ceux de la partie adverse, développe sa batterie d'arguments. Et pendant ce temps? Tout continue comme avant et c'est autant de gagné pour le Malin.
Commenter  J’apprécie          20
Les hommes qui peuplaient l'univers paysan ne vivaient pas un âge d'or. Ils vivaient ce que Chilanti a appelé l'âge du pain, c'est-à-dire qu'ils étaient des consommateurs de biens de toute première nécessité. C'est sans doute cela qui rendait leur vie pauvre et précaire extrêmement nécessaire, tandis qu'il est clair que les biens superflus rendent la vie superflue.
Commenter  J’apprécie          30

Dans la catégorie : Au plan internationalVoir plus
>Production>Développement et croissance économiques>Au plan international (18)
autres livres classés : Aude (France)Voir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus


Lecteurs (21) Voir plus




{* *}