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EAN : 9782021481563
496 pages
Seuil (07/10/2021)
4.29/5   255 notes
Résumé :
Qu’ont donc en commun les plateformes logistiques d’Amazon, les émissions de Stéphane Plaza, les restaurants de kebabs, les villages de néo-ruraux dans la Drôme, l’univers des coaches et les boulangeries de rond-point ? Rien, bien sûr, sinon que chacune de ces réalités économiques, culturelles et sociales occupe le quotidien ou nourrit l’imaginaire d’un segment de la France contemporaine. Or, nul atlas ne permet de se repérer dans cette France nouvelle où chacun ign... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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C'est en les voyant, présenter leur livre dans une émission de télévision que j'ai eu envie de lire cet ouvrage.

Les auteurs nous y décrivent tout ce qui a évolué, changé, disparu, en France, des années 1980 à nos jours, en s'appuyant entre autres sur des graphiques, des cartes, etc.. C'est clair, argumenté, ultra vérifié et le fait de mettre tout en exposition, presque sur le même plan, fait surgir le portrait d'une France qu'on ne voyait peut- être pas comme ça.

Nouveaux modèles économiques / urbanisation/ campagnes/ tourisme / religion /classes moyennes/ Gilets jaunes / ( nouveaux ) métiers /culture/ nourriture / loisirs / vacances et j'en oublie...

Impossible pour les plus de trente ans de ne pas se rendre compte que la France bouge. Qu'elle soit mieux ou moins bien qu'avant n'est pas le propos des auteurs. C'est juste un constat, comme des photographies.
A travers les reportages ou débats télévisés, on a un aperçu de ces changements , mais certaines informations ont pu nous échapper ou être survolées.

Ce qui m'a le plus amusée (et stupéfaite) , c'est de découvrir la France de la drogue, traitée comme une part "normale" de l'économie...La cartographie des traffics, des go fast.

Ce que je ne savais pas : une des propositions de l'ex candidat Griveaux aux élections municipales à Paris, qui souhaitait que tous les collégiens parisiens deviennent bilingues anglais .

Ce qui ressort aussi avec tous ces graphiques, c'est les différences entre villes et campagnes, région dense ou pas, ce n'est plus LA France mais LES France...

Je ne suis ( vous l'aurez compris !) pas sociologue mais j'ai trouvé " La France sous nos yeux " très abordable, très facile à lire.
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.Dans la lignée de ses ouvrages précédents (L'Archipel Français, En immersion), Vincent Fourquet poursuit son inventaire de la société française en mutation, des changements intervenus entre le Monde d'Avant et le Monde d'Après.
Chez lui, ces notions ne se confondent pas avec celles invoquées par Emmanuel Macron dans sa période réformiste, ni avec l'attente du Monde d'Après Covid qui naquit durant le premier confinement et son ambiance surréelle. Il s'agit là de touts autres concepts.
Dans la pensée de Fourquet, le Monde d'Avant désigne l'époque dite des Trente Glorieuses, qui se prolonge en réalité, malgré la crise pétrolière, jusqu'au début des années 80.
Quant au Monde d'Après, c'est celui où nous vivons ; entre les deux, tout a changé ; c'est banal de le constater, mais souvent on ne réalise pas jusqu'à quel point il s'est agit d'une transformation en profondeur.
Pour ma part, né en 1951 (et en tant que tel ayant-droit à la stupide appellation péjorative de boomer), je peux dire que j'ai vécu sur trois siècles : je suis né en 1951, autant dire au XIXème siècle, dans le Monde d'avant le Monded'Avant, j'ai vécu ma jeunesse et ma maturité dans le Monde d'Avant, et je vieillis aujourd'hui dans le Monde d'Après.
Toutefois il me faut faire un effort conscient pour voir le passé d'après-guerre (qui est à peine celui dont parle Fourquet) et réaliser à quel point les choses ont changé
Car tout est différent, et je n'ai pas bien sûr la prétention de reprendre ici l'ensemble des développements à la fois exhaustifs et précis de l'auteur, mais voyons un peu :
Dans les années 60, nous vivions dans un état colbertien, où l'Etat intervenait, dirigeait et orientait l'économie, entre autres par le biais du Plan, en théorie incitatif, en réalité largement prescriptif.ILyé existait un important secteur public, appuyé sur un certain nombre de monopoles ; la Banque de France, et donc la monnaie, était entre les main de l'Etatt. Aucune entreprise privée, quelle que soit sa taille, n'aurait eu les moyens, ni même l'envie, de s'opposer à une demande de l'exécutif ; Il existait un secteur industriel considérable,réalisant un véritable maillage du territoire, et l'on était proche du plein emploi. Les travailleurs du privé étaient défendus par de puissants syndicats ; les salaires augmentaient régulièrement
La société civile était structurée par les deux piliers jumeaux, certes antagonistes mais remplissant des rôles comparables, de l'Eglise Catholique et du Parti Communiste, dotés chacun de sa morale propre, ces deux morales basées cependant très largement sur des fondamentaux communs
Dans son ensemble, la société était était régie par une morale commune, assez largement respectée.
Les solidarités familiales, de voisinage, de quartier, de village, étaient largement respectées ;
Elles s'appuyaient entre autres sur un maillage de petits commerces assurant l'essantiel des fournitures à la population et fournissant une possibilité de promotion sociale largement accessible aux classes populaires.
L'école de la République était à la fois égalitaire et élitaire et offrait des possibilités d'ascension sociale, parfois sur plusieurs générations. Elle produisait certes peu de diplômes, mais encore moins de chômeurs.
C'était cela, le monde d'avant.
Et tout cela a été démantelé à partir de 1980. Je ne vas pas me livrer à une comparaison terme à terme.
Disons seulement que deux forces principales ont été à l'oeuvre, communes à l'ensemble de l'occident, mais qui, en France, ont été curieusement mises en place par un Président dit de gauche.
La mondialisation, d'abord : ouverture des frontières et libéralisation des échanges ; destruction corrélative de la quasi-totalité du secteur industrialisé, et passage à l'agriculture productiviste, le tout énorme destructeur d'emplois directs et indirects, laissant des territoires saignés à blanc ; tentative de substituer aux emplois détruits un secteur tertiaire hypertrophié, basé en réalité très largement sur une économie de services à la personne, précaires, mal payés et peu gratifiants ; chômage de masse
La dérégulation ensuite, d'abord dans le domaine économique, bien sûr, et à la remorque du système anglo-saxon : démantèlement du service publics, privatisations (« vente des bijoux de famille ») souvent pour des raisons idéologiques, suppression des monopoles d'état, affaiblissement du droit du travail, mythe de l'entreprise, le tout entraînant la destruction des partis traditionnels de la classe ouvrière (avec celle de la classe ouvrière elle-même, affaiblissement des syndicats, bref de la plupart des structures d intermédiaires, mais aussi dans le domaine sociétal, l'anomie croissante de la société entraînant aussi une anomie morale, avec la quasi-destruction de l'ancienne morale commune
Il faut y ajouter la destruction du système éducatif que sa prétendue démocratisation a rendu plus inégalitaire, la disparition de la culture commune, éclaté en cultures d'origine étrangère, souvent antagonistes, et bien sûr les mutations ethniques de la société française.

Bref, un tableau fort peu encourageant. Il ne s'agit pas de dire que c'était mieux avant, car la France d'Avant n'était pas parfaite. Mais il est difficile d'aboutir à un bilan globalement positif.

Cette considération est personnelle et ne figure pas dans l'ouvrage, qui se limite à une description et à un constat d'une très grande qualité.
Il ne propose pas non plus de solutions. Ce n'est pas son rôle ; et peut-être n'y-en-a-t-il pas.

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Si cet ouvrage concourrait dans le cadre d'un prix tels les Goncourt ou Femina, on aurait pu lui attribuer un prix ; malgré tout il restera une référence littéraire pour l'année 2021 car on ne peut lui reprocher sa transversalité et son impact à quelques temps des présidentielles.

"La France sous nos yeux" se décrit comme un essai autant complet que sérieux, avec son lot d'éléments de sociologie qui se révèle être fort documenté et illustré avec des détails significatifs. À travers tous ces détails, les auteurs dressent tant un portait qu'un panorama de ce qu'est notre quotidien et de ce qu'il peut devenir, de sinon des évolutions que la France a connu depuis la fin des Trente Glorieuses et son pendant littéraire de Jean Fourastié.

Mieux envisager nos comportements actuels et à venir ainsi que leur mutation est de la sorte entre les mains de nos dirigeants s'ils se donnent la peine de prendre en compte les enseignements tirés de cet essai non partisan.
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C'est un travail très complet de sociologue qui nous livre un tableau de la France et de son évolution depuis les Trente Glorieuses. Un livre qui nous montre une société post-industrielle en pleine mutation, avec une hiérarchie déterminante des territoires, des métiers, des types de consommation.

Jérôme Fourquet, directeur du Département Opinions de l'Ifop, avait déjà écrit il y a deux ans "L'archipel français", où il nous montrait une France morcelée, tiraillée entre des tendances contraires et des populations se polarisant de plus en plus. Ici, avec le journaliste Jean-Laurent Cassily, qui travaille pour Slate.fr et L'Express, il s'agit de nous dévoiler une France au quotidien. les effets de la fermeture des usines, l'évolution du commerce et l'essor de la logistique avec Amazon, le tourisme, la spécialisation des territoires (gentrification rurale avec le Perche, par exemple..)

L'analyse de l'évolution de l'habitat est très bien rendue aussi avec l'apparition de l'idéal "Plaza majoritaire"...

Ce qui m'a le plus frappée dans ce livre, parfois un peu trop riche en informations et données à "digérer", c'est ce tableau d'une France fragmentée entre la France "premium" et la France "discount".. Quand les types de consommation donnent un sentiment d'appartenance ou non à la classe moyenne. Une classe moyenne qui évolue et qu'il semble de plus en plus difficile à rejoindre: ainsi le "ticket d'entrée" y est le Bac+2... un ticket pour rejoindre le monde du bureau qui va se démarquer du monde des magasins, des ateliers...

La peur du déclassement est ce qui revient le plus dans l'analyse des auteurs, peur qui se manifeste par exemple dans le type de commerce auquel on peut accéder.

Les auteurs égaient leur analyse en évoquant des films ou des oeuvres représentatifs de telle ou telle tendance, ainsi l'excellent film de Ken Loach "Sorry we missed you" pour évoquer les métiers de services à la personne et les métiers de la logistique.

Enfin des chiffres qui "claquent", j'en citerais seulement deux:
- 800 000 personnes qui travaillent maintenant dans le numérique, dont 77% sont des hommes et 40% sont en Ile de France.
- la part des personnes de plus de 65 ans, c'est 20% de la population en 2020..

Bref c'est un ouvrage de référence qui aide à mieux comprendre les évolutions de ces dernières années, c'est très bien illustré avec de nombreux tableaux. L'abondance de chiffres peut lasser mais cela permet de mieux appréhender les réalités évoquées.
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En s'appuyant sur les outils modernes de traitement des données et de cartographie et en s'inspirant de la méthode de Fernand Braudel, il est possible d'avoir assez de recul pour prendre la mesure des changements de l'économie, des paysages et des modes de vie français au cours des quarante dernières années, c'est-à-dire de sentir la marée sous la houle et la houle sous l'écume...

L'auteur de l'Archipel français dresse ici un tableau dynamique de la France et montre, par de nombreux exemples combien la "France d'après" est différente de celle de la fin des Trente Glorieuses.

Cet essai contient une mine d'informations chiffrées, mais faciles à lire car commentées en langage souvent clair et synthétisées dans d'excellents graphiques et cartes. Il arrive cependant parfois que le langage universitaire prenne le pas sur l'expression compréhensible par tous. Ainsi, à propos du paysage, peut-on lire : "Si l'on peut entreprendre de typologiser les espaces selon leur degré de désirabilité, force est de constater qu'en termes de paysage, les lignes de partage sont souvent de plus en plus brouillées avec une forte intrication des types de contruction et des esthétiques qui y sont associées". Il arrive heureusement que le raccourci soit percutant : le cariste a remplacé l'ouvrier et "les racks (...) et tapis roulants ont remplacé la chaîne de montage", la plateforme de distribution a remplacé l'usine. En forçant le trait, on peut considérer que la France consomme et s'amuse, mais ne produit plus.

On pourra être agacé par l'usage fréquent de termes américains (gaming, génération millenial, boomurb, home staging, backstage, low cost, hard discount, package, drive, coworking, hot spot, hub, go fast, success story, etc.), mais l'usage dans la vie courante d'une partie de ce vocabulaire traduit par lui-même l'évolution de notre société.

L'ouvrage aborde successivement les changements de l'économie (la zone commerciale et les espaces de loisir versus l'usine), l'attractivité changeante des territoires, la "démoyennisation" des styles de vie, la modification des métiers et la stratification des couches culturelles. Chaque partie de cet essai est largement documentée et le point de vue proposé sérieusement argumenté. le document offre dans ses 454 premières pages une description fine de la France actuelle. La fin de l'essai tente d'avancer des conclusions en termes de politique en rapprochant les tendances observées lors de votes récents avec le substrat socio-économique des territoires analysés, laissant ainsi le lecteur deviner ce qu'il pourrait advenir. L'intérêt de cet essai ne réside pas dans sa conclusion, mais dans le travail d'analyse descriptive de notre environnement : nous sommes dans un monde qui bouge, les auteurs nous montrent (et démontrent) le mouvement et sa direction.

Curieusement, internet, la téléphonie mobile, les réseaux sociaux, le vieillissement de la population et autres thèmes sont peu abordés en tant que tels. Leurs conséquences (vente en ligne, repas servis à domicile, soins à la personne et autres) sont en revanche largement prises en compte.

Les compétences complémentaires des deux auteurs en matière de statistiques, sociologie et culture générale (mais aussi "branchée") font merveille tout autant que la complémentarité entre la vue globale et l'analyse de cas particuliers (le Perche, la Drôme, Paris, les logements construits avant 1949, etc.).

Bref, nous avons là incontestablement un ouvrage de référence --agrémenté de citations littéraires contemporaines-- qu'il sera utile pour les candidats et précieux pour les électeurs d'avoir lu avant d'essayer de comprendre le comportement de nos compatriotes lors des prochaines échéances électorales, ou, à Dieu ne plaise, lors d"événements moins démocratiques.
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critiques presse (2)
Culturebox
17 janvier 2022
Avec "La France sous nos yeux", Jean-Laurent Cassely souhaite montrer un "tableau d'ensemble" de la France depuis les Trente Glorieuses jusqu'à aujourd'hui.
Lire la critique sur le site : Culturebox
NonFiction
10 janvier 2022
Si l’ouvrage se veut descriptif de l’état actuel de la France, il n’en livre pas moins un diagnostic critique. Il attire notre attention sur les dérives sociales et les risques de clivage qui guettent notre société.
Lire la critique sur le site : NonFiction
Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
Lieu de rechange des utopies urbaines, la campagne sera aussi demain le théâtre d'une confrontation entre différentes manières de l'habiter.
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On estime le coût annuel d'entretien d'un yacht à 10 % du montant d'achat initial, ce qui, au prix de quelques dizaines de millions d'euros l'unité, réserve ce loisir non pas aux 1% les plus fortunés, mais plutôt aux membres du club encore plus restreint des 0,001 % les plus riches, soit une centaine d'individus par pays tout au plus. (...)
Le propriétaire du bateau, généralement russe, émirati, qatari ou américain, ne séjourne évidemment pas à la Ciotat. En revanche, l'équipage s'y installe quelques mois pour une étape d'entretien dans ce qui fait office d'immense garage de yachts, idéalement situé sur " la route de Diana", circuit maritime reliant Monaco, Cannes, Saint-Tropez, Antibes, la Corse et la Sardaigne, destinations de prédilection des milliardaires.
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L'acquisition de la langue anglaise est désormais un enjeu majeur pour les foyers aisés et /ou diplômés, on le sait. Mais à Paris plus encore qu'ailleurs. Ce phénoméne n'avait pas échappé à Benjamin Griveaux, candidat fugace de LREM aux dernières élections municipales, qui avait fait figurer en bonne place dans son programme l'objectif que tous les adolescents parisiens soient bilingues anglais à la sortie du collège : "Paris, c'est une ville-monde. Maitriser l'anglais à la fin du collège, c'est indispensable dans sa vie professionnelle, pour voyager, pour être pleinement intégré dans le monde", déclarait-il.
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Situé entre Baronnies provençales au sud et vallée de la Drôme au nord, la commune de Saoû est elle aussi devenue un lieu de villégiature très couru en été. " Les pizzas du camion sont faîtes au pesto d'ortie et à la spiruline " signature écologique propre à la Drôme néo-rurale (...).
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" Avant , je pouvais me permettre Intermarché. Depuis deux ans, je ne vais plus que chez Lidl " ( Aurélie, coiffeuse ) ; " Je suis de la classe moyenne, nous ne sommes pas les plus à plaindre mais notre situation se détériore. On travaille toujours plus, on donne beaucoup, mais on ne s'en sors pas mieux. Le premier des arbitrages c'est d'avoir dû passer de Leclerc à Lidl " ( Linda, conseillère clientèle.)
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