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EAN : 9782234091320
300 pages
Stock (24/08/2022)
3.68/5   46 notes
Résumé :
Lorsque son frère devient père, Michela cherche à comprendre pourquoi elle n’a jamais eu le courage de mettre au monde un enfant. De quoi a-t-elle eu toujours si peur ?
Lorsqu’elle se tourne vers son père, découvrant qu’il porte pour deuxième prénom Benito, elle se heurte à une indifférence qui hésite entre l’esquive et l’hostilité. Pourquoi le prénom de Mussolini ? Michela entreprend d’y voir plus clair et, bientôt aidée d’Internet, d’une boîte de médaille... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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L'autrice commence par nous expliquer une particularité de l'état civil italien. On devrait l'appeler Maria Marzano, et non Michela Marzano. Puisqu'une virgule sépare ses trois prénoms sur son certificat de baptême (Maria, Michela, Rosa), c'est le premier qui devrait avoir cours. Pour son père, en revanche, sur les documents officiels, on devrait toujours mentionner ses cinq prénoms puisqu'ils ne sont pas séparés par des virgules : Ferruccio Michele Arturo Vittorio Benito… Or, si on excepte le certificat de baptême, seul Ferruccio apparaît sur les documents officiels. Michela Marzano en expliquera la raison (le prétexte ?), mais on peut comprendre que cette découverte l'ait infiniment troublée. Pourquoi ce prénom de Benito ? Son grand-père était-il fasciste ? Son père élude d'abord les questions puis reconnaît que le grand-père de Michela, son propre père, était fasciste, un des premiers, un « squadrista » découvrira-t-elle dès le début de ses recherches, et non pas monarchiste comme le prétend la légende familiale. Pour l'autrice, professeure et députée s'affirmant de gauche, appartenant à une famille qui se réclame de la gauche, le choc est rude ! Et si se trouvait là une explication à certains de ses problèmes, à quelques-unes de ses névroses que vingt ans de psychanalyse n'ont pas réussi à faire disparaître ? Elle commence alors une enquête pour comprendre comment son grand-père a pu adopter de telles convictions, mais aussi comment la légende familiale a occulté cette dérive.
***
Si le mot « roman » est bien mentionné sur la page-titre, l'autrice se défend d'avoir écrit un roman et explique que le mot apparaisse. En effet, même si les faits sont avérés, comment dire la vérité d'un autre sans passer par une forme de roman ? Après la stupéfaction causée par sa découverte, l'autrice éprouve de la honte à cause du comportement du grand-père. Et remontent à la surface des scènes de l'enfance pendant lesquelles elle ressent déjà cette honte. Ce terrible sentiment ne vient peut-être pas seulement de son perfectionnisme et de son éternelle insatisfaction comme elle le pensait jusque-là. Son enquête permet un retour sur l'histoire de l'Italie : la marche sur Rome, la prise du pouvoir, l'admiration et le fanatisme suscités par Mussolini, les horreurs perpétrées par le Duce et ses affidés, etc. Je n'avais jamais entendu parler de l'huile de ricin comme arme punitive… Mon nom est sans mémoire revient aussi sur la forme de révisionnisme qui édulcorera les exactions fascistes pour mettre en avant certains progrès, l'arrivée de l'eau courante à peu près partout, entre autres. Des images de la première partie du film 1900 me revenaient sans cesse en tête à cause de l'organisation sociale qui semble avoir conservé le modèle féodal et l'épouvantable rôle de chemise noire tenu par Donald Sutherland… L'autrice trouve ainsi dans ses douloureuses découvertes des motifs à ses problèmes psychologiques qui pourraient être dus à l'occultation de vérités dérangeantes. Elle se livre sans fausse pudeur et s'attache à régler ses comptes avec le grand-père, mais peut-être plus encore avec son père. Un documentaire, plutôt qu'un roman, que j'ai trouvé intéressant et instructif, touchant et émouvant aussi, mais qui souffre à mon avis de longueurs et de redites.

Lu dans le cadre du prix des Lecteurs de Cognac 2023
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De Michela Marzano, je savais qu'elle est philosophe et j'ai lu son magnifique Éloge de la confiance. Je savais aussi qu'elle avait été députée et chroniqueuse sur Arte.
Mais c'est à un autre genre de livre qu'appartient Mon nom est sans mémoire. Là l'auteure se livre à un exercice qui pourrait se révéler périlleux, dommageable ou bénéfique, c'est selon. Au-delà du quiproquo sur son prénom, elle explore l'histoire de sa famille et de son grand-père notamment. Elle qui a des convictions de gauche, elle découvre que son grand-père était fasciste et non monarchiste comme son père le lui avait toujours dit. Et non pas un fasciste par conformisme, pour garder une place dans la société, mais un fasciste de la première heure, dès 1918. Les conséquences de cette découverte sont profondes.
Michela commence par être horrifiée. L'image qu'elle a de sa famille s'en trouve profondément modifiée. Elle pensait qu'ils étaient du bon côté de l'histoire. Et voilà que les origines viennent du côté sombre. Et puis il y a la dissimulation, comme un secret. Et elle sent que ses propres troubles ne sont pas étrangers à ce qui fut caché.
Mais la première horreur passée, elle commença à s'intéresser de plus près à l'histoire personnelle de ce grand-père, originaire du grand sud de l'Italie, les Pouilles. Et petit à petit le lecteur la voit s'attacher à sa personnalité, à son parcours, ses aspirations. Il n'est pas question de minimiser les méfaits du fascisme, mais il est possible de les dissocier des trajectoires individuelles. Quand on étudie l'histoire d'un individu, il est souvent difficile de juger. Et elle ressuscite avec vivacité le passé de l'Italie, des années 1910 aux années 1950.
Dans ce parcours tourmenté, mais déterminé, en se regardant en quête de son passé, Michela Marzano se dévoile par petites touches. C'est ce qui rend ce livre si attachant.
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Mon nom est sans mémoire, enfin pas vraiment. Notre écri-vaine aurait aimé ne pas avoir à découvrir le passé de son grand-père. Comment fait-on quand on découvre que le grand-père emblématique de la famille, ancien député plutôt monarchiste, a, en réalité, été de la première garde fasciste, un suppôt de Mussolini ? Elle-même députée de Gauche, qui a cessé la politique pour ne pas trahir ses convictions, a du mal à se placer, à se re-définir après tout ce qu'elle découvre, devant ce mensonge familial, son père, autoritaire, ayant décidé de rester silencieux, neutre (déni ?), face à ce passé. Comme si la vérité et la honte avait passé une génération. Et pourquoi s'acharne-t-elle à vouloir connaître et divulguer ? Ce livre est très intéressant, outre les questions que M. Marzano pose sur plein de sujets - c'est riche - on en apprend beaucoup sur cette Italie du XXe siècle et ses contradictions. Sujet si rare, et pourtant si brillamment traité ici donc.
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N°1761– Juillet 2023

Mon nom est sans mémoireMichela Marzano – Stock.
Michela a été élevée par sa famille dans un contexte politique de gauche qui l'a marquée au point d'avoir été elle-même députée du Parti Démocrate italien. Elle découvre que le quatrième prénom, jamais mentionné, de son père est Benito, le même que celui de Mussolini et que son grand-père, Arturo, juge et patriote royaliste, fut un des premiers soutiens du Duce. Ce ne sera pas ce seul prénom qui suscitera ses interrogations.
Dès lors débute pour elle l'exploration d'un pan oublié et peut-être tu de son histoire familiale, à commencer par le parcours de ce grand-père, Arturo, combattant et prisonnier pendant la Grande guerre puis adhérent au nouveau parti fasciste, participant à la « Marche sur Rome », « squadrista », inconditionnel de ce régime dont il était un dignitaire et auquel il devait sa promotion. Son engagement fasciste est pour elle une honte qu'elle ne supporte pas. Dès lors commence une interrogation intime sur ses origines, favorisée peut-être par la naissance de son neveu, par une psychanalyse qui dure déjà depuis vingt ans sans doute parce qu'à cinquante ans et malgré un beau parcours professionnel, elle n'est toujours pas mère, qu'elle est à la recherche d'un traumatisme inconnu subit dans l'enfance, qu'elle est devenue anorexique… Une interrogation psychiatrique est souvent culpabilisante et hasardeuse. Elle va donc remonter le temps laborieusement, entre consultations des documents officiels et découverte des archives retrouvées et des souvenirs familiaux. Elle ira ainsi à la rencontre des membres de sa famille, redessinera l'image d'un père autoritaire, socialiste et brillant universitaire, d'une mère effacée. Cela commence dans les Pouilles, berceau de ses origines et elle va ainsi remonter l'Histoire, celle de ces années qui ont précédé et suivi le « ventennio » mêlées à celles de sa parentèle et de ses soubresauts, aller au devant de ses propres contradictions et de ses failles jusqu'à devoir remettre en question les vérités les plus affirmées. Les images qu'on a lentement idéalisées se lézardent, les apparences patiemment tissées se délitent, les épisodes laissés dans l'ombre révèlent leur existence et ce qu'on croyait impossible affirme sa réalité, les mensonges qui font partie de l'espèce humaine se découvrent mais des questions restent cependant sans réponse. Ce grand-père reste un mystère même pour ses proches entre la volonté de laisser une trace de son passage sur terre, de brouiller les pistes, d'habiller la réalité d'hypocrisie et de non-dits, entre amnésie et mémoire.
Ces recherches généalogiques sont légitimes pour Michela mais il y a des noms lourds à porter surtout quand ils sont associés à des exactions comme ce fut le cas pendant la période fasciste. de cette auscultation du temps et des arcanes de la mémoire on sort rarement indemne. Cette démarche l'amène à s'interroger sur son père et sur elle-même, sur le parcours de chacun à travers sa volonté de cohérence et ses contradictions. Elle éprouve donc le besoin de faire le point dans ce livre baptisé « roman » alors qu'il me semble être davantage un témoignage qu'une fiction. A titre personnel, je m'interroge comme souvent sur l'effet cathartique de l'écriture et ce qu'il en est résulté pour l'auteure par rapport à sa propre démarche psychanalytique et des conséquences parfois inattendues de cette rencontre.
C'est un livre passionnant, fort bien écrit en français, mais également un ouvrage documentaire historiquement important dont le titre italien « Stirpe e Vergogna »(origine et honte) me paraît plus révélateur.
J'ai lu ce livre au départ parce qu'il est en lice pour un prix littéraire, mais rapidement j'ai été happé par la démarche autant que par le style. Ce fut pour moi une belle découverte
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Un roman-récit qui est très touchant.
Michela Marzano va devenir tata et va se questionner sur sa propre vie, elle n'a pas d'enfant, c'est un choix. Elle va alors se questionner sur son existence mais aussi sur sa famille. Elle va découvrir que l'un des prénoms de son père est Benito, le prénom de Mussolini. Est ce un hasard ??
Son père est un homme de gauche qui a élevé ses enfants avec des principes. Elle a été elle même une élue, députée mais s'est retirée de la politique pour devenir universitaire.
Elle va aussi se questionner sur le passé de son grand père, elle a hérité de la maison de famille et des archives familiales sont dans la cave de cousins. Elle sait que son grand père était un magistrat respecté, il était monarchiste et avait exercé des années 20 aux années 60. Son père lui a peu raconté du passé familial.
Elle décide alors de faire des recherches dans les archives familiales (les fameux cartons chez les cousins, des photos d'albums, des boîtes avec des médailles). Mais aussi des recherches historiques, dans les archives (recherche de certificats de naissance, de dossiers administratifs sur la carrière de son grand père, qui fut magistrat mais aussi député).
Elle va alors découvrir que son grand père était bien monarchiste dans les années 20 mais il a été aussi l'un des premiers militants du parti de Mussolini. C'est un choc pour elle et elle va alors aussi enquêter sur l'histoire des années 20-30-40 en Italie et dans les régions de ces grands parents.
Ce livre est un livre intime mais aussi un livre d'historienne. J'ai beaucoup appris sur l'Italie des années 20 et 30, sur la vie des régions, sur le fonctionnement de la justice dans ces années là (le grand père avait été nommé magistrat). C'est aussi un livre très intime, car l'auteure questionne son rapport à son père, les rapports de son père avec son propre père, les silences, les non dits dans les familles. Quand elle questionne son père celui esquisse : "Je n'étais pas là, si j'étais là, ne n'ai rien vu, si j'ai vu, ne ne me souviens de rien."
"Quand on n'y fait pas face, le passé agit sur nous. Quand on s'illusionne de l'avoir effacé, il refait surface. Ca nous rattrape un jour ou l'autre? Et il va falloir payer la note" (p122)
L'auteure parle très bien des non dits familiaux, au niveau des familles mais aussi des dénis plus institutionnels, au niveau des pays eux même. Ce sujet est très d'actualité en Italie avec les récents résultats électoraux.
"Nos racines ne nous déterminent pas, nous ne sommes pas des arbres. Mais l'héritage familial, nous le portons en nous. Nous sommes le fruit de notre histoire, qui s'est transmise de génération en génération; qui persiste et qui vit en chacun de nous et qui même quand beaucoup de souvenirs sont inaccessibles, nous façonne, influence notre façon d'être et de faire, se sédimente même dans notre façon singulière de nommer les choses." (p128)
Faut il mieux enfouir, oublier, ne pas dévoiler le passé, que ce soit au niveau des individus ou au niveau d'état. Comment peut on continuer à avancer avec des secrets de famille, des secrets d'état. ?
Un nom peut il être sans mémoire, des prénoms choisis pour ces enfants ne sont peut être pas anodins.
J'ai aimé le parcours de Michela Marzano, sa recherche "sérieuse" d'historienne, dans les archives d'Etat, sa recherche dans les archives familiales et sa recherche plus intime et ses propres questionnements en tant que petite-fille, fille, soeur et amante. Et que faire aussi des découvertes, peux t on en parler aux autres membres de la famille ou rester aussi dans le déni (des secrets intimes de son grand père, des choix politiques ou plus intimes de cet homme doivent ils être dévoilés).
Un texte que je conseille fortement la lecture et je vais continuer la découverte des écrits de Michela Marzano.

#Monnomestsansmémoire #NetGalleyFrance
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critiques presse (2)
LaCroix
02 janvier 2023
Dans une enquête époustouflante, Michela Marzano remonte le fil de l'histoire pour tenter de comprendre le passé fasciste de son grand-père. Un récit qui croise l'actualité après la récente victoire des partis d'extrême droite en Italie.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeFigaro
15 septembre 2022
La beauté de ce texte écrit d’un seul souffle est tout entière dans cette exhumation des souvenirs mis de côté.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Même s'il semblait n'y avoir aucune raison d'aller mal: qu'est-ce qu'il te manque? Question absurde. Comment fait-on pour expliquer que, malgré tout ce que l'on a, il nous manque la joie, il nous manque l'envie, il nous manque la simple et évidente certitude que la vie est belle?
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Le passé ne passe jamais. Il est inutile de s'illusionner en pensant que certaines choses ne se reproduiront pas. L'Histoire nous prend toujours au dépourvu.
Tant que nous ne serons pas capables de plonger dans notre passé, celui-ci nous engloutira : il nous poussera à répéter les mêmes erreurs ; il nous forcera la main ; il dévoilera notre cruauté.
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Le passé ne passe jamais. Il est inutile de s'illusionner en pensant que certaines choses ne se reproduiront pas. L'Histoire nous prend toujours au dépourvu.
Tant que nous ne serons pas capables de plonger dans notre passé, celui-ci nous engloutira: il nous poussera à répéter les mêmes erreurs ; il nous forcera la main ; il dévoilera notre cruauté.
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D’autant qu’en Italie, la persécution contre les juifs n’a été ni soudaine ni imposée par Hitler – comme l’ont prétendu Renzo de Felice et Georges Mosse. Elle s’inscrit parfaitement dans l’héritage de l’expérience coloniale italienne quand en 1936 le Duce chez part en guerre contre le « métissage » dans les colonies, et qu’il prétend que les métis sont une atteinte biologique à l’intégrité de la race, le racisme est déjà bien présent d’abord les Noirs puis les Juifs.
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Car finalement personne ne réussit, et la vie, tôt ou tard, reprend reprend tout ce qu'elle a donné.
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Videos de Michela Marzano (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michela Marzano
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