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EAN : 9782381533308
300 pages
Nombre7 Editions (01/12/2020)
4.88/5   8 notes
Résumé :
« Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Ils s’en inventent. »

Claude Roy – « Le malheur d’aimer »



Si tel était le cas pour Gisèle MAYET-ALBAGNAC, elle aurait dû inventer son histoire, de 1951 à 2012, car toute cette période fut pour elle un ravissement sur tous les plans : une enfance emplie de souvenirs dorés, une famille aimante, une vie conjugale très heureuse, une carrière d’enseignante passionnante, un statut de m... >Voir plus
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Bonjour Gisèle, j'ai fini par prendre ma plume pour te donner mon ressenti après la lecture de ton livre si touchant.

Je suis un ancien élève de Gisèle et son livre m'a boulversé. Tout simplement. Tellement d'émotions ressortent de son livre…

Je ne suis pas un fervent de lecture mais j'aime lire. J'aime lire les témoignages, l'histoire des gens. L'histoire qu'a vécu Gisèle.
Une histoire tellement touchante, humaine, pleine d'amour, d'humour et de rebondissements.

Je me souviens de Gisèle comme d'une femme aimante, débordante d'énergie, toujours à rire, qui m'a transmis l'amour de la langue française, des mots, mais aussi de l'Anglais et tellement plus encore…! Sincère et toujours présente pour les autres.

Tout a commencé quand j'ai appris la terrible nouvelle par un de ses messages. Et puis, à ce moment là, je me suis véritablement demandé pourquoi ce satané "crabe" touche tous ceux que j'aime ?

J'ai découvert son histoire, indirectement liée à la mienne pour avoir également vécu, de près le combat contre le cancer.
Son histoire est un partage d'émotions, et fait se remettre en question quant à nos réactions face à l'annonce de la maladie. Cette période affreusement douloureuse mais extrêmement bien maitrisée dans le cas de Gisèle avec le choix de son entourage, ses ami(e)s, sa famille, si prévenants et présents pour elle.
Une alliance avec le corps médical qui effraie le plus souvent qu'il n'attire ajoute une touche de combat supplémentaire qui nous fait bien comprendre que Gisèle ne laissera pas la victoire à ce virulent visiteur.

Gisèle à su, à travers ses mots, faire comprendre son combat, sa résilience, sans jamais baisser les bras, avec la redécouverte de l'amour, certes inattendu, mais tellement passionnel, qui à permis à l'Amazone de s'en sortir avec une incroyable force. Cette force de vivre qui m'a toujours impressionné !

Je me sens lié à son histoire car le premier jour de son combat, en Avril 2015, est également une date importante pour moi, ainsi que son dernier jour, en novembre 2020 pour avoir brandi le poing de la résilience le jour de mon anniversaire !

Aujourd'hui, le combat de Gisèle, mon institutrice chère à mon coeur, est une leçon de vie que beaucoup devraient s'inspirer. "Il est important de vivre sa maladie et ne pas la subir".

Le milieu médical que je côtoie énormément pour en avoir fait mon métier. Un métier de lutte contre le cancer, à ma manière et à mon niveau, mais comme Gisèle, je fais ma petite part de Colibri...

Je me permets de te retourner un passage du livre que tu nous adresses Gisèle, avec un mot avide de sens… :
« Un seul mot usé, mais qui brille comme une vieille pièce de monnaie : MERCI !" 😘💐
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Une nouvelle critique du témoignage "la Chevauchee de l'Amazone" ...

"S'il n'avait été écrit par mon amie, je n'aurais sûrement jamais lu "La Chevauchée de l'Amazone". Un livre au titre peu évocateur, et qui parle officiellement du cancer du sein, cela n'aurait probablement pas piqué ma curiosité.

Et pourtant, ça aurait été bien dommage ! Ce roman parle en réalité de la résilience. Pas comme on la considère souvent : comme une qualité ou un attribut que possèdent certaines personnes, mais plutôt comme un choix. Ce choix qui est celui de vivre malgré la maladie, celui d'aimer les autres et la vie dans la difficulté. le choix aussi de la responsabilité : ne pas s'apitoyer sur son sort, prendre des décisions quand cela nous est possible, ne pas laisser cette difficulté dicter sa vie et y prendre toute la place.

Ce choix de la résilience, Gisèle l'a fait parce qu'elle était malade, mais nous pouvons tous le faire face aux difficultés de la vie quelles qu'elles soient !
Agathe TANGUY
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"Gisèle Mayet- Albagnac nous propose un récit intitulé "La Chevauchée de l' Amazone", un titre porteur de sens, possédant une véritable clef explicative.
Un titre accrocheur, une invitation à la lecture.
Publié en décembre 2020 aux Éditions Nombre 7, ce livre vient enrichir le parcours exemplaire de l'auteure qui a su transmettre de réelles valeurs par le biais de son métier.
En lisant l' incipit, j'ai pris conscience qu'il ne s'agissait pas d'une oeuvre comme les autres.
De ce fait, j'ai compris que son contenu allait radicalement bouleverser ma vie, mon cheminement...
Avec "La Chevauchée de l' Amazone", j'ai su percevoir que je devais particulièrement m'impliquer dans ma lecture.
Prendre soin de chaque mot, prendre soin de l'intensité émotionnelle procurée par certains passages.
Au travers de ce récit, Gisèle nous révèle un morceau de sa vie avec une grâce infinie.
Elle traverse l'obscur sans jamais se lamenter, elle contourne les obstacles avec une force remarquable.
Elle se dépouille, vibrante, humaine ... Belle.
Si cette dernière porte la vie en elle, elle la transporte au travers de ce texte, redéfinissant la notion de courage.
Gisèle possède une écriture sensible, habitée, percutante.
Son style d'une élégance rare nous séduit d'emblée.
Récit de l'âme qui nous touche en plein coeur.
Mission réussie, celle de convoquer l'espoir chez l'humain, l'espoir malgré la prédominance de l'ombre.
Ainsi Gisèle nous apprend-elle à reconsidérer nos peurs, nos doutes...
Son oeuvre est don de soi, don à l'autre, joyau incontestablement ..."
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Je savais que l'auteure mon amie, était passionnée mais, je n'imaginais pas que l'on puisse vivre son cancer avec passion.
Le vivre avec ses soignants, ses "acteurs de guérison", ses intervenants, son entourage professionnel, amical, son amoureux et surtout avec soi.
C'est ce que Gisèle Mayet-Albagnac a réussi.
Elle s'est battue avec fougue pour vivre différemment mais avec ardeur, amour, se découvrir et donc mieux se connaître, découvrir ses amis aussi.
Elle a décidé de mordre à pleine dent dans la vie.
Ce livre est une leçon de vie, une ode à l'amour, un parcour, plus qu'une résilience, il est une renaissance pour mieux appréhender sa nouvelle vie en pleine conscience pour l'aimer de tout son être.
Avec curiosité, en pleine éveil, en amazone elle a entrainé dans sa chevauchée son "tout doux" vers une vie de surprise, de joie, de découverte de l'autre.
Le cancer est devenu le vecteur de sa fougue avec un objectif bien défini.
"Oui je terrasserai ce crabe".
Plus qu'une thérapie, ce livre aide à fourbir les armes du combat à mener contre cet adversaire sournois.
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C'est l'histoire d'une femme qui se trouve confrontée à cette terrible annonce qu'est celle du "crabe" ; et en parallèle
une histoire d'amour naissante, improbable, grandissante, brûlante, troublante.
Mais en même temps une histoire presque "ordinaire" qui pointe sur les choses essentielles de la vie, telles que l'importance de la famille, des amis, des choses simples auxquelles on ne prête pas attention lorsque tout va bien.
Un récit très positif malgré des épreuves physiques non négligeables, l'importance de la communication et du dialogue aussi bien avec le personnel soignant que son entourage proche. Une volonté de fer et un positivisme remarquables. Ne jamais rien lâcher... et en même temps ne pas avoir honte
de se laisser aller à ne rien faire.
Cet ouvrage est une vraie leçon de vie et d'espoir et montre également combien le regard bienveillant d'un être aimant est rassurant voire même décomplexant malgré les changements physiques qu'inflige cette maladie.
Longue vie à cet amour "atypique" !
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