Solitude et stupidité !
Ces trois nouvelles sont à mon avis parmi les plus pessimistes de
John Mc Gahern, qui n'est déjà pas un auteur d'une gaieté folle. Mais là !
Dans la nouvelle qui donne son nom à l'ouvrage, une femme Mme Waldron, veuve, et sa fille s'installent dans la demeure familiale au bord de la mer. Elle se remémore la fin de la vie de son mari. La seule chose qui lui reste est le vieux chat qui a partagé des années de leur existence. Elle finit par faire la connaissance d'un homme au cours de ses promenades, qui, un jour, a avec lui un chien qu'il n'aime visiblement pas. Deux voyous et le vieil homme aigri sacrifieront par jeu ou par égoïsme ces deux «Créatures terrestres»
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