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Hellboy & B.P.R.D. tome 6 sur 1

Mike Mignola (Autre)Scott Allie (Autre)Ben Stenbeck (Autre)Duncan Fegredo (Autre)Christopher Mitten (Autre)Adam Hugues (Autre)Dave Stewart (Autre)Brennan Wagner (Autre)
EAN : 9782413039495
160 pages
Delcourt (24/02/2021)
4.67/5   3 notes
Résumé :
Affrontez le mystérieux Ver Lambton, traquez un ancien collectionneur de cadavres en plein désert et plus généralement, préparez-vous à affronter toute une série de monstres! Certains des exploits les plus notoires de Hellboy, y compris Krampusnacht, lauréat d'un prix Eisner, sont au programme de cette série d'histoires du démon écarlate lorsqu'il faisait encore partie du BPRD !
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Ce tome comprend quatre histoires indépendantes qui ne nécessitent pas de connaissance préalable de Hellboy ou du BPRD pour pouvoir être appréciées.

The beast of Vargu : scénario de Mike Mignola, dessins et encrage de Duncan Fegredo, couleurs de Dave Stewart, 2019, 18 pages + 1 histoire courte de 4 pages. 1962, en Roumanie, Hellboy examine des ruines dans les montagnes des Carpathes, la représentation d'un chevalier gravée dans les dalles de pierre au sol. Il arrache du lierre et découvre les armoiries gravées sur ce qui fut un manteau de cheminée. Il se souvient qu'il y a six heures il avait le professeur Bruttenholm au bout du fil, lui dans la taverne locale, le professeur dans son bureau. Ce dernier évoquait la réputation maléfique du château, remontant au quatorzième siècle, alors qu'il était occupé par la famille Szilagy, plus précisément Costache Zzilagy. Hellboy l'avait interrompu pour en savoir plus sur le monstre : Buttenholm avait évoqué des disparitions et des personnes éventrées en 1452, 1669, 1745, 1816, 1889, et cette année. Puis il s'était rendu au château Vargu. le monstre finit par apparaître et attaque Hellboy.

Quel plaisir de retrouver Duncan Fegredo dessinant une aventure de Hellboy ! le lecteur retrouve le dessinateur de The Wild Hunt, artiste réussissant à combiner la sensibilité gothique de Mike Mignola avec une apparence plus descriptive et plus détaillée. Il n'a rien perdu de sa précision avec la texture de la pierre, l'impression de la végétation envahissante, les menus détails du bar d'où Hellboy téléphone, la magnifique roulotte de la mère et sa fille, sans oublier le théâtre de marionnettes. Dave Stewart nourrit les dessins avec un sens de l'équilibre extraordinaire : complétant les traits encrés sans les supplanter. Fegredo représente 7 pages de combat physique, brutal à souhait et primaire à grands coups de poing, montrant toute la force de Hellboy et la bestialité de son adversaire, pour une narration premier degré et rythmée, à l'opposé d'un alignement de cases basées uniquement sur de jolies postures. Il opère un rapprochement visuel entre la réalité et la représentation de marionnettes qui fonctionne parfaitement, le lecteur se projetant dans la représentation des pantins, avec la même implication que Hellboy.

Mike Mignola a concocté une histoire courte et dense, au cours de laquelle le lecteur trouve ce qu'il est venu chercher : Hellboy tape comme un sourd contre un gros monstre surnaturel. le scénariste prend comme point de départ une légende (un château hanté) et il entremêle le rôle d'une montreuse de marionnettes, pour un déroulement surprenant et fascinant, rappelant que son héros n'évolue pas dans un monde rationnel. L'histoire courte supplémentaire est tout aussi divertissante, le lecteur assistant à nouveau à une histoire dans l'histoire sous forme d'un spectacle de marionnettes.

Saturn returns : scénario de Mike Mignola & Scott Allie, dessins et encrage de Christopher Mitten, couleurs de Brennan Wagner, 2019, 66 pages. Octobre 1975, dans le New Hampshire à Tatoskok Falls, Hellboy et l'agent Kinsley se tiennent devant une large fosse en pleine forêt, en présence des policiers locaux. Ces derniers ont retrouvé plusieurs cadavres qu'ils ont exhumés. Quelques habitants sont présents, en espérant identifier des proches ayant disparu au cours des dernières décennies. Alors qu'Hellboy et Kinsley examinent des signes cabalistiques tracés avec du sang sur une paroi, ils sont rejoints par l'agent spécial Oates Les signes ne veulent pas dire grand-chose, mélangeant plusieurs alphabets. Certains cadavres ont la cage thoracique défoncée, leur coeur ayant été extirpé. Dans la base du BPRD à Fairfield dans le Connecticut, Liz Sherman en a assez de devoir rester enfermée dans le bâtiment et elle exige de voir Hellboy.

L'histoire la plus longue du recueil : les coscénaristes prennent le temps de raconter l'enquête comme elle se déroule. Hellboy et l'agent Kinsleuy se retrouvent devant la fosse aux cadavres, et ils en suivent la progression : identification des corps, comparaison avec le fichier des disparus de la région, l'étrange mutilation des corps qui conduit à échafauder des hypothèses. Dans le même temps, les relations de travail s'étoffent : Hellboy & Kinsley apprennent à reconnaître et à apprécier leurs compétences respectives. L'agent spécial Oates se montre charmant et serviable, au point que le lecteur en vienne à trouver ça suspect. La police locale se montre compétente, sans être hostile. le lecteur accompagne les différents protagonistes dans leur progression, avec un rythme naturaliste. En parallèle, Mignola & Allie racontent une phase de la vie de Liz Sherman, jeune recrue du BPRD, se sentant délaissée, et n'étant pas sans ressource.

Christopher Mitten, s'est fait connaître en illustrant les enquêtes surnaturelles de Cal McDonald, dans la série Criminal Macabre de Steve Niles. Il réalise des dessins moins ouvragés que ceux de Fegredo, avec un détourage de forme moins assuré en apparence, moins régulier, sans la dimension tactile des dessins de Fegredo. Ils sont bien complétés par la mise en couleurs, peut-être un peu trop saturée. Il réalise des dessins avec un niveau de détails supérieur à celui de Criminal Macabre, aboutissant à une narration visuelle qui n'est pas juste d'un niveau fonctionnel, et une sensibilité en phase avec l'ambiance teintée de surnaturel. le lecteur prend plaisir à suivre cette enquête et à découvrir le fin mot de cette histoire de meurtres, surtout s'il garde à l'esprit que la dynamique de ce type de récit de Mignola ne repose pas sur une révélation finale tonitruante.

Krampusnacht : scénario de Mike Mignola, dessins, encrage et couleurs d'Adam Hughes, 2017, 22 pages. Dans la campagne autrichienne en 1975, Hellboy marche dans la neige et pénètre dans un bois clairsemé. Il aperçoit une silhouette spectrale de femme qui lui demande de sauver son garçon. Il distingue une maison dans une clairière et s'y dirige. Un homme l'attend à la porte pour l'accueillir et le faire entrer : Wilhelm Schulze. La table est mise et Schulze propose à Hellboy de dîner. Celui-ci répond qu'il est venu suite au bazar dans l'église, causé par Schulze. Ce dernier lui répond qu'il savait que ça le ferait venir. Hellboy sort un papier de sa poche : un dessin d'un diablotin menotté, avec une inscription en dessous Grus vom Krampus.

Adam Hughes est un dessinateur qui doit une partie significative de sa renommée au fait qu'il représente avec élégance et séduction les personnages féminins. Cette histoire ne joue pas sur ce point fort, mais sur une ambiance de maison isolée et d'approche de Noël. Mike Mignola pioche dans le folklore européen : la Krampus, créature mythique anthropomorphe et munie de cornes, dont le rôle est de punir les enfants s'étant mal conduits à l'époque de Noël, ou à celle de la Saint Nicolas. Comme pour la première histoire, le scénariste ne se contente pas d'écrire un prétexte pour un combat, et il développe Krampus dans une direction inattendue. Hughes a soigné ses dessins, ayant visiblement passé beaucoup de temps sur chaque planche, chaque case, avec un plaisir du même niveau que celui de Fegredo. le lecteur regarde autour de lui dans la demeure douillette de Krampus, et s'amuse bien à voir lui et Hellboy se battre avec force. Un épisode sans prétention, avec une qualité de réalisation du meilleur niveau. Dans les pages de fin de tome, le lecteur découvre trois illustrations supplémentaires d'Adam Hughes, chacune s'apparentant à un cliché instantané pris à l'occasion d'une fête de Noël : celle de 1946, celle de 1995, et une autre plus tard, chacune correspondant à un stade de développement ou un moment de la vie différent de Hellboy.

Return of the Kambton worm : scénario de Mike Mignola, dessins et encrage de Ben Stenbeck, couleurs de Dave Stewart, 2018, 6 pages. En 1960, au nord du Yorkshire en Angleterre, Hellboy accompagne Trevor Bruttenholm et Edith une archéologue, dans les catacombes d'une église. Elle raconte l'histoire de John Lambton, un chevalier anglais pendant les croisades, et de son combat contre un dragon à son retour en Angleterre.

Il s'agit d'une histoire courte, initialement prépubliée dans Playboy Magazine. Les dessins de Ben Stenbeck évoquent un croisement entre la minutie de Fegredo, l'efficacité de Mitten, et la part des ténèbres de Mignola. Il donne l'impression d'avoir pris grand plaisir à représenter l'archéologue avec sa silhouette épanouie. le déroulement de l'intrigue est simple et efficace, semblable à une trame étoffée, similaire à celle des histoires précédentes, mais réduite à une expression plus simple. Mignola s'amuse à y tisser un lien avec la nature réelle de Hellboy, révélée bien plus tard dans ses aventures.
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Ce tome comprend quatre histoires indépendantes qui ne nécessitent pas de connaissance préalable de Hellboy ou du BPRD pour pouvoir être appréciées.

The beast of Vargu : scénario de Mike Mignola, dessins et encrage de Duncan Fegredo, couleurs de Dave Stewart, 2019, 18 pages + 1 histoire courte de 4 pages. 1962, en Roumanie, Hellboy examine des ruines dans les montagnes des Carpathes, la représentation d'un chevalier gravée dans les dalles de pierre au sol. Il arrache du lierre et découvre les armoiries gravées sur ce qui fut un manteau de cheminée. Il se souvient qu'il y a six heures il avait le professeur Bruttenholm au bout du fil, lui dans la taverne locale, le professeur dans son bureau. Ce dernier évoquait la réputation maléfique du château, remontant au quatorzième siècle, alors qu'il était occupé par la famille Szilagy, plus précisément Costache Zzilagy. Hellboy l'avait interrompu pour en savoir plus sur le monstre : Buttenholm avait évoqué des disparitions et des personnes éventrées en 1452, 1669, 1745, 1816, 1889, et cette année. Puis il s'était rendu au château Vargu. le monstre finit par apparaître et attaque Hellboy.

Quel plaisir de retrouver Duncan Fegredo dessinant une aventure de Hellboy ! le lecteur retrouve le dessinateur de The Wild Hunt, artiste réussissant à combiner la sensibilité gothique de Mike Mignola avec une apparence plus descriptive et plus détaillée. Il n'a rien perdu de sa précision avec la texture de la pierre, l'impression de la végétation envahissante, les menus détails du bar d'où Hellboy téléphone, la magnifique roulotte de la mère et sa fille, sans oublier le théâtre de marionnettes. Dave Stewart nourrit les dessins avec un sens de l'équilibre extraordinaire : complétant les traits encrés sans les supplanter. Fegredo représente 7 pages de combat physique, brutal à souhait et primaire à grands coups de poing, montrant toute la force de Hellboy et la bestialité de son adversaire, pour une narration premier degré et rythmée, à l'opposé d'un alignement de cases basées uniquement sur de jolies postures. Il opère un rapprochement visuel entre la réalité et la représentation de marionnettes qui fonctionne parfaitement, le lecteur se projetant dans la représentation des pantins, avec la même implication que Hellboy.

Mike Mignola a concocté une histoire courte et dense, au cours de laquelle le lecteur trouve ce qu'il est venu chercher : Hellboy tape comme un sourd contre un gros monstre surnaturel. le scénariste prend comme point de départ une légende (un château hanté) et il entremêle le rôle d'une montreuse de marionnettes, pour un déroulement surprenant et fascinant, rappelant que son héros n'évolue pas dans un monde rationnel. L'histoire courte supplémentaire est tout aussi divertissante, le lecteur assistant à nouveau à une histoire dans l'histoire sous forme d'un spectacle de marionnettes.

Saturn returns : scénario de Mike Mignola & Scott Allie, dessins et encrage de Christopher Mitten, couleurs de Brennan Wagner, 2019, 66 pages. Octobre 1975, dans le New Hampshire à Tatoskok Falls, Hellboy et l'agent Kinsley se tiennent devant une large fosse en pleine forêt, en présence des policiers locaux. Ces derniers ont retrouvé plusieurs cadavres qu'ils ont exhumés. Quelques habitants sont présents, en espérant identifier des proches ayant disparu au cours des dernières décennies. Alors qu'Hellboy et Kinsley examinent des signes cabalistiques tracés avec du sang sur une paroi, ils sont rejoints par l'agent spécial Oates Les signes ne veulent pas dire grand-chose, mélangeant plusieurs alphabets. Certains cadavres ont la cage thoracique défoncée, leur coeur ayant été extirpé. Dans la base du BPRD à Fairfield dans le Connecticut, Liz Sherman en a assez de devoir rester enfermée dans le bâtiment et elle exige de voir Hellboy.

L'histoire la plus longue du recueil : les coscénaristes prennent le temps de raconter l'enquête comme elle se déroule. Hellboy et l'agent Kinsleuy se retrouvent devant la fosse aux cadavres, et ils en suivent la progression : identification des corps, comparaison avec le fichier des disparus de la région, l'étrange mutilation des corps qui conduit à échafauder des hypothèses. Dans le même temps, les relations de travail s'étoffent : Hellboy & Kinsley apprennent à reconnaître et à apprécier leurs compétences respectives. L'agent spécial Oates se montre charmant et serviable, au point que le lecteur en vienne à trouver ça suspect. La police locale se montre compétente, sans être hostile. le lecteur accompagne les différents protagonistes dans leur progression, avec un rythme naturaliste. En parallèle, Mignola & Allie racontent une phase de la vie de Liz Sherman, jeune recrue du BPRD, se sentant délaissée, et n'étant pas sans ressource.

Christopher Mitten, s'est fait connaître en illustrant les enquêtes surnaturelles de Cal McDonald, dans la série Criminal Macabre de Steve Niles. Il réalise des dessins moins ouvragés que ceux de Fegredo, avec un détourage de forme moins assuré en apparence, moins régulier, sans la dimension tactile des dessins de Fegredo. Ils sont bien complétés par la mise en couleurs, peut-être un peu trop saturée. Il réalise des dessins avec un niveau de détails supérieur à celui de Criminal Macabre, aboutissant à une narration visuelle qui n'est pas juste d'un niveau fonctionnel, et une sensibilité en phase avec l'ambiance teintée de surnaturel. le lecteur prend plaisir à suivre cette enquête et à découvrir le fin mot de cette histoire de meurtres, surtout s'il garde à l'esprit que la dynamique de ce type de récit de Mignola ne repose pas sur une révélation finale tonitruante.

Krampusnacht : scénario de Mike Mignola, dessins, encrage et couleurs d'Adam Hughes, 2017, 22 pages. Dans la campagne autrichienne en 1975, Hellboy marche dans la neige et pénètre dans un bois clairsemé. Il aperçoit une silhouette spectrale de femme qui lui demande de sauver son garçon. Il distingue une maison dans une clairière et s'y dirige. Un homme l'attend à la porte pour l'accueillir et le faire entrer : Wilhelm Schulze. La table est mise et Schulze propose à Hellboy de dîner. Celui-ci répond qu'il est venu suite au bazar dans l'église, causé par Schulze. Ce dernier lui répond qu'il savait que ça le ferait venir. Hellboy sort un papier de sa poche : un dessin d'un diablotin menotté, avec une inscription en dessous Grus vom Krampus.

Adam Hughes est un dessinateur qui doit une partie significative de sa renommée au fait qu'il représente avec élégance et séduction les personnages féminins. Cette histoire ne joue pas sur ce point fort, mais sur une ambiance de maison isolée et d'approche de Noël. Mike Mignola pioche dans le folklore européen : la Krampus, créature mythique anthropomorphe et munie de cornes, dont le rôle est de punir les enfants s'étant mal conduits à l'époque de Noël, ou à celle de la Saint Nicolas. Comme pour la première histoire, le scénariste ne se contente pas d'écrire un prétexte pour un combat, et il développe Krampus dans une direction inattendue. Hughes a soigné ses dessins, ayant visiblement passé beaucoup de temps sur chaque planche, chaque case, avec un plaisir du même niveau que celui de Fegredo. le lecteur regarde autour de lui dans la demeure douillette de Krampus, et s'amuse bien à voir lui et Hellboy se battre avec force. Un épisode sans prétention, avec une qualité de réalisation du meilleur niveau. Dans les pages de fin de tome, le lecteur découvre trois illustrations supplémentaires d'Adam Hughes, chacune s'apparentant à un cliché instantané pris à l'occasion d'une fête de Noël : celle de 1946, celle de 1995, et une autre plus tard, chacune correspondant à un stade de développement ou un moment de la vie différent de Hellboy.

Return of the Kambton worm : scénario de Mike Mignola, dessins et encrage de Ben Stenbeck, couleurs de Dave Stewart, 2018, 6 pages. En 1960, au nord du Yorkshire en Angleterre, Hellboy accompagne Trevor Bruttenholm et Edith une archéologue, dans les catacombes d'une église. Elle raconte l'histoire de John Lambton, un chevalier anglais pendant les croisades, et de son combat contre un dragon à son retour en Angleterre.

Il s'agit d'une histoire courte, initialement prépubliée dans Playboy Magazine. Les dessins de Ben Stenbeck évoquent un croisement entre la minutie de Fegredo, l'efficacité de Mitten, et la part des ténèbres de Mignola. Il donne l'impression d'avoir pris grand plaisir à représenter l'archéologue avec sa silhouette épanouie. le déroulement de l'intrigue est simple et efficace, semblable à une trame étoffée, similaire à celle des histoires précédentes, mais réduite à une expression plus simple. Mignola s'amuse à y tisser un lien avec la nature réelle de Hellboy, révélée bien plus tard dans ses aventures.
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Le tome 6 de Hellboy & B.P.R.D. revient sur des enquêtes surnaturelles de Hellboy (surtout) avec le B.P.R.D. (un peu) dont "la bête de Vargu", un récit avec des bohémiens et la meilleure histoire de ce volume (qui n'est pas raccord avec la couverture concernant une autre enquête que celle du titre). L'occasion de retrouver des aventures se déroulant dans les années 60 et 70 (cette série relatant le parcours de Hellboy au sein du BPRD depuis ses origines), toujours aussi laconiques voire abruptes avec des dessins appréciables notamment de Duncan Fregedo et plus loin d'Adam Hugues. Dommage que le plus long récit du recueil le soit un peu trop, long, et parfois confus. Mais je n'avais pas lu de Hellboy depuis longtemps, alors...
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