Une bonne idée et l'auteur a penser à écrire un nombre de pages raisonnables pour le potentiel du récit (on voit trop de livres avec 400 pages de trop, parce que l'auteur et l'éditeur ont surestimé le roman.
MAIS
ici, il n'y a pas d'histoire, c'est plutôt une suite de fait.
L'auteur commet également toutes les erreurs possibles en fantastique (les mêmes que pour la fantasy et la sci-fi)
--moins c'est plus. Limiter le paranormal au minimum, ici, c'est à chaque problème, l'auteur nous sort une explication WTF... Comme dans star wars, la force explique tout ce qui est fantastique. Dans the expense, il extrapole la science existante.
-- Les infos doivent arriver progressivement et de plusieurs événements. Ici, c'est des briques d'infos dictées par des personnages, on ne "découvre" rien.
--En prime, la fin est une suite de Deus ex machina... si si, une suite. Avec encore une nouvelle couche de WTF...
Pour finir, petit bonus un peu... j'allais dire toxique, mais on va dire too much... Les méchants anglais diaboliques se sont convertis à l'islam et sont racistes, (sans raison apparente dans le récit) et la gentille femme qui les terrasse à la fin, est Juive... toujours sans vraiment de raison...
Salon Wikipedia : "Son septième roman,
Slade House, publié en 2015 en Angleterre, prolonge la nouvelle "The Right Sort", initialement publiée à titre d'expérience littéraire sur son compte Twitter du 14 juillet au 21 juillet 2014."
Sa explique pleins de choses.
Un bon livre d'auteurs expérimentés qui a tourné en premier livre de (trop ?) jeune auteur.
Un ghost writer mal encadré?