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Une série qui décidément ne paie pas de mine mais qui me fait du bien.
Tout d'abord par l'atmosphère que l'auteure arrive à dégager, mais également par le côté léger.
Cette série est un véritable hymne à la Belgique, par l'histoire, par les personnages, par l'humour et le côté bon vivant. Ce que je trouve vraiment brillant c'est qu'on retrouve ces caractéristiques dans l'écriture.

Pour ce tome 3 c'est la visite d'une ville que j'aime beaucoup Bruges. Une ville tellement belle , pleine d'histoire.
De quoi y installer un polar a la sauce Magritte et faire plaisir a tous.

Ce que j'aime toujours ce sont les petites apartés qui sont absolument a lire , car soit on apprend, soit on se marre. Enfin dans tous les cas c'est super documentés.

Une fois encore je suis obligée d'assimiler ces petits romans qui se lisent bien, et qui détendent a des cuberdons.... sucrerie hyper addictive.

Je me régale à chaque lecture.
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Quatrième enquête du couple Magritte que je lis.
Cette fois, ils nous emmènent à Bruges grâce à Carmen, leur femme de ménage . Celle-ci a découvert un corps dans une maison appartenant à un comte Rodenbach de Bruges.
En catimini, le couple accompagné de leur petit chien, part mener son enquête . Ils aiment travailler seuls sans la police qui , bien sûr, effectue son travail de son côté.
De fil en aiguille, le mystère se démêle.
Le livre est truffé de personnages hauts en couleurs et décrits avec beaucoup d'humour par une Nadine Monfils en grande forme.
Au cours des promenades, elle nous donne de nombreux détails historiques intéressants, très vivants sur la ville et son Histoire. Une ville où nous aimons séjourner aussi. Pas plus tard que la semaine passée d'ailleurs : d'où la lecture du livre.
Plusieurs cadavres nous accompagnent dans cette aventure et les événements s'enchaînent parfaitement. Je me suis demandée pendant longtemps si le premier cadavre de Bruxelles existait bien.
Une lecture amusante, enrichissante et mystérieuse avec une grande fan de Magritte, de Jacques Brel et de la Belgique.
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Aujourd'hui, c'est à Bruges que notre duo d'enquêteurs préférés, Magritte et sa femme Georgette, vont nous conduire !
Que s'est-il passé Rue des Mimosas, à Schaerbeek ? Carmen, la femme de ménage des Magritte, est dans tous ses états. En entrant chez M. Bogaert un de ses employeurs, elle a découvert celui-ci sur le sol, poignardé. Elle a aussitôt prévenu Magritte et sa femme. Mais l'adjudant-chef Kiekens, dépêché sur place est formel : il n'y a point de cadavre - et M. Bogaert n'existe pas. Carmen s'entête ; elle affirme qu'un tableau, peint par Magritte, "Le Principe de plaisir", exposé chez M. Bogaert, a disparu. Comment un tableau peint pour un mécène, Mr. Edward James peut-il se trouver chez un inconnu qui n'existe pas et a pourtant disparu ? Pour ce qui est du tableau, tout s'explique : Mr James a donné le tableau à sa femme, qui s'est empressée de le revendre à un antiquaire de Bruges, Jos Rodenbach....Et voilà Magritte et Georgette lancés à la poursuite d'un cadavre évaporé, d'une vraie toile.. Une nouvelle enquête un peu folle vient de débuter.
J'ai aimé retrouver Magritte, Georgette et Jackie, le loulou de Poméranie, grâce à un livre à la couverture bleue, un ciel étoilé, un canal, des maisons de style flamand. Magritte rame, on reconnaît Georgette et Jackie dans la barque.
S'agit-il d'un vrai roman policier ? D'une enquête policière à la tonalité un peu loufoque ? le plus important, pour moi, n'est pas de mettre un texte dans des cases, mais d'apprécier le style de Nadine Monfils. En effet, j'aime beaucoup sa façon de mêler langage populaire, situation cocasse, et pure poésie. L'énigme policière est bien là. Nadine Monfils nous dépeint un Magritte bougon et lunaire, ayant du mal à s'abstraire de son monde onirique. Georgette excelle à apporter une touche de fantaisie. le duo fonctionne à merveille, et va résoudre l'énigme, dans un déchaînement de bons mots, de rires, de personnages caricaturaux.

Lors de cette escapade à Bruges en hiver, sous ce ciel étoilé, il va se passer tant de choses....
Un style original, un beau roman plein de fantaisie et de poésie.
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La dernière fois que j'avais mis les pieds dans la Venise du Nord, autrement dit, la ville de Bruges, j'étais gosse et j'usais mes fonds de pantalon sur les bancs de l'école.

Les 366 putains de marches pour accéder en haut du beffroi avaient calmé toute notre classe. J'y étais retournée plus tard, avec ma mémé (pas la mémé Caricoles, je vous rassure de suite).

Y remettre les pieds en compagnie de René Magritte et de son épouse Georgette était une excellente idée. Je n'ai même pas eu besoin de mon flamand sans peine.

Un meurtre a eu lieu nos loin de chez les Magritte, mais une fois le flic arrivé sur place, la cadavre s'est carapaté ! Ou alors, on l'a enlevé… Ou alors, Carmen (leur bonne qui a découvert le corps) a eu la berlue.

Lorsqu'on lit un roman des folles enquêtes de Magritte, c'est une grosse part de belgitude que l'on dévore. Comme un cuberdon, on a du mal à arrêter et on continue, jusqu'à ce qu'on arrive à la fin du paquet.

C'est moins gras qu'un paquet de smoutebollen (croustillons), mais ça vous colle aux doigts comme des snotebol (crotte de nez).

Hé oui, Nadine Monfils, non contente de nous immerger dans la ville choisie, de nous planter de beaux décors, de nous raconter des anecdotes véridiques sur le peintre Magritte, elle émaille aussi ses dialogues, ses textes, de mots typiquement belges, typiquement Brusseleir (de Bruxelles) et même de quelques mots en flamand dans le texte.

Pas De panique ! Ils sont expliqués en fin de chapitre et certains n'ont pas besoin de traduction, ils se comprennent tous seuls ou sont juste des mots qui reviennent à chaque fin de phrase, comme le "zeg" flamand (dis).

Les enquêtes vont à leur rythme, notre couple enquêtant à leur aise, remontant les pistes patiemment, démêlant la pelote de laine sans aller trop vite.

Pourtant, pas d'ennui pointant son nez à l'horizon, pas de bâillement, ça prend son temps, oui, mais on ne traine pas la patte pour autant. L'humour nous tient compagnie, le caractère bourru de Magritte aussi.

Les personnages sont bien travaillés, ils ont une présence et la mention spéciale reviendra à Carmen, la "reine de la loque à reloqueter" qui n'en fout pas une !

Les enquêtes des Magritte, c'est un scénario qui tient la route, pas écrit par un "schieven arkitek" (architecte de guingois, la pire insulte du dialecte marollien, destinée à Joseph Poelaert), une Klet (mollasson) ou un Snul (vous comprendrez en enlevant la lettre "s"), ou pire, un Dikkenek (gros cou).

Bref, vous l'aurez compris, sans se prendre au sérieux, Nadine Monfils écrit des romans policiers plus que correct, avec des vrais morceaux De Belgique dedans.

Le Belge en profitera sans doute un peu plus que le Franskillon, mais ceux de l'hexagone comprendront tout de même et ne resterons pas comme un Keiskop (tête de fromage – pas malin) ou un Kluut (un nul ou alors, les trucs que les hommes possèdent et qui vont en paire).

Une excellente enquête où, bien que j'ai eu des soupçons et des doutes, je n'étais pas sûre de mon coup, ce qui fait que je me suis laissée prendre par le final, même si je m'en doutais un peu.

PS 1 : L'autrice, Nadine Monfils, parle à un moment donné de viagra. Magritte est décédé en 1967 et l'autorisation de mise sur le marché du viagra fut accordée en 1998 aux États-Unis (1999 en Europe).

20 années séparent le médicament célèbre de Pfizer et la fin de Magritte. À mon sens, le mot "viagra" dans le roman, c'est du surréalisme ! mdr
Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un cosy mystery léger, sympathique et agréable à lire.
Ce sont Magritte et sa femme Georgette qui mènent l'enquête.
L'auteure en profite pour parsemer, ça et là, des anecdotes concernant le peintre et le milieu artistique de l'époque.
Et puis, on traverse Bruges, ses canaux, ses bières...
Magritte est un garnement, les dialogues sont rigolos et l'intrigue, sans être époustouflante, tient debout.
Un bon divertissement.
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Un cadavre et un tableau de Magritte volatilisés, une ville pleine de fantômes, de mystère, de musées, un antiquaire invitant un automate à table, une vieille acariâtre, un château peu engageant, voilà le décor de la troisième enquête de Magritte et Georgette. Et de Loulou ! J'aillais oublier le flair infaillible de leur petit chien blanc.

Plaisir constant pour ce 3ème tome et enthousiasme de retrouver ce duo d'enquêteurs que je trouve fort sympathique, aux dialogues et à l'humour noir et déjanté.
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Troisième volume de la série des enquêtes de Magritte et Georgette, après deux tomes que je n'ai pas lus. Encore une rencontre due au hasard des propositions de la médiathèque.
On connaît bien sûr Magritte, le peintre surréaliste, mais l'autrice belge lui invente ici une activité annexe d'assistant enquêteur auprès de Georgette, son intrépide et authentique épouse. J'ai apprécié dans ce cosy mystery les références aux toiles du peintre, je les y aurais bien vues aussi, même petites et en noir et blanc à titre d'illustration, mais c'est un roman, pas un livre d'art. Les personnages sont pour la plupart aigris, grincheux, vindicatifs, avec un sens féroce de la répartie qui m'a souvent fait sourire.
Ne reste que le mystère, pas très épais, d'un crime sans cadavre, d'une toile contrefaite et d'un mari cocu. Heureusement, Jackie, dite Loulou, la chienne du couple Magritte est bien la plus maligne et a flairé le coupable dès le début. Dommage que personne ne prenne la peine de l'écouter.
Si j'ai trouvé l'intrigue du roman un peu faible, cette lecture m'a en revanche donné très envie d'aller visiter la ville de Bruges ; l'autrice la dépeint tellement bien que je je souhaite que ces lieux soient réels pour pouvoir les découvrir.
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Une nouvelle aventure de René et Georgette que j'ai attendue avec impatience !
Toujours un coup de coeur pour cette série qui ne ressemble à aucune autre ! ♥ On s'attache de plus en plus aux personnages !

Un soir, Carmen affolée frappe à la porte des Magritte. Elle a découvert un de ses employeurs, Charles Bogaert, poignardé chez lui au bout de la rue. Mais une fois sur place, la police en la personne de l'adjudant-chef Kiekens ne découvre aucun corps, celui-ci semble s'être volatilisé ou bien, plus probablement la femme de ménage a eu des hallucinations surtout que le dit Charles Bogaert n'a aucune réalité officielle, il n'existe tout simplement pas.
Mais ce n'est pas tout, Carmen a subtilisé un enveloppe marquée top secret sur les lieux et affirme mordicus qu'un des tableaux de Magritte, "Le principe du plaisir" trônait dans le logis du mort et qu'il a lui aussi disparu.
Intrigué, le peintre sait n'avoir vendu aucun tableau à ce voisin et cherche à retracer le parcours de la toile. D'un indice à l'autre, les voilà partis, lui, Georgette et Loulou pour Bruges. Sur place, ils vont se frotter à une étrange famille, les Rodenbach à la tête de laquelle règne une odieuse vieille femme irascible qui mène la vie dure à ses trois enfants et leurs conjoints.
"Chez ces gens-là" on ne rigole pas !

Une autre mort, puis encore une et de fil en aiguille, tous les membres de cette maison vont être suspectés. Une intrigue prenante, bien ficelée, peut-être la meilleure des trois tomes !

Nadine Monfils, une nouvelle fois, met à l'honneur une ville Belge. Ses deux héros profitent de leur enquête pour en battre le pavé et visiter tous ses principaux lieux. Quelle belle balade ! Architecture, canaux, musées, restaurants, les descriptions de cette vieille cité sont fascinantes et le tout est agrémenté d'anecdotes, de légendes qui lui donne une ambiance toute particulière. C'est extrêmement bien documenté et judicieusement imbriqué dans l'intrigue.

On retrouve tout ce qui fait la saveur de cette série, les expressions belges, les dialogues plein d'humour (les passes d'armes entre Carmen et René, j'adore !), le côté insolite du peintre, la plongée dans son univers et les références nombreuses à ses tableaux et à ses compatriotes réels.
La plume est savoureuse, l'auteur a vrai sens de la formule et sait toucher avec des passages plein de poésie mais aussi faire rire avec une situation, un propos, un bon mot. C'est toujours aussi léger, drôle et érudit, à la fois populaire et lettré, du grand art !
Lien : https://chezbookinette.blogs..
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C'est un livre policier agréable à lire parce qu'il n'est pas qu'un roman policier. Magritte et sa femme Georgette enquêtent, oui, mais j'ai presque envie de dire qu'il fallait bien que quelqu'un le fasse puisque la police ne le fait pas. Il faut dire qu'il est dur d'enquêter sur un meurtre quand le corps a disparu, et que le propriétaire de ce sus-dit corps est peut-être tout simplement en train de se promener quelque part. de fil en aiguille, ou plutôt de tableau en tableau, René et Georgette (les prénoms de mes grands-parents) se retrouvent à Bruges avec Loulou (scoop : ma grand-mère aussi a eu une loulou de Poméranie) et essaient de retrouver la trace de ce disparu – à savoir si c'est à titre provisoire ou définitif. S'ils pouvaient également découvrir ce qu'il est advenu d'une toile de Magritte, une commande, qui a changé de propriétaire plus vite que prévu, ce serait bien aussi.

Bruges et son béguinage. Bruges et ses bourgeois confis dans leurs haines, dans leur soucis des apparences, qu'ils ne parviennent parfois même pas à maintenir. le seul amour qui existe est celui qu'ils éprouvent pour l'argent, qu'ils le gardent ou qu'ils le fructifient. Oui, parfois, il leur permet d'assouvir leurs passions égoïstes – mais pas plus. le tableau serait totalement déprimante si les artistes n'étaient pas là, déambulant dans les brumes de la ville, découvrant tout ce qu'elle peut avoir de poétique, croisant d'autres artistes, tout aussi passionnés qu'eux. Il vaut mieux, tant certains ne semblent pas capables de se débarrasser du fardeau qui pèse sur leurs épaules.
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Georgette et René Magritte s'aiment comme au premier jour dans une vie paisible avec leur chien surnommé Loulou. Mais un soir, Carmen, leur femme de ménage déboule, à l'improviste, toute bouleversée. Elle est persuadée que le couple connaît Charles Bogaert, puisque ce monsieur détient une toile de Magritte. Or, en retrouvant cet autre patron inanimé, Carmen a aussi observé que le fameux tableau avait disparu. Comme ils habitent à proximité, Georgette et René s'empressent d'accompagner Carmen chez ce voisin pour la rassurer et comprendre pourquoi ce tableau se trouverait là, car René n'a jamais peint « le principe du plaisir » pour lui. Mais à l'arrivée sur les lieux, tout semble indiquer que l'homme est mort et la toile dérobée  ; alors le trio s'éclipse avant d'appeler, pour la femme de ménage, la police.
Or, bizarrement, l'enquêteur ne retrouve aucun corps dans l'appartement.
Intrigués par ces deux disparitions, corps et tableau, les Magritte partent pour Bruges rencontrer Édouard James, le commanditaire du portrait surréaliste. Et finalement, beaucoup d'interrogations et des cadavres vont poindre au fur et à mesure de leur périple.
MON AVIS
L'auteure, Nadine Monfils, m'a séduite avec ce roman cosy crime, extrait d'une série « Les enquêtes de Georgette et Renée » où le hasard a mis entre mes mains le tome 3 : les fantômes de Bruges.

Dans une ambiance légère, la série met en scène des héros sympathiques. Ils se retrouvent malgré eux dans le rôle d'enquêteurs pour un crime dont on est finalement peu soucieux du sort de la victime. Ici, c'est encore mieux, car elle a disparu !

L'harmonie agréable et la complémentarité du couple Magritte engagent le lecteur à suivre les protagonistes avec plaisir dans leurs pérégrinations et leurs rencontres.

René use d'une sincérité âpre et son caractère d'artiste lui permet de s'absoudre des bienséances de la politesse. Sa franchise caustique et son humour de pince-sans-rire amusent (c.f. avec Carmen). Il donne presque envie de devenir son ami malgré son honnêteté parfois trop nette pas toujours facile à encaisser.

À ses côtés, Georgette tempère le comportement plus spontané de son mari. Tous les deux forment un couple sympathique, dont la fréquentation recherchée pour la créativité de l'un et la bienveillance polie de l'autre.

L'apparence lisse de ces héros se calque finalement sur ceux d'Agatha Christie. Dans la lignée des Beresford présents dans son livre « Le Crime est notre affaire », ces enquêteurs amateurs font preuve d'une perspicacité de fins limiers. En effet, la diversion paisible de leurs attitudes et de leurs conversations dissimule une efficacité imparable dans leur déduction. Ici, l'action se situe en Belgique.

Du coup, ce roman choral offre un éventail de personnages divertissants et intéressants, comme les membres de la famille Rodenbach, tous loufoques à leur manière. Elle se compose du fils homosexuel affiché et cocu notoire, à la fille célibataire délaissée et obsédée à la folie pour le flirt d'un pseudoamour… jusqu'à la matriarche intraitable dont tous convoitent la fortune.

J'ai beaucoup apprécié une version de fresque policière pour aborder un peintre renommé que je connaissais peu même si ses toiles font finalement partie de notre univers visuel. Dans ce roman, il est question d'une toile très connue « le principe du plaisir » (c.f. l'image infra). Personnellement, je viens de découvrir son titre et de fait l'identité de son créateur. Ce récit m'a donné envie de rechercher d'autres éclaircissements que je partage avec vous. Plus de détails sur le blog :
Lien : https://lesparolesenvolent.c..
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