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Citations sur La fille de Brooklyn (341)

Je n'étais plus sûr de rien : ni de mon mariage, ni de ma vocation d'enseignant, ni du sens que je voulais donner à ma vie. Et cette fille savait trouver les mots. Elle voyait loin, elle voyait juste. Dans sa bouche, rien ne semblait impossible. Les lendemains étaient excitants et grandioses.
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A quoi bon prétendre que l'on aime quelqu'un si on est pas capable de le protéger?
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Les livres ont une singularité qui confine à la magie : ils sont un passeport pour l'ailleurs, une grande évasion. Ils peuvent servir de viatique pour affronter les épreuves de la vie.
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Heinz Kieffer était un solitaire, un être transparent et impénétrable. Un véritable M. Cellophane.
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Avoir un enfant vous oblige à vous délester d'un passé trop lourd, seule condition pour vous projeter vers demain. Avoir un enfant signifie que son avenir devient plus important que votre passé. Avoir un enfant, c'est être certain que le passé ne triomphera plus jamais sur l'avenir.
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Et si c'était lui ?
Lui ?
– Le détective qu'avait engagé Joyce en secret. Quoi de mieux qu'un flic français qui travaille sur l'affaire
pour avoir accès à toutes les informations y mener des investigations complémentaires ?
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La photo des trois cadavres carbonisés, le sac rempli à craquer de billets, les faux papiers, la double vie
d'Anna : à nouveau l'adrénaline du chasseur courait dans ses veines.
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Les livres ont une singularité qui confine à la magie : ils sont un passeport pour l'ailleurs, une grande évasion. Ils peuvent servir de viatique pour affronter les épreuves de la vie.
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– J’ai moi aussi eu besoin d’aide. La dépression, les hallucinations, les crises, la peur des autres et de soi-même, les portes de l’enfer, comme tu disais, je suis passé par là.
Maxime resta interdit.
– On ne l’imaginerait pas en vous voyant. Et maintenant, vous êtes guéri ?
Caradec secoua la tête.
– Non, ces trucs-là, on n’en guérit jamais vraiment. Ça, c’est la mauvaise nouvelle.
– Et la bonne ?
– La bonne, c’est qu’on peut apprendre à vivre avec.
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Je cours. Je cours. Les branchages me lacèrent le visage, les ronces me déchirent la peau, les pierres écorchent mes pieds, mais cela me fait du bien. Je cours. Pendant quelques secondes, je suis libre, je suis vivante et il n'y a rien de meilleur au monde. Je cours. Je fais corps avec les nature qui m'entoure. Je suis la pluie qui me trempe, je suis la forêt qui me protège et qui m'avale, je suis le sang qui pulse dans mon Coeur. Je cours. Je suis l'effort qui m'épuise, le gibier blessé qui refuse l'hallali.
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