La Cheffe, roman d'une cuisinière

Lu en deux fois, coupé avec d'autres romans. Parce que c'est long, ça tourne en rond, pas de chapitre, des répétitions, la Cheffe non attachante. le narrateur, éperdu d'amour pour sa patronne cuisinière, va la sublimer, l'encenser. Des paragraphes de plats, mais j'aurai aimé des descriptions de cuisine à m'en faire saliver. Autant lire une biographie de quelqu'un de connu. Les dernières pages nous montrent une histoire bien ficelée, mais un gros effort à faire avant d'y arriver. Style prétentieux. Je n'ai pas trouvé la force de ‘Trois femmes puissantes' du même auteur. Je regrette de n'avoir pas compté le nombre de fois où j'ai eu à déglutir le mot La Cheffe, la Cheffe, la Cheffe, la Cheffe, etc.

Pfff... j'en suis enfin arrivée au bout, et je suis gavée.
J'ai eu bien des difficultés avec ce livre, je n'ai commencé à accrocher à l'histoire que passer la moitié, quand le narrateur commence à parler de sa fille.
Rien ne me poussait à revenir à cette lecture, si ce n'est que je me disais qu'il devait bien y avoir un autre truc... quelques choses d'autres dans toute cette histoire.... mais malheureusement cet autre truc que j'ai deviné bien longtemps avant qu'il ne puisse commencé à être évoqué, n'est pas parvenu à me faire digérer les restes du livres.
Il y a des magnifiques descriptions de de plats, on en a l'eau à la bouche.
Mais ces mets sont servis avec un style un peu trop lourd à mon goût. J'ai eu l'impression que la description du premier repas préparer par la cheffe occupait la moitié du roman.
Et, moi j'ai besoin de respirer dans une lecture, j'ai besoin à défaut de chapitres, d'avoir des paragraphes clairement identifiés, avec un peu d'air de temps en temps dans la lecture.... mais ici, rien de tout ça.
En débutant ce livre, je m'attendais à de la haute gastronomie, et au finale, c'est une espèce de gâteau "étouffe-chrétien" comme on dit par chez moi.

Le narrateur nous raconte l'histoire de "La cheffe", chef de cuisine autodidacte qui cuisine à l'instinct qui a appris seule à sublimer les meilleurs produits qu'elle trouvait ... 

Placée dans une familles de notables de Marmande, puis se faisant engager dans un restaurant bordelais pour apprendre les bases du métier, elle obtiendra une étoile ... 

Le narrateur, l'un de ses employés de cuisine lui voue une dévotion, voire un amour sans failles... 

Il mènera l'enquête auprès de ceux qui auront connu la cheffe pour nous délivrer cette histoire et rendre encore plus grande cette Dame à qui il doit beaucoup.

Ce récit chronologique est entrecoupé de passages en italique qui relate la vie actuelle du narrateur. Sans aucun lien apparent avec l'histoire de la cheffe, j'ai trouvé qu'ils en polluaient la lecture et sur la fin de ma lecture, j'ai préféré sauter ces passages qui m'ennuyaient et troublaient ma concentration ....

Au fait, la cheffe a un prénom ... mais on ne le découvre qu'à la fin du roman !

Bonne lecture !  
Lien : http://les.lectures.de.bill...

Je n'ai malheureusement pas pu aller au bout de ce roman. En cause : une narration à la troisième personne qui m'a fortement déplu. "La cheffe", "la cheffe", "la cheffe", préparez vous à lire ces deux mots environ 15 X par page ... Je ne peux juger la qualité du roman, ici c'est plutôt le style que je mets en cause, c'est donc un jugement très personnel.

Je suis vraiment passée à côté de ce roman.
J'y retrouve pourtant de nombreux thèmes qui me sont chers : l'art culinaire, un portrait de femme et les Landes (et donc mes chers pins).
Mais les phrases à rallonge, les flashback entre passé et présent, le narrateur commis plus ou moins amoureux (et par conséquent l'écriture très subjective et introspective) m'ont ennuyé à souhait. J'ai eu l'impression de me perdre dans des détails sans comprendre le sens même de ce portrait, de ce témoignage.
J'ai abandonné à la page 142.

Je vais être brève pour une fois, c'est un roman que je n'ai pas aimé, alors que le thème a tout pour me plaire. Mais le mode de narration choisi m'a fait presque tomber le livre des mains.
Le narrateur a travaillé pour la cheffe (qu'il ne nomme jamais, comme si c'était une évidence), il lui voue une admiration sans borne au point de vouloir écrire sa vie…Mais il est lourd, il se répète, et m'a prodigieusement fatigué.

Le destin mène l'héroïne d'un monde pauvre et sans études vers un univers où la cuisine devient le centre et le moyen de grandir, d'évoluer, d'aimer...Ecriture lente et un peu saccadée. Des longues et belles phrases...au point d'oublier de quoi on parlait.
N'étant pas passionnée de gastronomie, je n'ai pas trouvée cette lecture très passionnante. le personnage principal, très bien décrit, à répétition, une fois, deux, puis trois...c'est bon on a comprit, me parait complètement irréel.

Ce livre a les qualités et défauts d'un "page-turner" personnellement, ce n'est pas la pâte "feuilletée" que je préfère, alors je reste sur ma faim et attends je ne sais pas...peut-être "L'Auteure, roman d'une écrivaine" !

Franchement comme souvent les thèmes abordés par cet auteur m'attirent beaucoup. Je n'avais jamais eu l'occasion de m'y mettre. Et là, je suis très déçue. le problème, c'est le style. Aucune respiration à part des retours à la ligne. On s'essouffle! Des phrases trop longues et alambiquées, des répétitions, on frôle l'indigestion ce qui est un comble pour un livre sur une cuisinière. J'ai eu envie de finir vite et j'ai survolé pas mal de phrases au lieu de prendre plaisir à traîner. Dommage.

Ca se passe à Bordeaux : good point.
C'est l'histoire d'une cuisinière : +1
Racontée par un de ses employés : ok
Voilà.
Je n'ai pas du tout aimé. Ça ne me donne pas envie de lire d'autres romans de cette autrice, sauf si on m'explique que ce livre est très différent de son style habituel.