Peut-on parvenir à contrôler les pensées et les émotions d'un individu à son insu ? Rendre un terroriste raisonnable, un témoin gênant amnésique ? Ou encore transformer un chef politique en un radoteur au langage décousu ? Telles sont les questions qui passionnent Art Bemington, le directeur du département ultra-secret des sciences du comportement à la C.I.A.
Sa dernière trouvaille : Ann Robbins, un brillant médium capable de localiser un sous-marin au milieu de l'océan par la seule force de la pensée. Trop brillante sans doute... le K.G.B. préfère mettre un terme définitif à sa carrière. Ainsi débute une hallucinante compétition pour la maîtrise de la plus sophistiquée des armes : l'esprit humain. Un passionnant thriller scientifique dont l'enjeu est le contrôle du cerveau humain.
Les 50 premières pages rebutent. Après ce n'est qu'un tourbillon exaltant .
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Un roman d'espionnage très bien documenté à tel point que les longues descriptions scientifiques, techniques, paysagères et autres ont diminué mon intérêt. Dommage car les personnages sont crédibles, les situations aussi même avec leurs caractères exceptionnels. L'écriture serait agréable sans ces longueurs qui cassent le rythme.
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DECEPTION : je m'attendais à me plonger dans un thriller mais je me suis retrouvée dans un roman d'espionnage dans un contexte scientifique et politique ce m'a empêchée d'apprécier cette lecture
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Ce qu'un psychiatre avait pris pour un livre sur la voyance.
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A 350 mètres au fond de l'Atlantique, à 317 milles nautiques au sud-est du Groendland, l'USS Boston avançait prudemment dans un océan de nuit perpétuelle, à la vitesse de 4 nœuds. C'était un SSN-688 de la classe Los Angeles, un sous-marin d'attaque « chasseur-tueur » à propulsion nucléaire, un des meilleurs et des plus récents de la marine américaine. De son poste de commandement, le pacha du sous-marin suivait sur la toile d'araignée verte de sa table traçante la très lente progression de son navire.
Depuis des heures, le Boston décrivait des cercles concentriques de plus en plus serrés autour du point central d'une zone baptisée Bravo. La présence du Boston dans cette zone contrevenait totalement à l'un des principes fondamentaux des sous-mariniers. Les ordres d'opération destinés à la flotte sous-marine en atlantique ne laissaient planer aucun doute : la zone bravo constituait un territoire vierge, une zone absolument interdite. C'était le sanctuaire,
Demain le chantage atomique
Pour évoquer le
nucléaire,
Bernard PIVOT reçoit plusieurs auteurs d'ouvrages sur ce thème.
Bertrand GOLDSCHMIDT présente son livre "
Le complexe atomique" : il retrace l'
aventurepolitique de l'atome et du
nucléaire (l'
arme nouvelle, l'attitude de
De GAULLE, la
collaborationoccidentale).
Dominique LAPIERRE et
Larry COLLINS pour "
Le cinquième cavalier" : les deux collaborateurs exposent leur...