C’est l’histoire de Loudenot Denise qui aurait tant voulu qu’on lui donne tout de suite le coup de grâce, et qu’on lui fasse de naissance le coup du lapin. Il y a de la ferveur à parler ainsi. Les peines de vie, à l’usure du temps, ne sont pas forcément térébrantes, ponctuelles, lancinantes, mais peuvent couvrir, envelopper, et deviennent l’habit du temps quand on ne compte plus les ans. (Page 49)