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EAN : 9782253243816
320 pages
Le Livre de Poche (31/01/2024)
4.2/5   554 notes
Résumé :
Darwyne Massily, un garçon de dix ans, légèrement handicapé, vit à Bois Sec, un bidonville gagné sur la jungle infinie. Et le centre de sa vie, c'est sa mère Yolanda, une femme qui ne ressemble à nulle autre, bien plus belle, bien plus forte, bien plus courageuse. Mais c'est compter sans les beaux-pères qui viennent régulièrement s'installer dans le petit carbet en lisière de forêt. Justement un nouvel homme entre dans la vie de sa mère : Jhonson, un vrai géant celu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (119) Voir plus Ajouter une critique
4,2

sur 554 notes
Darwyne Massily, dix ans, est né avec une malformation des pieds. Il vit avec sa mère Yolanda dans un bidonville relégué entre deux mondes, d'un côté la ville qui le repousse sur ses hauteurs, de l'autre, la forêt amazonienne de Guyane dont il faut sans cesse refouler la pression expansionniste. Yolanda semble une mère exemplaire, digne et courageuse, et l'enfant lui voue une véritable adoration, troublée de loin en loin par une succession de beaux-pères qui ne s'éternisent jamais longtemps avant de disparaître sans préavis. Un jour, l'aide sociale à l'enfance est alertée anonymement sur la situation de Darwyne...


Frêle silhouette contrefaite et boitillante se tenant toujours à l'écart, le taciturne et sauvage Darwyne ne présente aucun signe visible de maltraitance, et, même si sa mère en parle étrangement « comme [d']un animal » à « redresser », Mathurine, l'éducatrice des services de protection de l'enfance, devrait en toute raison classer sans suite son dossier. Elle ne peut cependant s'y résoudre et, décidant d'apprivoiser l'enfant, elle entreprend de l'approcher au travers de leur passion commune : cette jungle amazonienne que leurs semblables combattent comme un ennemi monstrueux, menaçant et grouillant, toujours prêt à reprendre ses droits, mais que tous deux aiment explorer, fascinés par ce monde vivant d'une richesse infinie.


Peu à peu, au contact de cette forêt bruissante et enveloppante, qui, tel un organisme vivant, vibre et respire, s'incruste dans le moindre interstice pour mieux repousser à peine défrichée, et, selon le regard, se pare d'une merveilleuse fantasmagorie ou prend les allures d'une hydre dévoreuse, se précise, en même temps que se craquellent les masques des personnages et que se révèle leur vraie nature, un antagonisme fondamental, socle du roman. Tandis que l'on découvre la cruauté cachée sous les dehors bien lisses de la mère et que Darwyne apparaît transfiguré, épanoui et à son aise dans une jungle-refuge où, loin du mépris normatif des hommes, il a su développer d'incomparables talents, le combat entre les misérables habitants du bidonville et la luxuriante forêt appuyée par les éléments déchaînés se fait le symbole de l'opposition entre civilisation et sauvagerie, hommes et nature, la barbarie n'étant pas forcément là où l'on l'attendait le plus.


Habité par cette forêt amazonienne quasiment élevé au rang de personnage fantastique, Darwyne est un roman déconcertant et fascinant, et surtout, un magnifique appel à la réconciliation de l'homme avec son environnement. A tenter avec autant de présomptueuse inconséquence de domestiquer la planète, l'on en oublie la miraculeuse beauté de ses mystères et le bonheur de vivre en harmonie avec le monde.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Magnifique ...
( et j'ai envie d'ajouter : comme tous les romans de Colin Niel...)

Parce qu'à partir d'un fait “banal”, en Guyanne , une énième "enquête" d'une employée de la Protection à l'Enfance, (cette fois-ci , à propos d'un signalement anonyme effectué sept mois plus tôt ), Colin Niel dépasse son sujet . Il en fait quelque chose de plus grand, quelque chose d'infini, de presque magique et pour cela , il est aidé par trois personnages ultra charismatiques du point de vue littéraire

Tout d'abord , Darwyne, un garçon de dix ans dont la vie est loin d'être un long fleuve tranquille.
Cet enfant habite sur le flanc d'une colline, dans un carbet (une sorte de cabane faite de bric et de broc), dans un bidonville où sont rassemblés tous les miséreux, envahie par la végétation . Et comme il faut bien réparer l'habitation, il faut bien repousser cette forêt , Darwyne, subit la présence de beau-père 1, beau-père 2... jusqu'au n° 8 ; qui tous “arrivent comme par magie et disparaissent aussi vite ”qu'ils sont rentrés dans la vie du garçon et sa mère. Sa mère qu'il aime à la folie, et dont il voudrait bien être aimé en retour.

Et puis , il y a Mathurine, assistante sociale qui doit enquêter pour savoir si elle peut laisser Darwyne dans cet environement -là, avec ce dernier beau-père, le "number 8" . Mais l'enfant ne lui facilite pas la tache. Il n'est pas facile, il ne communique pas avec les gens, n'a pas d'amis à l'école. Son refuge, c'est la forêt amazonienne dont il connait chaque bruissement, et ça tombe bien, parce que Mathurine, la forêt , c'est sa passion, aussi.
Respect. d'un côté, fascination, de l'autre, Darwyne va livrer de lui-même , un peu plus qu'il n'aurait voulu...

C'est une histoire formidable que nous conte Colin Niel, étrange et si originale, inspirée d'une "créature forestière et magique bien connue des peuples d'Amazonie, Maskilili". On est entre enquête "policière", roman noir, magie et genre fantastique.

La forêt, territoire méconnu est un décor immense, elle est aussi perçue par le lecteur, comme le troisième " personnage" de part sa présence envahissante et inquiétante. Un décor qui avance "gloutonnement" , qui envahit, qui donne asile, qui dissimule, qui protège, qui avale, qui recrache...

Le lecteur découvre des personnages , mais aussi des conditions de vie : la débrouille, un territoire méconnu qui n'a livré qu'une partie de ses trésors (faune et flore), un métier (protection de l'enfance) qui manque de “bras”.

Elle est passionnante cette assistante sociale généreuse, elle prend des risques à aller et venir tôt le matin, dans la nuit, à poser des questions sur des disparus, des gens qui n'ont peut-être pas envie qu'on s'intéresse à eux de trop près...
Elle est touchante, cette Mathurine, à vouloir un enfant alors qu'on lui dit qu'elle est trop vieille .
Elle est formidable dans son approche, dans son “apprivoisement ” de Darwyne.

Et quand s'affiche le mot FIN, on espère que tout ce petit monde va s'en sortir, quel que soit ce qu'on entend par là...Parce qu'une fois terminé, son livre, Colin Niel vous aura fait voir les choses autrement, le bien et le mal différemment , Colin Niel vous aura retourné le cerveau ! Ça fait cet effet-là, la forêt amazonienne, à moins que ce ne soit le petit Darwyne, dix ans qui voulait tellement être aimé. Quel personnage !

Un coup de coeur...
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Un petit bijou de roman noir , trés noir écrit par un auteur de talent qu'il est bien inutile de présenter .
Lui , c'est Darwyne , jeune garçon de dix ans au handicap si particulier qu'il en deviendra un atout...ou un inconvénient selon le point de vue .Sa mère , c'est Yolanda , belle à en tomber , attirant les hommes , tous ensorcelés ,et semblant les"jeter" aussi vite . Tous disparus brutalement .La preuve ? Johnson , c'est le huitième à céder à ses charmes , à renoncer à toute activité avec les autres habitants infortunés du bidonville de Bois Sec , hameau ou plutôt ilôt de misère coincé entre la ville et la forêt amazonienne ...Il y a ces trois personnages et Mathurine , une éducatrice de la protection de l'enfance , une personne complexe , en mal d'enfant et chargée de savoir ce qui pourrait bien porter préjudice à Darwyne . Sa mère ? Ses beaux - pères ?
Tâche ardue .Rien . Rien . Et si la forêt venait mettre son " grain de sel " dans toutes ces interrogations ? Et si les animaux ...?
Il faut dire qu'elle est fascinante cette forêt , profonde , mystérieuse mais ...personne ne'ose s'y aventurer , alors ?
L'histoire est addictive , racontée avec talent , le rythme va crescendo jusqu'à un final aussi inattendu que proche du fantastique.
Un régal pour les amateurs du genre et , sans doute aussi pour tous ceux qui aiment pénétrer dans des forêts aussi obscures que l'âme humaine .
Le gamin , il s'appelle Darwyne . Je vous dis ça comme ça , ça m'est passé par la tête ....
Allez , les amis et amies , l'histoire vous plairait bien ? Moi , j'en suis ressorti indemne et je n'ai pas envie de tenter le diable en y retournant avec vous . Pourtant , Yolanda , c'est mieux que le petit tailleur qui"en avait eu 7 d'un coup ", vous vous souvenez ? . Elle , c'est 8 à la suite .... Et tous ...disparus ...
Alors bon courage et à bientôt .On se retrouve dès que possible .... si possible !
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Darwyne Massily vit seul avec sa mère, Yolanda, qu'il aime par-dessus tout, dans un minuscule carbet accolé à la jungle, sur les hauteurs de la colline de Bois Sec. Seuls tous les deux quand les beaux-pères, qui se succèdent, ne finissent pas disparaître sans même dire au revoir. En ce dimanche, de retour chez eux après la messe, en voyant la quantité de blaff cuisiné, le jeune garçon devine déjà que tout va à nouveau recommencer. Aussi n'est-il pas surpris d'entendre le portail crisser et de voir apparaître la silhouette d'un homme. Il sait que ce Jhonson, le beau-père huit, va venir habiter avec eux...

Mathurine est éducatrice spécialisée à la protection de l'enfance. Quand elle n'est pas en charge des nombreux dossiers qui trainent sur son bureau, elle n'aime rien moins que de se balader en pleine forêt. Aujourd'hui, elle s'empare d'un nouveau dossier : Darwyne Massily. Il y a 7 mois déjà, un appel anonyme a été passé au 119. Sans être précis, l'homme en ligne affirmait que quelque chose n'allait pas là-bas. Ses courriers ne recevant aucune réponse, ni ses tentatives d'appel, Mathurine décide de se rendre à Bois Sec. Mais le garçon est insaisissable et peu loquace...


Colin Niel délaisse, cette fois, la Guyane et nous embarque quasiment en pleine forêt amazonienne... Une forêt que Darwyne, 10 ans, a presque fait sienne tant il y évolue avec assurance et calme, lui, l'enfant boitillant à cause de ses pieds qui rentrent, lui, dont tout le monde aime à se moquer. Outre la forêt, le garçon voue un amour inconsidérable, éperdu à sa mère, Yolanda. Une femme droite, rigide, courageuse qui peine à aimer son fils. Elle qui, pourtant, n'en manque pas tant les beaux-pères se succèdent dans leur minuscule carbet. L'arrivée de Mathurine, cette femme dynamique et grande marcheuse, qui tente par tous les moyens d'enfanter, va bouleverser cet équilibre précaire. Ce roman, aussi envoûtant qu'inquiétant parfois, nous plonge dans une atmosphère étrange, un brin fantasmagorique où les hommes et la nature cohabitent. Si l'immensité de la forêt amazonienne, véritable personnage à part entière, nous enveloppe de par son omniprésence, son foisonnement et ses mystères, celui de Darwyne, ce garçon si étrange et particulier, nous touche et nous émeut autant qu'il semble fasciner Mathurine. Un roman aussi fascinant que déroutant, d'autant que l'épilogue, malgré quelques indices voilés, nous cueille par surprise...
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Si ce roman ne manque pas de qualités je ressors néanmoins de cette lecture avec un avis partagé. Je m'attendais à un roman policier pur jus or ce n'est pas le cas, c'est un roman noir certes, mais davantage social que policier à mon goût, il ne prend une tournure policière qu'à la toute fin.

Il y a peu de suspense et de surprises dans ce roman d'atmosphère à l'ambiance dérangeante comportant des scènes parfois sordides.

Pour ce qui est de l'histoire on suit l'enquête sociale menée par une éducatrice spécialisée Mathurine après que la situation préoccupante d'un enfant de 10 ans, Darwyne, a été signalée par un appel anonyme. L'enfant vit avec sa mère dans un bidonville jouxtant la forêt amazonienne. Voûté, solitaire, la démarche claudicante en raison d'une malformation du pied, cet enfant sauvage fait tout pour se faire oublier.
Dans le cloaque où il réside avec sa mère, un « carbet » minuscule et insalubre, l'étrange Darwyne a du mal à faire sa place d'autant qu'un défilé de « beaux-pères » entame sa relation avec sa mère Yolanda qui le compare à un animal et s'acharne à le « redresser » « pour son bien ». L'enquête mènera Mathurine au fin fond de la forêt d'Amazonie mais aussi de la noirceur humaine…
Malgré un début prometteur, même si certains passages sont très beaux et les messages sous-jacents intéressants, j'ai trouvé le récit un peu poussif, gangrené par des redondances et des personnages selon moi trop caricaturaux pour être tout à fait crédibles.

Reste à saluer les descriptions marquantes de cette immense et luxuriante jungle, tantôt protectrice, tantôt menaçante, qui fourmille de vie et semble avoir une âme.
Mais aussi l'osmose entre l'écosystème forestier amazonien et Darwyne en connexion avec plusieurs espèces donnant lieu à de très beaux paragraphes surtout dans les derniers chapitres.
Enfin et surtout plus d'un lecteur sera touché par cet enfant hors norme, peu gâté par la vie mais digne et combatif.
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critiques presse (3)
Telerama
20 février 2024
Un superbe roman d’atmosphère qui emporte le lecteur vers l’immensité de la forêt amazonienne, dont l’auteur excelle à faire sentir la présence, les vibrations, le grouillement et les respirations
Lire la critique sur le site : Telerama
SudOuestPresse
19 octobre 2022
Roman sans concession sur la violence familiale, « Darwyne » est aussi le magnifique portrait d’un enfant sauvage.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Telerama
27 septembre 2022
C’est aussi un superbe roman d’atmosphère qui emporte le lecteur vers l’immensité de la forêt amazonienne, dont l’auteur excelle à faire sentir la présence, les vibrations, le grouillement et les respirations. Le texte glisse alors aux confins du fantastique, perturbant et entêtant.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
– Toi, tu l'aimes, ta maman. Tu l'aimes beaucoup, hein? Et alors l'enfant hoche le menton, lèvres rentrées yeux grands ouverts, soudain emplis de cet amour que Mathurine vient d'évoquer. Elle en a croisé des gosses, des dizaines, des centaines, mais rarement elle a vu un attachement filial d'une telle évidence. Comme s'il venait de s'emparer de tous les traits de son visage, qu'il en débordait même, impossible à contenir. »
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Darwyne l'aime bien, cette brume-là. Il aime la regarder s'écouler comme un fleuve au ralenti, se déliter en volutes, il aime voir les oiseaux la transpercer dans leurs ébats. On dirait un voile, oui, un voile aux dimensions infinies sous lequel le monde se cache quand le jour revient le découvrir.
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- Bon, Lucien, dit le maître. Dis-nous : toi, qu'est-ce que tu as écrit ? Tu veux faire quoi quand tu seras grand ?
Darwyne sort de ses réflexions. La classe entière se tourne vers l'écolier interpellé, deux rangs devant lui. Lucien, un gamin grand comme s'il était déjà au collège, qui se tortille sur sa chaise, sourire aux lèvres.
- Allez, dis-nous.
- Pff, monsieu, pourquoi moi ?
Le maître insiste, et Lucien dit enfin :
- Bon, j'ai écrit... J'ai écrit CAFeieur.
- Quoi ? Caféier, tu veux dire ? Mais ce n'est pas un métier, c'est un arbre, ça.
- Non, non, non. CAFeieur. Tu fais la queue des heures, sous le soleil. Mon Dieu, c'est difficile.
L'adulte soupire, rit un peu aussi, l'air de se demander s'il s'agit ou non d'une blague. Une autre voix s'élève spontanément, côté fenêtre. Celle de Jayden, qui clame avec fierté :
- Moi, monsieur je veux être mule.
- Mule ?
- Oui. Transporteur international de cocaïne. Comme mon grand frère.
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Puis il empoigne sa débroussailleuse et se dirige vers le portail automatique, la villa avec terrasse et piscine et arbres fruitiers dans son dos. Il devine que l'homme le suit du regard, rassuré de le voir quitter les lieux. Parce que les gens comme lui, les étrangers, ça va pour débroussailler son terrain, mais il ne faudrait pas qu'ils s'incrustent non plus. Il a compris ça, Jhonson, qu'ici il y a des frontières faites pour ne jamais être franchies.
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A force, la pluie a fini par s'imposer comme une nouvelle normalité, même plus entrecoupée par la moindre éclaircie. Bois Sec s'est habitué aux vibrations des tôles au-dessus des visages abattus, au goutte à goutte sur les meubles et les lits, brèches trop coriaces pour qu'on cherche encore à les combler, à l'humidité omniprésente, bois gonflés, habits jamais vraiments secs, draps moites sur les matelas aux odeurs de moisi. On a cessé de se plaindre, désormais on se contente de préserver ce qui peut l'êre encore, réparations d'urgence en attendant la fin du déluge.
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