Barbe bleue

Je me suis enfin décidée à lire cette autrice très appréciée. Je pensais bien que l'histoire ne me plairait pas, je ne me suis pas trompée. La plume est belle fluide, pas de soucis, je l'ai lu très rapidement. Quant à l'histoire, je l'ai trouvée très banale et assez spéciale. La fin ne m'a vraiment pas plu, c'est encore plus spécial. Peut-être tenterais-je un autre titre ? On verra, ce n'est pas sûr... à moins que quelqu'un ayant mes goûts me recommande un titre...

Cela faisant longtemps que je me disais qu'il fallait que je lise au moins un Amélie Nothomb, mais jusqu'à présent aucun ne m'avait a priori attiré (titre, sujet, couverture quatrième de couverture). Et puis là, le titre avec sa référence au conte, et la quatrième de couverture m'ont décidée. L'idée de revisiter un conte bien connu m'a semblé plutôt sympa. D'ailleurs c'est bien le cas au début du récit. Mais très rapidement les personnages m'ont agacée, Saturnine, plutôt sympathique au début avec son caractère bien trempé, s'est vite révélée beaucoup trop sûre d'elle et très sensible à l'étalage du luxe, et Don Elemirio Nibal y Milcar, agaçant et passablement imbus de sa personne. Leurs bavardages m'ont paru interminables, abordant de grands thèmes (amour, art, religion, etc.) d'une manière stéréotypée à coup de banalités insipides. Beaucoup de dialogues plats et interminables. Cela rend un roman pourtant court, relativement long à lire. Au début, j'avais trouvé le style simple, plutôt agréable, mais pas dans les dialogues entre les deux protagonistes qui constituent l'essentiel de ce roman. A la fin c'est la déception, tout ça pour ça… Je n'ouvrirai pas de sitôt un autre livre de cet auteur.

Lu en Mai 2018
Une femme loue une chambre chez un vieil homme.
Amélie Nothomb raconte leurs dialogues et les pensées de la fille.
Elle ne comprend pas que ses anciennes colocataires soient tombées amoureuses de lui vu qu'il n'est pas beau mais à force de le côtoyer, elle tombe également sous son charme. Il est honnête et répond aux questions posées sans se cacher. Il souhaite avoir un secret et être respecté.

Quel est le secret caché derrière la porte noire ? Saturnine devient locataire de don Elemirio Nibal y Milcar grand d'Espagne, échappera-t-elle au destin des huit autres femmes qui l'ont précédée ?

Encore un dialogue ampoulé, Il ne suffit pas d'être invraisemblable pour être intéressant.

Du pur Amélie Nothomb : confrontation de 2 personnalités qui oscillent entre amour et haine ..du deja vu , sans surprise , ennuyeux !

J'ai du mal avec Amélie Nothomb !
Elle me fait l'effet d'une Lady gaga de la littérature: Un certain talent indéniable mais des traits bien trop forcés pour être convaincants. A forcer son style, on devient une caricature de soi.
Tout du moins, c'est mon avis de néophyte.
Ceux qui aiment Amélie Nothomb continueront de l'aimer et ceux, comme moi, qui ont du mal à accrocher ne seront pas emballés.

Un peu déçue par ce Roman pour lequel je suis partagée entre la rapidité de la lecture et la fin.

j'ai trouvé ce livre interessent au debut un bonne ambiance mais très deçus sur une fin trop courte avec l'impression quelle etait baclé deplus la fin avec une porté fantastique ma troublé car l'histoire etait telement bien situé dans la réalité cette fin fantastique mes tout le roman en cause et dans mon cas je n'est pas aimer

Amélie Nothomb revisite son conte préféré, le célèbre "Barbe Bleue" de Perrault à travers une plume pour le moins passionnante.
Saturnine, jeune institutrice belge, tient en main l'occasion idéale de quitter le sofa aux odeurs nicotiniques de son amie à Marne-la-Vallée, le troquant contre le luxe douillet d'un quarante mètres carrés parisien pour relativement trois fois rien.
Le propriétaire, Don Elemirio Nibal y Milcar, casanier et atypique, joue le rôle du méchant geôlier que l'auteure a délibérément rendu inlassablement bavard et attachant.
Alors que l'institutrice découvre ce qu'elle semble la seule à méconnaître jusque là, le revers de la médaille en quelque sorte, elle décide d'ignorer le mystère sans doute macabre et d'affronter nonchalamment son curieux colocataire.
On assiste alors à sa lutte contre ce phénomène qui n'est autre que l'Amour, et sur lequel Amélie Nothomb mettra les justes mots, l'analysant à sa manière.
Une lecture rapide, agréable sur le moment, jonchée de dialogues à références bibliques et mythologiques. Un dénouement, bien évidemment, prévisible et une fin vulgairement avortée.
Force est d'avouer que je m'attendais à faire une découverte un tantinet plus bouleversante, cependant, je n'hésiterai pas à m'orienter vers les publications précédentes de l'auteure qui lui ont sans aucun doute valu sa notoriété.
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