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3,78

sur 638 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Avec la mariée portait des bottes jaunes, Katherine Pancol nous livre une véritable saga familiale au coeur d'un domaine viticole bordelais et au sein de la famille Berleac où se mêlent trahisons, romances, rivalités et secrets de famille.
J'ai plutôt apprécié ce livre car le lecteur est pris à témoin de toutes ces histoires rocambolesques et maintenu en haleine jusqu'au bouquet final qui ressemble un peu à un pétard mouillé. C'est dommage d'autant que les personnages sont originaux, exubérants et avec des caractères bien trempés ce qui aiguise la curiosité du lecteur.
Cependant, plusieurs bémols ont entaché ma lecture comme la construction de ce roman qui ne suit aucune trame précise, l'histoire part dans tous les sens malgré un texte haut en couleur avec pour originalité de faire penser à une pièce de théâtre avec une petite introduction en début de chaque chapitre annonçant ce qui va se dérouler.
Enfin il aurait été bien venu de mettre l'arbre généalogique et le descriptif de chaque personnage en début de livre plutôt qu'à la fin.
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Katherine Pancol signe ici une saga familiale comme elle sait les faire!
J'avais adoré sa fameuse trilogie des "yeux jaunes des crocodiles" et j'avais peur d'être déçue ici.
Le titre est digne de ceux de ses autres romans: long et mystérieux! D'autant plus que ce n'est qu'au 3/4 du roman qu'il prend tout son sens.
Alors ai-je aimé?
Au début, moyennement. On suit des personnages, notamment Muriel, qui disparaissent ensuite d'une bonne partie de l'oeuvre. Et puis ce qui m'a perturbée, c'est le va-et-vient entre une narration à la 3ème personne à laquelle se mêlent les pensées des uns et des autres, comme ça, sans prévenir... Si vous êtes fatigué ou un brin distrait, c'est à ne plus savoir qui parle/pense!
J'ai trouvé aussi quelques longueurs dans la mise en place de l'intrigue justement parce que les plongées dans les pensées des personnages sont l'occasion de flash-back qui viennent interrompre l'avancée de l'histoire.
Et puis peu à peu, je me suis laissée prendre au jeu. J'ai aimé retrouver cette famille bordelaise vivant dans un château du 18ème siècle. J'ai aimé connaître les blessures des uns et des autres et m'apercevoir que cette famille bien en apparence ressemble en fait à n'importe quelle autre famille. Il y a des personnages atypiques, comme Louis: un enfant surdoué qui raisonne souvent comme un adulte; d'autres plus attachants comme Emile, le "vilain canard" au potentiel énorme. Enfin, Anaïs fait aussi partie de celle qui aura réussi à m'émouvoir. Elle dont le seul rôle toute sa vie aura été "sois belle et tais-toi" décide de se prendre en main et de ne plus subir les injonctions des hommes autour d'elle.
Au final, malgré un démarrage un peu lent, je ressors de cette lecture pleinement satisfaite!
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Bon roman pour qui aime les sagas familiales, les secrets de famille, les rivalités entre riches et un peu de suspense. le principal intérêt de cette intrigue bien menée vient de la présence des enfants India et Louis, 10 et 8 ans qui bousculeront un peu les codes familiaux des Berleac et ranimeront la tendresse enfouie sous les comportements que la vie a pétrifiés. J'ai passé un bon moment avec ce livre qui m'a fait oublier en partie la chaleur accablante, mais son souvenir ne sera pas de longue durée. Un bon roman d'été sans plus.
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Pourquoi « La mariée portait des bottes jaunes » ? Vous avouerez que le titre du nouveau roman de Katherine Pancol est assez cocasse, mais aussi bien mystérieux. Depuis la création de mon blog, je n'ai eu que de rares occasions de chroniquer ses livres et pourtant j'ai lu tous ses romans. C'est une femme dont j'admire à la fois le parcours professionnel que j'aie pu découvrir lors de nombreuses interviews, mais également sa plume. La façon qu'elle a de poser ses personnages, puis de tous les secouer dans une grande marmite pour parvenir ensuite à créer des liens entre eux est tout simplement remarquable. J'aime sa façon de raconter les histoires, en choisissant toujours un univers phare, et en les racontant entre tendresse, sourires et larmes.

Dans « La mariée portait des bottes jaunes », Katherine Pancol nous emmène au château de Berléac situé dans le vignoble bordelais où l'on fait le meilleur Grave du monde. Dans la famille Berléac, tout le monde travaille dans le domaine de la viniculture. Les femmes de la famille ne sont pas en reste, puisqu'elles gèrent les affaires en aval, marketing, commercialisation, etc. le roman s'ouvre sur le désespoir de Muriel, fille Berléac qui a quitté le domaine depuis fort longtemps. Elle y revient pour demander de l'aide à son frère Ambroise. C'est la première fois qu'elle entreprend une telle démarche depuis son départ. Elle ne le fait pas pour elle, mais pour ses deux enfants India et Louis qu'elle va confier à son frère le temps de retrouver une personne chère à son coeur. Dans les romans de Katherine Pancol, les enfants sont rarement des benêts insignifiants. Ils ont toujours du caractère et de la répartie, de la suite dans les idées, et généralement à leurs contacts, des choses figées depuis longtemps reprennent vie.

India est une petite fille qui parle aux arbres et qui vient chercher près de leurs écorces des réponses à ses innombrables questions. Au domaine, son meilleur ami devient rapidement l'érable de l'autre côté de la route. « Son regard se reporte sur l'érable. Est-ce qu'il va prendre la place du chêne du lotissement, qu'elle a laissé derrière elle ce matin ? “Parfois, il faut changer d'ami, de maison, pour devenir la personne qu'on doit être.” C'est la dernière phrase qu'a prononcée le chêne avant qu'elle parte. ». Louis est un petit garçon surdoué que tout intéresse. Il parle comme un adulte, pose des questions d'adulte, écrit des poèmes qu'il déclame régulièrement et sans le savoir, va conquérir le coeur de sa grand-mère Aliénor.

Le roman s'ouvre sur Muriel, fille de cette grande famille bourgeoise qu'elle a quittée douze ans plus tôt en fuyant avec un saisonnier dont elle est tombée passionnément amoureuse. Lewis a disparu du jour au lendemain, a été déclaré mort. Muriel s'est alors remariée avec Franck qui meurt dans un accident de voiture. Persuadée que Lewis est toujours en vie, elle décide de confier les enfants à son frère, gérant du domaine viticole pour partir à sa recherche. Muriel est brouillée avec sa mère. Depuis sa fuite, elles ne se sont jamais reparlé. « La mariée portait des bottes jaunes » a pour objectif, entre autres, de découvrir quelle est la raison de cette brouille, mais va offrir au lecteur bien plus que cela : une plongée fabuleuse dans le domaine de la viniculture. Si vous aimez le vin, vous aurez envie d'en boire, croyez-moi. de plus Katherine Pancol, nous immerge dans l'histoire d'une grande famille bourgeoise dont la vigne est la vie, soucieuse de conserver son prestige et de développer le nom du domaine à l'international. Mais dans la région, la concurrence est rude et les convoitises nombreuses. L'ambition de certains voisins est sans limites. Petit à petit, le lecteur découvre les raisons d'une haine omniprésente entre deux familles qui se connaissent depuis toujours. Sur fond de réalité historique, l'écrivaine tisse lentement les destins des uns et des autres, ils se séparent puis s'entrecroisent pour maintenir un suspens des plus alléchants.

« La mariée portait des bottes jaunes » est une vraie saga familiale où chaque personnage crée des liens émotionnellement forts, de haine, d'amour ou d'amitié avec tous les autres protagonistes. Les dynamiques émotionnelles tiennent le lecteur en haleine et permettent également une immersion totale dans le récit. Certains personnages sont les clés de voûte du roman, telles Aliénor la « cheffe de famille » ou Nannie la gouvernante qui a consacré toute sa vie au château et à la famille. Elle règne aussi bien dans la cuisine que dans la maison et est dépositaire de tous les secrets qui entourent le domaine. Lors de l'arrivée des enfants au château de Berléac, Katherine Pancol dépeint à merveille l'héritage familial et la transmission des valeurs, aussi bien que l'histoire de la famille sur plusieurs générations, ce qui permet d'ancrer des racines solides aux relations humaines. Une véritable oeuvre romanesque dont il est difficile de se détacher, car les personnages s'impriment dans nos vies, comme des amis proches.

Katherine Pancol excelle dans la construction narrative de « La mariée portait des bottes jaunes ». L'intrigue n'est pas linéaire, mais elle parvient à créer des ponts captivants où les secrets de famille sont entrelacés aux actions qui se déroulent dans le présent. Les personnages auxquels elle donne vie sont explorés en profondeur dans leurs motivations, et leur évolution. Ils ne sont pas manichéens, ils sont humains, avec leurs forces et leurs faiblesses. Seul le personnage de Muriel, puis la situation tendue avec sa mère restent nimbés de mystère, mais je gage qu'un hypothétique tome 2 pourrait lever le voile sur cette énigme. Placer l'histoire familiale dans un domaine précis est une grande force de l'écrivaine. Les nombreuses recherches sur le sujet qu'elle exploite donnent toujours une belle densité au récit. Les voir évoluer sans leur domaine permet également de mieux les connaître, donc de mieux les comprendre, et de les aimer. L'empathie qu'elle sait construire entre ses personnages et ses lecteurs est magistrale. Je connais peu d'auteurs capables d'une telle dextérité.

Comme dans ses précédents romans, Katherine Pancol possède cette écriture fluide, drôle et piquante, à la puissance évocatrice rare. Elle sous-entend plus qu'elle ne dit, utilise des métaphores fortes pour suggérer, un rythme entraînant pour ne jamais lasser, et une poésie sublime quand elle énonce des « vérités de la vie ». J'aime sa plume élégante, un mélange de poésie et de phrases plus directes qui sont au service des émotions. L'impact émotionnel de son phrasé est instantané et provoque des réactions profondes ou des réflexions intenses tout en gardant une vraie proximité avec son lecteur. Si vous décidez de lire ce roman, ce que je vous recommande vivement, vous saurez pourquoi « La mariée portait des bottes jaunes », mais vous apprendrez aussi à aimer tous les êtres qui peuplent ces pages. « L'inconscient sait avant nous ce qu'il va arriver et nous prévient à sa manière. Il a un langage crypté. » Mon inconscient me dit que vous ne devriez pas hésiter…
Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Un roman digne d'une saga de l'été pour la télévision. J'ai aimé découvrir la vie de la famille Berléac et de son domaine viticole.
Chaque personnage porte son fardeau, beaucoup de secrets devenus trop lourd à porter et un château à sauver. Ce roman donne vie à une multitude de personnages qui vont devoir apprendre à mieux communiquer et pour certains à se serrer les coudes. Une bonne lecture de vacances.
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3 étoiles et demi pour ce roman que j'ai apprécié lire, une intrigue qui a un fort potentiel, surtout en cas d'adaptation, j'adorerai la regarder, mais des lacunes, à mon sens, sur la forme.

Ce que j'ai aimé d'abord : une saga familiale, avec des liens entre moults personnages, entre passé et présent, donc on dénoue petit à petit les fils. J'aime beaucoup ce format d'histoires, aux multiples intrigues brodées autour d'une principale. Ici, l'histoire d'une famille girondine, qui se déchire aujourd'hui et sous nos yeux autour de la possession et la gestion d'un domaine viticole de qualité. Mais aussi depuis un demi-siècle, sur fond de Résistance et Seconde Guerre Mondiale, sur fond de moralité, et sur fond d'adultère.

Le suspens n'est pas là où on le voudrait, on devine assez vite les raisons du conflit entre Muriel, l'un des premiers personnages du livre, et sa mère. On devine assez vite que tout se terminera bien pour les "gentils" de l'histoire. Et pourtant, surprises et rebondissements sont au rendez-vous.

Mon regret, je trouve que la fin se résoud trop vite. Il y a une cassure dans le rythme du récit. Cette histoire se déroule sur quelques mois à peine, mais les derniers évènements semblent se passer en quelques jours en tout et pour tout, alors qu'il y avait un potentiel à développer très intéressant. Globalement même, je trouve que plusieurs passages avaient le potentiel d'être développés, des histoires annexes, celle de Gilbert par exemple, mais aussi celle de Muriel, qui cherche son mari mais pas trop finalement.

Note personnelle, j'ai beaucoup apprécié de suivre les intrigues dans la ville de Bordeaux, que je connais bien et c'était agréable de sentir la justesse et la précision des données géographiques, sociétales ect, Tout comme pour le domaine viticole, où l'on ressent la justesse des informations liées au raisin, aux vendanges ect

Un bon roman que j'ai lu avec grand plaisir, sans lassitude, et que j'espère voir sur écran un prochain jour !
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Quel plaisir de retrouver l'écriture de Katherine Pancol !
C'est drôle, piquant, émouvant et tellement riche.

Ce roman nous plonge au coeur d'une famille de la bourgeoise bordelaise, les Berléac.
Ce qui fait le style de l'auteure, c'est la diversité et la richesse des personnages une immersion dans leurs vies et une plongée dans leurs sentiments.
Comment ne pas s'attacher à eux ?
Muriel veut partir à la recherche de son 1er mari (qui a été déclaré mort), mais pour avoir les mains libres, elle dépose ses deux enfants dans sa famille (chez sa mère et son frère). Une famille bourgeoise percluse dans ses habitudes et ses traditions. Les deux enfants vont se trouver projeter dans un monde, une famille, un domaine, à l'opposé de tout ce qu'ils ont vécus jusqu'à présent.
On découvre la grande sensibilité des enfants : Louis un petit garçon au fort potentiel qui porte sur cette nouvelle famille un regard empreint de naturel et de spontanéité ; India, à la maturité exceptionnelle, et qui dialogue avec les arbres.
Il y a Ambroise, l'oncle, très attaché à son domaine qui tente de maintenir la cohérence de la famille, Aliénor, la grand-mère, de prime abord froide et détachée …
Muriel, la mère des enfants, je dirais presque dans un rôle de second plan, mais qui éclaire ce roman de ses espoirs.
Et puis il y a tous les autres, toute une galerie de personnages différents, bien campés souvent drôles, parfois haïssables, mais toujours très subtilement portraiturés.
Je me suis laissée porter par cette famille. J'étais spectatrice, je me promenais dans les vignobles, le château, et je partageais un moment de leur vie et quel moment ! Celui ou les secrets se révèlent, ou les émotions prennent le pouvoir !
La fin vient un peu abruptement à mon goût mais j'ai envie d'y voir la possibilité d'une suite 😉 !?

Une lecture douce et acidulée, rythmée et pleine d'humour !
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J'avais découvert les romans de Katherine Pancol avec sa trilogie des crocodiles il y a déjà une quinzaine d'années et j'avais adoré !

J'ai retrouvé ici son style d'écriture assez singulier avec sa façon de passer d'un personnage à l'autre dans les chapitres et ça sans perdre le lecteur.
Il y a aussi ces trois ou quatre phrases avant chaque chapitre comme un petit résumé de ce qui va se passer. Ça peut paraitre déroutant au départ mais on s'y habitue très vite.

Le grand point positif de Katherine Pancol vient de ses personnages qui sont toujours un peu décalés ou particuliers mais qu'elle sait rendre attachants.
La preuve, c'est que presque 10 ans après, je me souviens encore parfaitement de certains personnages de la trilogie des crocodiles que j'avais ensuite retrouvé dans les trois tomes de Muchachas !

Dans ce nouveau roman, j'ai adoré l'ambiance de ce château et j'ai apprécié de découvrir un peu la vie au milieu de ce vignoble. C'était très intéressant.
Je me suis beaucoup attachée à Ambroise et à sa mère Aliénor qui au départ paraît pourtant assez désagréable. Il y a aussi le petit Louis que j'ai adoré.

C'est un pavé mais qui se lit très bien et qui est plein d'humour.
J'ai passé un excellent moment.

La fin n'en est pas forcément une pour moi alors je me demande si une suite n'est pas envisagée !
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Muriel a deux enfants, India et Louis. Remariée, un accident de voiture la laisse veuve. Décidée à retrouver Lewis, son premier amour et mari et le père de ses deux enfants, elle va laisser ces derniers dans sa famille qui l'a rejetée des années auparavant.

C'est donc au domaine familial viticole de Berleac que les deux enfants vont faire la rencontre d'Alienor, leur grand-mère, Ambroise leur oncle mais également une multitude de personnages qui évoluent au domaine. Chacun va petit à petit s'ouvrir à la vive intelligence et la gentillesse des deux enfants.

Fidèle à son style, Katherine Pancol nous offre ici un roman sympathique et tendre, assez fidèle à son style. Il flotte dans cette histoire un air de sa saga des crocodiles, avec une multitude de personnages.

Ce sont India et Louis qui sont au coeur de l'histoire. Les deux enfants sont très intelligents et ont vite cernés le monde qui les entoure. Un peu trop vite d'ailleurs. le temps d'adaptation de ces derniers à leur nouvel univers et à l'absence de leur mère est presque inexistant.

Aliénor est la chef de famille soucieuse du maintien de Berleac. Au début très détachée des enfants et froide elle va s'ouvrir peu à peu aux enfants de sa fille.

Son fils, Ambroise est bien déboussolé. Sa première épouse et mère de ses fils travaille toujours avec lui au domaine. Tandis que sa seconde, Anais, ne songe qu'à profiter de la vie et dépenser de l'argent. Ses enfants lui causent également bien du souci.

J'ai bien aimé également l'oncle Édouard, bonhomme naïf mais sympathique qui a bien du mal à comprendre qu'il se fait avoir par son compagnon, Cecil.

Per contre certains personnages sont un peu mis de côté. J'aurais voulu en savoir plus sur Émile, Elsa, Gwendolyne. Même Frédéric et François. Probablement dans le volume suivant (si je ne me fais pas des idées et si ce volume viendra réellement bien sûr).

Comme souvent chez Pancol certaines situations sont abracadabrantesque mais franchement ça se lit bien. C'est tendre, drôle et léger. Que demander de plus...


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Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu cette autrice. J'avais beaucoup aimé ses trilogies les yeux jaunes des crocodiles et muchachas.
Cette fois-ci nous voilà plongés dans le vignoble bordelais au sein d'une demeure familiale : le château de Berleac. Deux enfants sont déposés par leur mère à la grille de ce château. Elle les confie à son frère.
Nous allons alors découvrir au travers des différents personnages l'histoire de ce domaine.
J'ai été, au début, un peu perturbée par la construction du roman. A chaque étape, on passe à un nouveau personnage et on découvre une partie de son histoire. Mais petit à petit les pièces du puzzle s'imbriquent et j'ai été happée dans l'histoire. J'ai eu l'impression d'être un peu comme dans une saga familiale estivale que l'on pouvait voir il y a quelques années à la télévision, avec des secrets de famille, des trahisons, l'appât du gain, l'attachement aux terres familiales et en l'occurrence à la vigne.
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