Les Annales du Disque-Monde, Tome 6 : Trois Soeurcières

Un peu de Shakespeare et beaucoup de Pratchett. A moins que cela ne soit l'inverse!

En effet, la 6ème aventure loufoque du Disque- Monde commence par un assassinat de roi. Il est vrai que, parmi les courtisans, le Duc envisageait ce poste prestigieux, c'est pourquoi il compte sur ses sbires pour se débarrasser aussi de l'héritier âgé seulement de quelques mois.

Mais c'était sans compter sur les trois soeurs sorcières (les 3 soeurcières) qui, non seulement sauvent le nourrisson et l'élèvent comme leur enfant, mais se présentent comme l'ultime caillou dans la chausse du duc félon.

Dans le même temps, le récit déroule un drame shakespearien avec le spectre du roi qui rôde, désemparé, dans son château et son fils si loin du trône. La farce aussi, avec le fidèle bouffon qui fait la coure à la plus jeune des sorcières.

Et pendant ce temps-là le nouveau roi terrorise ses administrés.

Mais tout finira peut-être très bien dans cette histoire gentillette car on ne peut que le constater: avec Pratchett, là où la félonie semble triompher, un soupçon de fantasy rétablit toujours la justice.

Vous désirez connaître une oeuvre phare du disque monde ? Nombreux sont ceux qui m'ont conseillé ce tome pour juger pleinement de l'art de Pratchett. Tout y est : le monde secondaire, l'humour, la culture, les références... oui mais voilà la magie n'a pas opéré chez moi pour la seconde fois (la première rencontre était la huitième couleur). Pourtant, je reconnais les traits de génie mais ça ne fonctionne pas. Ça m'a même paru trop long, redondant. le monde secondaire assez fou me plaît beaucoup pourtant mais pour le connaître davantage, il faut tout lire et je n'aurai pas ce courage. Je tire un trait sur Pratchett en ayant tout de même assouvi ma curiosité sur cette étrange planète!

Nouveau tome lu dans les Annales du Disque-Monde.
on y suit 3 sorcières qui, à la suite de l'assassinat du roi, se rendent compte que l'âme de leur royaume est en ébullition et vont essayer de remplacer le duc ayant pris la place vacante, par un vrai héritier.
Pour ce faire elles ont "protéger" le rejeton du défunt roi en l'envoyant se faire élever par une troupe de théâtre.
J'ai eu un plus de mal avec ce tome là, je l'ai trouvé un peu bordélique, mais c'est surtout (après petites recherches) qu'il y a énormément de références, liés au théâtre et surtout à Shakespeare qui m'ont échappés, et en les connaissant j'aurais compris les clins d'oeils au moins. Mais bon la fin rattrape un peu ça, et même si on devine le dénouement, celui-ci est quand même agréable, les personnages, secondaires comme principaux sont bien écrit et très intéressants.
A suivre peut être dans un prochain tome ? L'avenir me le dira ^^

Après m'être ennuyé en lisant le tome "Sourcellerie" auquel j'ai peu accroché, j'ai eu le grand plaisir de retrouver le personnage de Mémé Ciredutemps découvert dans "La Huitième Fille".
Et quel plaisir de lecture ! le trio de sorcières mis en place dans ce tome est très attachant, Mémé Ciredutemps toujours égale à elle-même. Sans aucun doute mon tome préféré jusqu'à présent.

Un roman assez long qui a beaucoup de potentiel mais qui n'a pas l'humour de Huitième Fille et qui ne se lit pas avec autant de conviction. L'intrigue est assez complexe par moment et la partie sur le théâtre a fini par m'ennuyer jusqu'à la scène finale. Lire ce tome juste après La Huitième Fille n'est pas une bonne idée : tout a changé mais tout est resté en même temps. Ce n'est pas la même Mémé Cirdutemps et pourtant elle garde certaines attitudes. La fin est facile à trouver pour qui a l'habitude des coups de théâtre et pour qui observera bien la couverture. Les adeptes de Shakespeare pourront apprécier les parodies de Macbeth et Hamlet qu'on retrouve dans le roman. La première scène de Trois Soeurcières est d'ailleurs un bel hommage.
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