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EAN : 9782390460206
358 pages
Phénix Noir (21/04/2021)
4.05/5   39 notes
Résumé :
Au Gabon, le danger est omniprésent. Des meurtres atroces ont été commis... Andreas ne se fie pas aux autorités locales corrompues jusqu'à la moelle.

Lorsque Camille, lieutenant de police à Paris, reçoit son appel de détresse, elle n'hésite pas à se mettre en danger pour le rejoindre. La jeune femme va se retrouver au coeur d'un trafic d'ivoire international qui ne laisse aucune chance aux éléphants et leurs défenseurs.

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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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L'amour des éléphants m'a fait ouvrir ce livre, puis m'a fait le lire, puis m'a dégouté de l'avoir lu, car ce que présente Guillaume Ramezi est un polar poussif, pas très bien mené, et je regardais plus le nombre de pages qui me restaient plutôt que l'histoire elle-même, dont je ne vous parlerai pas.

Question éléphants, tout le monde sait que le carnage dont ils sont les victimes a pour raison le prélèvement d'ivoire. Les réserves, et ici il est question du Gabon, reçoivent des dons humanitaires, or, nous dit l'auteur, ces dons ne sont pas toujours très nets et font l'objet de tous les trafics. « Un vrai business pèse de plus en plus lourd autour du commerce équitable et de l'environnement. Il y a même des chaires à ce sujet dans les plus grandes écoles de commerce. Si ça se trouve, dans ton bled aussi ils leur apprennent comment faire du blé en ayant l'impression d'avoir les fesses propres. » Les habitants pauvres, très pauvres, du village voisin reçoivent les sollicitations des trafiquants, ils doivent fermer les yeux ou se faire entretuer comme les éléphants poursuivis. Il est plus rentable de laisser le passage aux trafiquants contre un petit gain, que de s'engager dans la protection des animaux, qui d'ailleurs peuvent venir saccager leurs champs.
Et ces braconniers sont eux-mêmes nourris, armés et entretenus par les mafias asiatiques, friands d'ivoire, ou gangrenés par des branches fanatico-religieux. Y compris les rangers peuvent leur avoir indiqué les zones de passage des pachydermes.
25 000 éléphants se font tuer chaque année par les braconniers.

Tout le monde est en fait complice à un niveau ou à un autre, et la morale de l'histoire est qu'il est plus prudent de se méfier de tous, même de ses amis.

Cependant, note d'espoir fort important : Mère Nature s'adapte et on a pu constater au Mozambique pendant la guerre civile, où la faim poussait les habitants à tuer ces pauvres bêtes, et à financer la guerre par la vente de l'ivoire, que trente pour cent des éléphantes naissaient sans défense, pourcentage bien dépassé en Afrique du Sud dans les années 2000.

Ou comment se défendre sans en avoir.

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L'auteur vendéen a réuni dans une même intrigue les deux protagonistes de ses deux premiers romans, sous la bannière de la protection des animaux décimés par l'homme pour quelques kilogrammes d'ivoire , ces merveilleux pachydermes placides ,ses forces tranquilles qui ont traversé les âges : les éléphants d'Afrique .

Basée à Paris , la capitaine Camille Wilson est convaincue par un de ses anciens amis de jeunesse de venir enquêter sur le terrain , suite au meurtre de l'administrateur d'une des principales réserves d'éléphants du Gabon, Edmond Martin . L'homme , d'origine britannique , avait voué sa vie à la cause animale et a fini lâchement assassiné. La policière va découvrir avec effroi ces trafics dirigés de l'extérieur par des hommes de l'ombre envoyant sans scrupules des hordes de braconniers décimer des troupeaux entiers pour leur dérober leurs défenses . Les quelques rangers qui surveillent la réserve sont complètement démunis contre ces attaques, souvent de nuit , et ils paient un lourd tribut lors de combats fratricides.
Elle va également faire la connaissance de Mathias , un médecin qui tient un dispensaire à Libreville et qui vient également soigner les animaux de la réserve , ceux qui ont survécu aux balles des braconniers. Elle va également rencontrer la petite Grace , une survivante de l'enfer,une boule d'énergie qui donne envie de surpasser , que Mathias a secouru et pris sous son aile .
Mais le danger rôde encore à proximité et risque de faire nouvelles victimes

Cela faisait longtemps qu'on attendait un nouveau livre de Guillaume Ramezi après deux précédents romans plutôt réussis.
On y retrouve une construction qui ne laisse aucune place aux fautes de rythmes et aux longueurs inutiles.
On y découvre une Afrique corrompue, maillon essentiel d'un trafic international d'ivoire dont l'Asie - notamment la Chine- est une des plus grande consommatrice.
Croyances ancestrales, remèdes de médecine traditionnelle ou des applications beaucoup plus étonnantes représentent des débouchés commerciaux qui attisent les convoitises et sont porteurs de menaces sur tous les animaux portant des défenses : éléphants ou autres rhinocéros.
La cause de ce roman n'est pas qu'un témoignage fort de ces exactions qui persistent encore aujourd'hui, c'est un véritable thriller avec ses moments forts et ses rebondissements, et il n'en manque pas !
De Paris à Libreville ces deux enquêtes menées tambour battant en parallèle, laissent peu de répit au lecteur et rendent hommage à ces quelques personnes qui ont dédié leur vie à la sauvegarde de la cause animale et qui ont souvent payé un prix fort à leur engagement .
Côté personnages , outre les principaux protagonistes, Camille , Mathias et Andreas , l'auteur nous offre deux savoureux «seconds rôles» qui apportent plus qu'une touche d'exotisme de bon aloi :
-Bonaventure , ce chef ranger intrépide qui raconte le fragile équilibre d'un peuple écartelé entre l'appât financier des trafiquants afin de leur fournir une main d'oeuvre docile capable de se transformer en braconniers sans aucune morale et leur vie coutumière , dans laquelle les animaux de la savane ont toujours eu leur place à côté des hommes.
-Grace ,cette fillette orpheline, qui a vu la mort de prêt , et semble s'être forgée une carapace et une résistance à toute épreuve. Un être lumineux dont les sentiments ne demandent qu'à prendre leur envol et à trouver une épaule sur laquelle se poser .

Vous l'aurez compris , un roman fort en émotions qui nous rappelle que l'homme est le principal prédateur de cette planète dont la diversité animale s'appauvrit chaque jour un peu plus à cause de lui . Cette chaîne qui perd ses maillons à une vitesse effrénée semble entraîner La Terre vers son extinction prématurée à moins qu'une nouvelle génération plus préoccupée par sa sauvegarde prenne enfin conscience de l'urgence de la mise en place d'actions concrètes et courageuses.


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Je ne sais pas vous, mais moi j'ai toujours adoré les éléphants !
Ne me demandez pas pourquoi, je ne saurai le dire. Peut-être l'impression de force qu'ils dégagent de par leur taille, surtout les éléphants d'Afrique. Mais aussi j'aime leur regard si doux, leur petits yeux qui exprime une telle humanité. Et derrière cette immense masse on perçoit tellement de sensibilité, de sérénité et de sagesse aussi. Et enfin peut-être parce que chez les éléphants ce sont les matriarches qui mènent le troupeau, …la meute.
Alors voilà quand j'ai eu entre les mains le livre de Guillaume Ramezi un sentiment bizarre d'ambiguïté c'est emparé de moi. J'avais très envie de la lire mais aussi j'avais très peur de me plonger dans cette histoire et d'en ressortir blessée.
Et c'est bien ce qui est arrivé. Car alors que Ludovic Miserole lors de sa Garde à vue nous conseille ce livre et après que Mamie Danièle m'ait envoyé sa chronique, je n'ai plus pu résister, j'ai fini par ouvrir ce roman de Monsieur Ramezi et je me suis plongé dedans !
Mais alors que nous raconte « le crépuscule des éléphants »
A la suite de meurtres atroces commis sur des éléphants au Gabon, Andreas, qui n'a aucune confiance dans les autorités locales corrompues, contacte Camille, lieutenant de police à Paris, pour lui faire part de sa détresse. Cette dernière le rejoint et se retrouve au coeur d'un trafic d'ivoire international.
On retrouve ici Mathias Brunei déjà rencontré dans les Derniers jours à Alep, il est maintenant médecin de brousse dans un dispensaire de fortune au Gabon et Camille Lambert qui elle était l'héroïne de L'important n'est pas la chute. Notre auteur les réunis ici dans une enquête qui va se révéler difficile. A croire qu'il aime malmener ses protagonistes.
Nos deux protagonistes se retrouvent, ainsi qu'Andréas un ex de Camille un peu louche, engagés dans la protection des placides et merveilleux pachydermes que sont les éléphants d'Afrique massacrés par milliers chaque année pour la cupidité des uns et la bêtises des autres.
En effet, le trafic s'est organisé, c'est une vraie mafia dorénavant qui gère ces activités illégales. Chacun voulant sa part du gâteau.
Les triades asiatiques tentent de s'approprier l'ivoire pour les revendre à prix d'or en Chine notamment pour ses vertus supposées aphrodisiaque et autres balivernes du genre qui courent dans le folklore et les us et coutumes de l'extrême orient.
Et les autochtones eux essaient de se sortir de leur misère crasse grâce à cette manne bienvenue, ne se rendant même pas compte qu'ils pillent les propres ressources de leur pays. Et qu'ils se sont engagés dans un cercle vicieux gagnant/perdant.
L'écriture de Guillaume Ramezi est très agréable, très fluide aussi. Elle oscille entre noirceur et légèreté, et heureusement car ici les sujets sont tellement prégnants qu'un brin d'humour nous permet de respirer un peu.
Il est question ici de corruption à haut niveau, de trafics d'influences, de massacre à grande échelle, de protection de la faune sauvage contre la cupidité des hommes, de protection aussi des populations locales contre la bêtise humaine. Ces populations qui malheureusement souvent souffrent des dommages collatéraux que provoquent aux trafics en tous genres.
Et le rythme que nous impose, ici, l'auteur est intense tout comme son immersion en ces terres africaines. On nous laisse peu de répit et on ressort essorés de cette lecture.
En effet j'ai vécu cette histoire intensément, ressentant des tas de sentiments contradictoires, passant de l'empathie à la colère en quelques phrases. L'état des lieux que dresse Guillaume Ramezi est consternant. A l'heure qu'il est des êtres humains se battent pour protéger la faune et la flore sauvage et bien souvent il y laisse la vie.
Et si ce roman est avant tout un roman d'aventure, il m'a paru aussi comme un polar engagé !
Et ce sera pour moi une lecture marquante et un putain de coup de coeur !!!
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L'auteur tape encore fort avec ce thriller qui nous emmène en plein Gabon ou braconnage et meurtres sont légion dans ce roman...

En plantant ses thrillers dans des pays et paysages différents, l'auteur met son lecteur en instabilité. On sent encore plus cette tension car ce sont des faits qui sont loin de nos habitudes, de notre quotidien. Nous nous laissons porter par l'histoire.

J'ai toujours été fascinée par les éléphants. Maitres majestueux de la savane, ils sont réputés pour être très intelligents. Ce thriller leur rend clairement hommage en pointant également les nombreux trafics dont ils font l'objet.

Ce livre m'a bouleversée et m'a révoltée... L'Homme peut commettre le pire par cupidité... jai été sensibilisée sur le thème du braconnage par "Gorilles dans la brume" et je suis ravie de trouver un thriller intelligemment mené sur celui des éléphants.

L'auteur a une plume que j'adore particulièrement. Il sait par ses thèmes originaux nous sortir de notre zone de confort. C'est une grande force. Je n'ai pas lu les livres précédents avec les mêmes protagonistes mais cela n'a en rien gêné ma compréhension de l'histoire. Par contre, je vais me hâter de les découvrir 🥰.

Bref, vous l'aurez compris, une lecture qui m'a conquise.
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Le crépuscule des éléphants de Guillaume Ramezi est une triste histoire qui se passe au Gabon. Ici nous sommes au coeur d'un trafic d'ivoire, des milliers d'éléphants tués à chaque année pour les problèmes érectiles des Chinois et autres fadaises du genre. le roman nous présente un groupe engagé à la protection de ces pachydermes face à une mafia sans pitié. Pour nous mêler encore plus une inspectrice de la police de Paris viens aider un ami pour résoudre un meurtre. J'ai trouvé l'histoire décousue sans réel profondeur, on effleure à peine le grand sujet pour en faire un roman d'aventure. Ce qui est venu me chercher dans l'histoire c'est la triste fin.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
— Le plus jeune, nous l’avons recueilli à la suite du dernier massacre. Il a miraculeusement échappé au carnage, il était probablement caché dans les sous-bois et trop effrayé pour s’approcher. Sa mère fait partie des victimes. En temps normal, dans une harde classique, s’il arrive malheur à l’une des éléphantes, les autres sont en mesure de prendre le relais et d’allaiter les petits non encore sevrés. Malheureusement cette fois, toutes les femelles ont été exterminées. Si nous ne l’avions pas repéré par hasard, errant et épuisé, ce pauvre bonhomme serait mort de faim. Nous le nourrissons au biberon et nous avons décidé hier de le placer en compagnie de Topsy. C’est cette grosse mama que vous voyez là-bas. Elle, c’est l’inverse. Elle a mis bas il y a trois semaines et cela ne s’est pas bien passé. Son bébé était mort-né et elle a eu beaucoup de mal à l’expulser. Nous avons dû l’opérer dans la foulée. Elle va de mieux en mieux et si nous avons de la chance, elle va s’attacher à l’autre petit et sera encore capable de l’allaiter.
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Esmond Martin n’avait pas bu une goutte depuis des années. Ce soir-là, lorsqu’il rentra à la nuit tombée dans sa modeste demeure des faubourgs de Libreville, il jeta sa sacoche tachée de sang au pied du porte-manteau et, sans même prendre la peine de se laver les mains, sortit l’antique bouteille de Glenmorangie vingt ans d’âge qui croupissait dans le buffet. Il s’en servit une grande rasade et vida le verre d’un seul trait. Le liquide épais et tiède, réchauffé par la moiteur de l’été gabonais, lui brûla à peine la gorge, réveillant vaguement de vieux démons enfouis depuis qu’il s’était épris de ce pays et de ses merveilles. D’une certaine façon, ces dernières avaient été sa bouée de sauvetage, alors il investissait toute son énergie pour les défendre depuis vingt ans. Aujourd’hui pourtant, il avait l’impression que toutes ces années avaient été vaines. Vingt ans qu’il écumait les forêts pour localiser les troupeaux. Vingt ans qu’il fréquentait à longueur d’année les écoles, de la capitale jusqu’aux plus petits villages, pour leur apprendre, leur prouver qu’ils devaient protéger leur faune. Vingt ans qu’il soutenait les ONG désireuses d’informer le grand public occidental. Vingt ans qu’il frappait aux portes des gouvernements successifs pour les convaincre qu’ils auraient plus à gagner, à long terme, dans le développement d’un véritable écotourisme que dans la déforestation massive.
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En fin d’après-midi, quand Bonaventure l’avait appelé, c’est un ranger en pleurs qui lui avait demandé de venir le rejoindre. Esmond Martin avait sauté dans sa Jeep et s’était précipité à sa rencontre. Il avait eu l’occasion de voir des horreurs depuis tout ce temps, mais ce qu’il avait découvert en arrivant dépassait l’entendement. Il en avait compté trente-quatre au total. Trente-quatre cadavres à qui il ne manquait que les défenses. Trente-quatre éléphants massacrés pour leur ivoire. Parmi eux, il y avait même des éléphanteaux. Certains si jeunes que le précieux matériau devait à peine poindre au coin de leurs bouches. Ils avaient été exterminés quand même, juste pour le plaisir sans doute. Au moins, les fois précédentes, avaient-ils laissé la vie sauve à ceux ne présentant aucun intérêt et les rangers avaient pu les récupérer pour les confier à la réserve. C’était le quatrième carnage en un mois et cette fois, l’ampleur était phénoménale. Ils étaient face à une attaque d’envergure.
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Elle ne l’avait plus revu depuis qu’ils avaient failli périr ensemble en mer du Nord avec quelques autres militants. C’est lui qui l’avait convaincue de participer à cette mission pour bloquer les baleiniers norvégiens. Ils s’étaient rencontrés quelque temps auparavant lors d’un colloque de leur ONG à Paris. Andreas était le fils aîné d’un politicien norvégien membre du gouvernement en place. Camille et lui avaient trempé dans quelques actions coup de poing un peu partout en Europe et lorsque son père avait été nommé au puissant ministère de la Pêche, cela avait été la goutte d’eau. Le jeune homme avait alors décidé de s’attaquer aux énormes bateaux traqueurs de cétacés qui, pour lui, étaient une honte pour son pays. Camille n’avait pas hésité longtemps avant de lui prêter main-forte dans cette entreprise, le maintien de cette chasse en dépit des traités internationaux l’avait toujours révulsée. Tout ne s’était pas déroulé comme prévu. L’affrontement avait été violent et ils en avaient tous les deux subi les conséquences. Outre les blessures sérieuses subies, la balafre qui barrait le flan de la jeune femme en témoignait, ils avaient dû faire des choix. Camille avait pris la décision de se consacrer à sa formation de police. Quant à Andreas, le procès qui avait suivi leur coup d’éclat, et la pression de son père surtout, l’avaient obligé à se faire plus discret. Il n’avait pas cessé pour autant ses activités militantes. Préférant une voie plus éloignée des implications familiales, il s’était exilé en Afrique pour soutenir les associations qui y œuvraient pour la protection de la faune sauvage.
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Le dimanche suivant, alors qu’elle préparait sa valise pour remonter sur la capitale, Camille se décida à rallumer son smartphone. Immédiatement, une litanie de notifications vint l’agresser, lui rappelant tout ce qu’elle avait raté « d’important » depuis son départ en congé. 154 nouveaux courriers dans sa boîte mail. Elle les consulta rapidement et en supprima directement 151. Cinq messages sur son répondeur. Les quatre premiers émanaient de collègues ou du Parquet et concernaient les affaires récentes qu’elle avait traitées, rien d’urgent ou qui ne puisse être réglé par son équipe restée en poste. Le dernier était plus étrange. Un vestige de son passé qui resurgissait à l’improviste…
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