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EAN : 9782754803557
192 pages
Futuropolis (05/04/2013)
3.44/5   17 notes
Résumé :
1947. La Grèce sort de la Seconde Guerre mondiale pour tomber dans le chaos de la guerre civile. Chrònis Mìssios, 17 ans, résistant communiste, est arrêté puis condamné à mort. Gracié, torturé, ballotté de prison en prison, il va devenir selon ses termes un "prisonnier professionnel" durant 21 ans. Son histoire, Chrònis Mìssios l'a racontée dans un livre paru en 1985 en Grèce, devenu rapidement un best-seller, "Toi au moins, tu es mort avant". Subjugués par ce témoi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Sur les hauteurs d'Athènes, Chrònis Missios se souvient... C'était en 1946, la Grèce sortait tout juste des combats. Tout jeune ado de 16 ans, parce qu'il était résistant comme ses amis Mihàlis et Nikòlas, Chrònis s'est retrouvé enfermé dans la prison de Corfou. Trois amis dans une même cellule, un malheureux tirage au sort désigna celui qui allait se faire exécuter le lendemain. C'est tombé sur Mihàlis. Ils passeront leur dernière nuit ensemble, à tenter d'ouvrir une boîte de conserve, dernier festin du fusillé. Quelque temps plus tard, tous les politiques condamnés à mort ont vu leur peine se transformer en perpétuité. Voilà comment le jeune Chrònis fut transféré à la prison de Vidos en 1947. Les conditions de détention sont déplorables, les prisonniers sont maltraités et doivent travailler sous un soleil de plomb, ne mangeant que très peu mais le jeune garçon ne baisse pas pour autant les bras...

Corfou, Yendi-Koulé, Vidos, Athènes, Egine.. petites villes au nom pourtant si exotique... Chrònis n'y apercevra que trop peu de soleil. Pour avoir pris trois fois perpèt', deux fois 20 ans, une fois 15 ans et avoir été condamné pour ses idées politiques, ce jeune révolutionnaire passera 21 ans en prison, en tant que prisonnier politique. Sylvain Ricard et Myrto Reiss mettent ici sur papier le livre de Chrònis, paru en 1987 sous le même titre et qui remporta un franc succès en Grèce. L'on découvre les espoirs de ce jeune homme, son combat qu'il ne lâchera jamais, sa ténacité mais aussi l'horreur de l'enfermement et ses désillusions. Passionnant de bout en bout, historique sans jamais être larmoyant, ce témoignage puise toute sa force dans le récit puisque Chrònis s'adresse directement Mihàlis. Ses mots sont forts, empreints de liberté et de sincérité, son discours captivant. le dessin, quant à lui, est de toute beauté. D'un trait fin et expressif, Casanave nous offre de magnifiques planches au charme désuet.

Toi au moins, tu es mort avant... tu as bien fait...
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Athènes, 1985. Chrònis Missios achève son récit autobiographique. Né en 1930, cet homme a affirmé très tôt son engagement et son adhésion aux fondements du Parti communiste grec. Pour ce choix militant, il sera arrêté en 1946. A cette période, la Grèce s'enfonce dans la Guerre civile en raison des divergences d'intérêts et d'opinions qui traversent la Grèce, région stratégique à l'orée de la guerre froide (source : Wiki).

Ce conflit social durera jusqu'en 1949. Chrònis Missios essuie donc de plein fouet la lutte anticommuniste menée par les gouvernements de son pays. Il est jugé puis incarcéré au moment de l'émergence de ce mouvement.

C'est ainsi qu'à l'âge de 16 ans il entame un long parcours carcéral. Les premiers mois de détention sont terribles. Condamné à mort pour son orientation politique, il doit supporter le rituel quotidien des matons qui, amusés par le sort des prisonniers politiques, tirent à la courte paille celui d'entre eux qu'ils conduiront au peloton d'exécution. Quelques mois plus tard, la peine de mort étant abolie, sa peine se transforme en emprisonnement à perpétuité mais les brimades et les sévices quotidiens des matons continuent.

En 1948, il est sous le coup de plusieurs décisions de justice : 3 condamnations à vie, une condamnation à 20 ans et une à 15 ans de détention. « Affamé, avili, torturé, jamais il ne pliera et ne cèdera. Jamais il ne signera la déclaration de sa reddition, jamais il ne reniera son idéologie politique » (source : Futuropolis).

On est très vite happé par le personnage de Chrònis Missios. Toi au moins, tu es mort avant adapte le roman éponyme de cet homme de conviction (roman publié en Grèce en 1985 et qui connut un succès immédiat). A l'époque, Myrto Reiss a 15 ans. Dans la préface de cet album qui vient de paraître chez Futuropolis, elle témoigne : « (…) il s'agit de la lecture qui m'a accompagnée aux moments les plus difficiles de ma vie, à chaque fois qu'il fallait se remplir de courage et de force ». C'est certainement l'une des raisons qui l'a conduite, quelques années plus tard, à envisager d'adapter ce récit en bande dessinée. A la ville, Myrto Reiss est metteur en scène ; elle partage également la vie de Sylvain Ricard avec qui elle avait déjà co-scénarisé Dom Juan (paru chez Delcourt en 2010).

Cette adaptation a été pour moi l'occasion de découvrir l'existence de Chrònis Missios, militant du Parti communiste grec. Un homme charismatique au sens noble du terme, un héros qui a risqué sa vie pour défendre ses idéaux.

Il aura passé en tout 22 ans en prison sans avoir commis le moindre crime. de 1946 à A962, il fut torturé, humilié et balloté de prison en prison mais la brutalité et les méthodes d'enfermement d'un système politique ont été impuissantes face à sa détermination.

Le scénario de cet album fait cohabiter deux ambiances narratives : la voix narrée de Chrònis lorsqu'il rédige ses mémoires et le récit illustré qui décrit sa détention. J'ai été sensible à la manière dont les auteurs ont utilisé le décalage existant entre les deux récits imbriqués. le récit joue très bien avec cette temporalité qui permet au lecteur de naviguer de manière fluide entre passé et présent ; ainsi, nous sommes à la fois acteur « in situ » et à la fois, nous avons la possibilité de vivre cette trajectoire avec du recul.

Concrètement, la voix-off reprend – sous forme de citations – des extraits du roman originel. Chrònis Missios est donc présent car la plupart de ses propos interviennent tels qu'il les a lui-même formulés. Son écriture est mature et posée. Elle ne juge personne mais questionne le sens de certains agissements, de certaines opinions… et elle permet d'entendre ce que l'homme a retenu de cette expérience de vie et comment il s'est construit au travers d'elle.

Aux côtés de cette voix-off, des scènes d'un passé révolu et douloureux, la fougue de ce personnage lorsqu'il était jeune, ses élans de générosité, l'existence des relations fraternelles réciproques et les mouvements de solidarité entre détenus donnent de la chaleur à cet univers. le trait réaliste de Daniel Casanave illustre cet enfer carcéral sans agressivité. Il suggère la violence physique de façon judicieuse et permet au lecteur de ressentir le poids et la pression psychologique qui pesait constamment sur les prisonniers politiques.

(..)
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Plongée dans la Grèce des dictatures d'après-guerre. La lutte acharnée contre le communisme puis la dictature des colonels devaient maintenir en détention pendant 21 ans l'auteur du roman, Chronis Missios, 16 ans à son entrée en prison. 3 condamnations à perpétuité, quelques peines de 30 et 20 ans de détention... Balloté d'un bout du pays à l'autre, victime de la violence et de la cruauté des différents régimes envers les communistes, il n'abjurera jamais son idéologie et ses convictions.
BD en noir et blanc au dessins précis, sans fioriture mettant en valeur les personnages et leurs actions. Les images donnent plus de force et d'horreur aux mots et aux textes de l'autobiographie de Missios. Les dessins sont très évocateurs, y compris pour les paysages et les différents lieux (tout en sachant que rien ne ressemble plus à une prison qu'une prison).
C'est aussi la plongée dans un pays pauvre, parfois violent et assez peu tolérant face à la différence et à la divergence.

Challenge BD 2020
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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Grèce se trouve plongée dans les affres d'une guerre civile où il ne fait pas bon d'être communiste... comme en témoigne le parcours de Chrònis Missios. Arrêté par les forces nationalistes, le jeune résistant d'à peine seize ans se retrouve immédiatement condamné à mort. Alors qu'il attend d'être exécuté, sa peine est finalement commuée en emprisonnement à perpétuité. Balloté de prison en prison, c'est le début d'un long calvaire pour cet homme qui va passer le plus clair de sa vie sous les verrous pour avoir tout simplement refusé de renier son idéologie politique.

Toi au moins, tu es mort avant est l'adaptation du roman autobiographique éponyme de Chrònis Missios, publié en 1985. Marqués par le parcours hors du commun de ce militant qui passa plus de vingt ans dans les geôles grecques, Sylvain Ricard, Myrto Reiss et Daniel Casanave décident de s'attaquer à cette incroyable destinée devenue best-seller.

Cette histoire invite non seulement à découvrir un pan assez méconnu de l'histoire de ce pays actuellement touché de plein fouet par la crise économique, mais également la trajectoire étonnante de l'une des victimes de cette lutte anticommuniste. de sa première incarcération en 1946 jusqu'à l'amnistie d'août 1973 après la chute de la dictature des colonels, l'existence de Chrònis Missios est ponctuée de souffrances, de sévices et d'injustice. Si certains s'attacheront à ce personnage charismatique qui se refuse de renoncer à ses idéaux malgré les tortures et les humiliations, d'autres auront plus de mal à éprouver de l'empathie envers ce prisonnier qui gâche sa vie pour mener un combat symbolique, voire vain.

Pourvu d'une voix-off qui s'adresse à un camarade disparu dont il envie finalement le sort, ce long séjour carcéral souffre également d'un rythme de narration assez lent et de la redondance qui découle de ce parcours répétitif du fait de transferts d'une prison à l'autre. Néanmoins, après 20 ans ferme, Sylvain Ricard pointe à nouveau du doigt l'absurdité du système pénitentiaire et propose un récit plein d'humanité, jamais larmoyant et finalement moins sombre que le titre ne laisse présager. le trait réaliste de Daniel Casanave accompagne d'ailleurs de manière efficace cet hommage vibrant à un homme de convictions, disparu seulement quelques mois avant l'aboutissement de cet ouvrage qui lui est dédié.
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C'est une très longue lecture où il faut s'accrocher. Il est vrai que l'ennui guette. Et pourtant, cela partait d'une bonne idée avec de bonnes intentions. C'est le parcours d'un homme au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale qui nous est conté dans une Grèce en proie au chaos de la guerre civile.

Il s'agit pourtant d'une lutte pour ses idées. Cet homme sera emprisonné tout le long de sa vie pour être un combattant communiste. Il va endurer les pires exactions et les pires tortures sans jamais se renier. Et pourtant, lorsqu'on sait que l'idéologie qu'il a défendu a conduit à la mort de millions de personnes, on se dit que c'était un combat pour pas grand chose. Que de vies gâchées au nom de la politique! Cet ouvrage est un parcours de souffrance...

Maintenant, je respecte le combat courageux de cet homme ayant réellement existé et qui est mort juste avant la parution de cette bd à l'âge de 82 ans. On parle beaucoup de la Grèce ces derniers temps avec cette terrible crise économique. On connaît moins son passé au cours des 60 dernières années. Ce titre peut permettre de combler ces lacunes.
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critiques presse (6)
BulledEncre
27 juin 2013
A travers un récit de vie hors du commun, Toi au moins tu es mort avant met en lumière le destin d’un grand résistant, sans grandiloquence ni faux-semblants.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Bedeo
27 mai 2013
Un récit poignant sur l’histoire vraie d’un homme victime de ses convictions.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Actualitte
16 mai 2013
Difficile d'expliquer à quoi tient cette sorte de distance qui empêche l'émotion de surgir et le récit de bouleverser. [...] L'album reste accablant, le témoignage important, mais on ne peut s'empêcher de penser que cette matière aurait pu donner naissance à un album exceptionnel.
Lire la critique sur le site : Actualitte
BDGest
13 mai 2013
Sylvain Ricard pointe à nouveau du doigt l’absurdité du système pénitentiaire et propose un récit plein d’humanité, jamais larmoyant et finalement moins sombre que le titre ne laisse présager. Le trait réaliste de Daniel Casanave accompagne d’ailleurs de manière efficace cet hommage vibrant à un homme de convictions [...] .
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
06 mai 2013
Le livre est beau, le livre est épais. Le dessin de Daniel Casanave est celui qu’on connaissait et qui sied à l’adaptation.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
22 avril 2013
Les dialogues et la narration de Sylvain Ricard et Myrto Reiss sont percutants, souvent poignants ; le dessin de Daniel Cazenave très sobre, voire dépouillé, est aussi noir que la narration, et simplement souligné par des sanguines qui portent si bien leur nom dans cette histoire.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Nous, en entrant au parti, quand on nous présentait un type comme "des nôtres", c'était un type extra, un frère à la vie à la mort. Seulement voilà, l'homme est plein de recoins, il trimballe plein de trucs au fond de lui-même et tout ça ne change pas d'un seul coup, rien qu'en prenant part à un juste combat. Pour changer il faut d'autres efforts, et cette fameuse "direction" ne voyait pas plus loin que le bout de son nez... Au lieu de soutenir ses hommes, elle les brisait complètement, comme s'ils étaient engagés par contrat à vivre sans besoins, à se faire baiser toute leur vie sans avoir mal. La direction nous disait "Ne jurez pas, ne criez pas, ne réclamez pas", la morale communiste et tout le bazar... Un vrai pensionnat pour jeunes filles. Tu te rends compte, nous, des révolutionnaires, avoir pour code de conduite... les dix commandements ? Tout ce baratin bourgeois, on nous le servait sous forme de morale communiste et de conduite révolutionnaire.
(p. 8)
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Je pense à toutes les souffrances que je lui ai causées [à ma mère]. L'angoisse, toute sa vie. Je me dis des fois que le plus grand malheur est à l'arrière... On se défonçait pour quelques grandes idées qui nous avaient conquis et donnaient un sens à nos vies, mais pour l'arrière, les mères, les soeurs, tout ça restait souvent un mystère. Pour les mères, les soeurs, les femmes, les enfants, la vie était toute autre... [...] Il m'a fallu des années pour comprendre pourquoi ses yeux brillaient : à cause des larmes...
(p. 80-81)
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Je n’ai pas réussi à changer le système, mais je ne lui permettrais pas non plus de me changer
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Ce que signifiait notre signature pour leur Etat à la con, j’ai jamais pu comprendre. Qu’ils torturent pour faire avouer quelque chose, je comprends la logique. Ils ont peur, ils veulent se protéger… Mais une telle cruauté pour des signatures de trois mômes… Et pourtant, c’est ça qui nous a fait rester debout. Leur refuser ce qui leur semblait si important
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- C'est comment ici?
- Un bordel sans nom, un vrai désastre. On est deux cents politiques et trois cents droits communs, tous mélangés. Le directeur est une salope bien nourrie, un ancien collabo des italiens. Le sous-directeur, un enculé qui doit s'enfiler trois narguilés le matin pour se réveiller.
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