Lus il y a maintenant plusieurs années, faire une critique individuel de chaque tome serait malaisée je fais donc une critique globale de la saga.
Les chroniques du bout du monde sont une saga merveilleuse qui nous emporte dans un univers complètement différent de tout ce que l'on connaît. Tout y a été réinventé, de la cuisine aux peuples de ce monde en passant par les lois de la physique.
Les cycles de Quint, Spic et Rémiz retracent les aventures de trois personnages liés entre eux à des époques complètement différentes de cet univers.
Ces romans jeunesses, bien que parfois trainant en longueur, nous transportent et sont à lire par les adeptes du roman jeunesse car ils sont vraiment plein de magie et une fois plongé dedans, ils peuvent nous emmener très loin. Seul risque : rester en marge de cet univers parfois tellement décalé qu'il en devient presque inaccessible.
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Ce deuxième cycle est moins passionnant que le premier qui m'avait accroché instantanément.
Personnages moins attirants, moins intéressants et plus ennuyeux.
Des bibliothécaires qui pensent en premier à leurs livres plutôt qu'aux gens. Et qu'ils continuent leurs stupides querelles de titres et de grades, du moment que tu n'est pas un chevalier bibliothécaire ou un apprentis, tu n'est pas digne de poser les yeux sur un traités. Des gens qui vénèrent le savoir et les connaissances mais qui t'empêche d'y accéder !
Et le point qui m'a le plus déplu est le fait que toute la falaise s'effondre, maladie de la pierre, esclavagisme, guerre, destruction, malgré le passage de la mère tempête 50 ans plus tôt qui était sensée apporter un nouveau souffle de vie ! Au final le capitaine Spic c'est démené pour rien...
Et une fois les 3 tomes terminés, bin, aucuns remèdes pour la maladie de la pierre, et on ne sait toujours pas d'où elle est apparut, aucunes explications. On découvre aussi que le capitaine Spic n'a jamais pu retourner à la fontaline chercher ces 3 amis, et qu'en plus, il a perdu tout les autres membres de son équipage dans la tentative. Décevant...
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Du mal à accrocher ? C'est normal, durant les deux tiers du roman il ne se passe rien de très spécial. Évidemment, penser que les auteurs sont à court serait ridicule. Oh non. Vous ne vous imaginez pas tout ce qui a changé depuis que vous avez refermé "Minuit sur Sanctaphrax". Tout, absolument tout, a mal tourné depuis sa happy end un brin faiblarde.
On a clairement l'impression que les auteurs veulent se bâtir un univers plus dark. On a toujours plus de politique, Spic a vieilli et ne s'en sortira pas indemne, Rémiz fait partie d'un groupe de bibliothécaires persécutés... le tout avec deux ou trois informations notamment sur les paludicroques qui ne sont pas superflues.
N'empêche que... Les fans les plus jeunes vont avoir du mal avec les temps morts. Qui pour la plupart n'en sont heureusement pas vraiment : le tout est de faire découvrir tout ce qui s'est passé depuis 50 ans, avec quelques nouvelles facettes à l'univers. Mais il y en a quand même.
Mais le dernier tiers... sera plus boosté, c'est le cas de le dire. Il va y avoir de la baston, des exploits, de l'émotion, c'est tout ce que je peux vous dire. Et la série a encore de beaux jours devant elle...
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Les grands Bois, la Lande, la forêt du Clair-Obscur, le Bourbier et le Jardin des pierres. Infraville et Sanctaphrax. LOrée. Autant de noms sur une carte.
Pourtant, chaque nom recèle un millier d'histoires consignées sur des parchemins ancestraux, des récits transmis oralement de génération en génération - des récits que l'on raconte encore aujourd'hui.
Comme en témoigne ce qui suit.