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EAN : 9782809900194
605 pages
Editions Place des Victoires (04/12/2008)
4.5/5   2 notes
Résumé :

A chaque grande ville dans le monde est associé le nom d'un musée important : Paris et le Louvre, Londres et la National Gallery, New York et le Metropolitan, Rome et le musée du Vatican ou encore Florence et les Offices. A Venise, c'est différent. La ville entière est un immense musée. Partout, des Galeries de l'Accademia au Palais des Doges, de la Ca'Rezzonico au musée Correr, de la Ca'd'Oro à la Scuola San Rocco,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Dans ce superbe ouvrage que l'on feuillette à l'infini – comme tout ouvrage d'art qui se respecte – est également un ouvrage de chevet.

Les auteurs ont pris le parti de rassembler (du moins d'essayer) les chefs d'oeuvres de la peinture vénitienne ou non, réalisés par les plus grands peintres vénitiens ou non vénitiens.

On y retrouve des reproductions de tableaux en couleurs des peintres du passé tel que Vivarini, Botticelli, Giorgione, Titien, Tintoret, Guardi, etc ainsi que des peintres contemporains tel que Mario Sironi, Goerge Grosz, etc.

Ces derniers peuvent être admirés un peu partout dans Venise : Musée de l'Académia, Eglise de San Nicolo da Talentino, Palais des Doges, Scuala di San Rocco, Bibliothèque Marciana, etc.

Il y a, également, une bibliographie en fin de volume.

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Ce beau livre pèse son poids de chefs-d'oeuvre (presque 4 kg) avec ses 605 pages qui recensent les peintures nichées dans les musées de Venise. Certes la ville est un musée à ciel ouvert mais elle contient aussi un grand nombre de lieux d'exposition , de palais et d'églises qui recèlent des oeuvres magnifiques . L'ouvrage en propose de superbes reproductions dans l'ordre chronologique et les commente par des études menées de spécialistes italiens (et un anglais) . Mon préféré : Giovanni Domenico Tiepolo (p.480) et ses polichinelles .
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Mais , devant la fresque du Nouveau Monde , toutes les théories et les hypothèses sont réduites à néant: sans doute cette fresque est-elle la métaphore brûlante et douloureuse d'un profond malaise , mais c'est aussi la transcription visionnaire par un poète des fantasmes et des cauchemars , des souvenirs et des espérances qui éclairent sa perception sensible et tourmentée d'une époque en crise.
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