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3,77

sur 1509 notes
L'ickabog est un vrai conte, une véritable histoire du soir, à lire jour après jour... à nos enfants, ou à l'enfant que nous sommes encore.
J'ai appréhendé ce livre avec une petite frayeur. Pas facile de lire du JK Rowling après les Harry Potter que j'avais adoré. Je n'avais pas aimé le livre suivant... Comment appréhender cette nouvelle histoire ?
Il faut prendre ce livre et s'y plonger... Ne pas comparer. Se laisser emporter. Et ça marche !
En tant qu'enfant, c'est une histoire à découvrir.
En tant qu'adulte, c'est aussi une histoire qui peut refléter nos sociétés, celle de la manipulation, une société où la terreur, l'insécurité est instaurée pour diriger, pour manipuler, pour que la manne dirigeante s'enrichisse aux dépens des autres.
Comme les contes classiques de notre enfance, il y a un message derrière l'histoire.
Bref, j'ai vraiment apprécié cette lecture, qui sort des sentiers battus par rapport à mes lectures habituelles.
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Pour les inconditionnels de Harry Potter que nous sommes, la sortie de ce nouveau roman jeunesse de J.K. Rowling était très attendue. Nous n'avons donc pas tardé à le découvrir, frémissant d'impatience mêlée, il faut bien le dire, de craintes qu'il ne soit pas à la hauteur des aventures du sorcier à lunettes…

« Il était une fois un tout petit pays qui avait pour nom la Cornucopia… »

L'Ickabog se démarque d'emblée en s'adressant à des lecteur.ice.s plus jeunes et se situant dans le genre du conte plutôt que celui de l'heroic fantasy. Nous voici donc dans un petit royaume qui pourrait rappeler la France avec ses divines spécialités gastronomiques ancrées dans différents terroirs. Tout serait idyllique en Cornucopia s'il n'y avait pas les Marécages ténébreux du nord où l'on raconte que sévit un monstre terrifiant, l'Ickabog. Conte pour enfants ou menace réelle ? L'intérêt des élites dirigeantes pour cette question déclenche une série d'aventures qui pourrait bien voir le mythe et la réalité s'entrechoquer… et transformer la Cornucopia à jamais.

J.K. Rowling connaît son affaire, ces 352 pages se lisent avec plaisir – plaisir de se laisser entraîner par une plume vive, traduite par la talentueuse Clémentine Beauvais ; plaisir de découvrir un univers plein de fantaisie qui fait tour à tour rêver, grincer des dents et frissonner ; plaisir de se laisser entraîner dans une aventure sur laquelle plane, jusqu'aux dernières page, un intrigant mystère. Cela dit, je n'ai pas retrouvé l'inventivité inouïe dont J.K. Rowling faisait preuve pour imaginer l'univers de Harry Potter dans ses moindres détails : la Cornucopia semble bien étroite, ses personnages très manichéens, si bien que l'essentiel de l'intrigue se déroule de façon linéaire et assez attendue.

Nous n'en avons pas moins adoré toute la fin et nous avons apprécié la réflexion à laquelle cette histoire nous invite à propos de l'irrationalité de certaines peurs et de leur instrumentalisation à des fins de pouvoir. Ça commence avec les Père Fouettard et autres mythes inventés pour impressionner les enfants, et ça finit avec les marchands de peur qui font leur commerce politique en pointant des menaces largement déconnectées de la réalité - quand il ne s'agit pas purement et simplement de fake news. Les dangers les plus grands ne sont pas toujours là on les attend.

Un conte politique plaisant que nous ne regrettons pas d'avoir lu. Mais qui souffrira de toute comparaison avec la saga culte de l'autrice.
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Il était une fois, au royaume de Cornucopia, un roi qui était compréhensif, aimant ses sujets et régnant avec justesse...euh, non pardon, rembobinons...il était une fois au royaume de Cornucopia un roi appellé Fred Sans Effroi qui aimait à ce que l'on le flatta. Il était égoïste, extrêmement naïf certes et se laissait manipuler par les deux lors qui siégeaient à ses côté : Lord Crachinay et Lord Flapoon. Si le premier était très rusé, il oeuvrait toujours de manière machiavélique et ne pensait qu'à son propre intérêt tandis que le second ne pensait qu'à se remplir la panse des excellents mets que l'on dispensait dans la capitale, Chouxville. L'on ne peut pas dire que les gens étaient malheureux mais il y avait cependant un endroit où ils l'étaient réellement en raison de leur extrême pauvreté, c'était dans les Marécages. Là-bas, régnait la légende de l'existence d'un terrible monstre appelé L'Ickabog. Certains y croyaient dur comme fer tandis que d'autres étaient persuadés qu'il ne s'agissait bel et bien que d'une simple fable pour effrayer les enfants. Alors, légende ou réalité ? C'est ce que vont tenter de faire croire les deux lords peu scrupuleux à toute la population afin de convaincre le roi de lever une taxe pour les protéger de ce dernier, et par la même occasion, s'en mettre plein les poches ! Cela aurait très bien pu fonctionner (il est facile de ne pas faire éclater la vérité lorsque l'on met les témoins gênants au cachots) mais cela était sans compter par l'intervention du jeune Bert et de son amie d'enfance Daisy auxquels se rajouteront Martha (une enfant qui a grandi dans ces fameux marécages) et Roderick mais ne comptez pas sur moi pour vous dire de quelle manière ils interféreront dans cette histoire car cela vous gâcherait bien des surprises !

Un conte que je redoutais un peu moins de lire suite à ma lecture de "Jack et la grande aventure du cochon de Noël", toujours de cette excellente auteure J.K Rowling et à la question que vous me poseriez certainement ? Peut-elle faire mieux que Harry Potter ?, je répondrai certainement : non mais elle s'en approche grandement donc oui, allez-y les yeux fermés et sans appréhension, je vous garantis que vous ne serez pas déçus !
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Quelle belle lecture ! Je n'aurais sans doute plus lu JK Rowling sans le challenge solidaire. J'avais adoré Harry Potter. Mais voilà j'ai vieilli.... Alors ai-je perdu mon âme d'enfant ? C'est la question que je me posais avant de commencer ce livre....
Conclusion : soit je l'ai toujours (j'ai complètement vécu l'histoire !) soit l'auteure a un réel talent pour vous emporter dans un livre jeunesse !
Enfin livre jeunesse.... à l'anglaise, c'est-à-dire qu'on est TRES loin du feel-good.Un conte cruel. En effet on va être ici face à une situation malheureusement réaliste : pour pouvoir rester au pouvoir, ici les deux conseillers-amis-faire valoir du Roi vont inventer un dangereux monstre, l'Ickabog du titre. La peur de la population réunit celle-ci autour du Roi protecteur. Pour qu'elle ait peur, les conseillers n'hésitent pas à tuer des innocents en faisant croire qu'il s'agit de l'oeuvre du monstre. Tous les opposants, hop !, en prison !
C'est tristement réaliste. Les différents mécanismes qui mènent à un pouvoir autocratique sont bien décrits. Chapeau bas !
Comme on est dans la littérature jeunesse, on a deux jeunes héros : Bert mais surtout Daisy, gamine indépendante, courageuse. Une belle image de fille qui pourra être un sacré modèle.
Un très bon roman qui m'a bien plu même si je n'ai plus l'âge visé. Mais y a t il un âge pour lire des livres jeunesse ?
Ah j'ai oublié quelque chose d'essentiel : en fait, le monstre créé pour garder le pouvoir... bin... peut-être bien que....mais chut ! je ne dirai rien !
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J'avais envie d'un peu de magie après avoir enchaîné quelques romans, certes magnifiques, mais d'une noirceur à fendre l'âme, à mi-chemin entre la violence d'un film de Jacques Audiard et la douleur d'un de ceux des frères Dardenne.

Et puis, je suis de la génération de Harry, celle qui a découvert et adoré "Harry Potter à l'école des sorciers" lors de sa sortie française en 1998 -j'avais 10 ans, presque comme le rejeton des Potter-, celle qui a attendu les quatre derniers tomes comme d'autres attendent le messie, celle qui a rêvé sa lettre d'admission à Poudlard et mis des posters des films dans sa chambre de pré-ado.
Alors quand j'ai su que J.K. Rowling après ses incursions dans la littérature adulte s'offrait un nouveau détour du côté des romans jeunesse, j'ai succombé, surtout après avoir entendu dire de son nouvel ouvrage qu'il tenait diablement du conte et que le propos en était aussi engagé qu'intelligent.
Et cette couverture...

Certes, j'avais quelques craintes aussi en ouvrant "l'Ickabog": celle d'être déçue, celle de ne pas parvenir à attendre autres choses que variations poudlaresques, celle de me sentir trop vieille pour le livre, celle de réaliser que J.K. Rowling surfe sur sa popularité sans rien proposer de vraiment bon...

Et puis j'ai lu et c'est avec bonheur que je me suis sentie complètement happée par l'histoire: celle du royaume de Cornucopia dont tous les habitants -ou presque- vivaient dans le bonheur et l'abondance sous le règne du très beau et très aimé roi Fred-Sans-Effroi jusqu'au jour où un berger venu du nord du pays, là où la terre est infertile et brumeuse, s'en est venu annoncer que l'Ickabog, ce monstre de légendes destiné à faire peur aux enfants, était bel et bien réel et qu'il s'en prenait aux hommes (et aux chiens)...

A dater de ce jour funeste, plus rien ne fut jamais pareil en Cornucopia: des soldats partirent en guerre, le fils d'une pâtissière se fâcha avec la fille d'une couturière, un menuisier devint presque fou, les orphelins et les meurtres essaimèrent tandis que planait, comme une perpétuelle menace, l'ombre noire de l'Ickabog sanguinaire.

Il faudra tout le courage d'une poignée de sujets du roi Fred pour ramener la paix dans le petit royaume.
Pour y ramener aussi lucidité, réflexion et intelligence et pour y faire comprendre que les monstres ne sont pas toujours ceux qu'on croit.

"L'Ickabog" est un conte, un vrai de vrai avec son lot de personnages fantasques et un poil caricaturaux, la cartographie presque merveilleuse de Cornucopia et ses odeurs de fromages et de pâtisserie qui régalera les enfants, à n'en pas douter.
Il possède également cette touche d'humour propre à son auteur qui ne peut que réjouir chacun de ses lecteurs. Moi j'ai ri à chaque cocasserie.
L'intrigue est romanesque au possible, bien traitée et construite avec pas mal de finesse et beaucoup d'efficacité. La narration qui alterne points de vue et focalisation, qui sait doser et ménager le suspense à grands coups de "s'ils avaient su" et qui joue avec un art consommé des ellipses temporelles est un délice qui ne s'amoindrit qu'à la toute fin du roman que j'ai trouvé trop rapide et trop précipitée.

En sus de tout cela, de ces qualités littéraires, "L'Ickabog" est également et surtout une formidable fable politique sur les abus de pouvoir, les mensonges d'état, la terreur et la corruption entraînés par un régime autoritaire sinon totalitaire qui amène à réfléchir et à s'interroger; qui se fait aussi le chantre de l'esprit critique et de la réflexion.
Difficile de ne pas le lire à la lumière de notre époque pour le moins troublée, où les fake news fleurissent aussi vivement que les polémiques dont les journaux ne gardent souvent que l'aspect fracassant sans pousser plus loin la cogitation... Mal du siècle!

Cet aspect du roman est d'autant plus savoureux et intelligent qu'il ne s'encombre pas d'une gangue moralisatrice -ce que je supporte toujours assez mal- mais bel et bien d'une aura romanesque palpitante qui m'a personnellement fait passer un excellent moment plein de magie tout en me confortant dans quelques idées sur la vérité et le pouvoir et en me poussant à toujours vouloir encourager l'esprit critique, où qu'il veuille et puisse bien se loger.

Ce n'est pas tout à fait du Voltaire mais on s'en rapproche un peu, les effluves de nacelles-de-fées et les grands yeux tristes de l'Ickabog en plus.
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Autrefois le royaume de Cornucopia était le plus heureux du monde et il n'y avait aucun habitant mécontent pas car il ne manquait de rien d'excellentes spécialités culinaires, de l'argent et un roi avec de belles moustaches que tout le monde aimait.

Tout était parfait : à part les Marais brumeux du Nord, où l'on raconte que vivait un monstre - le terrible Ickabog, qui dit on sortait la nuit pour dévorer les petits .

Nul ne l'ignore : J .K. Rowling est l'autrice des sept tomes de Harry Potter, parus entre 1997 et 2007. Traduite en 80 langues, vendue à plus de 500 millions d'exemplaires et adaptée en 8 films à succès, la saga est aujourd'hui un véritable phénomène littéraire et l'une des oeuvres les plus lues au mondes.

Son dernier roman à ce jour L'Ickabog. paru en décembre dernier en France en version "papier" a été imaginé il y a plus de dix ans, alors qu'elle écrivait encore la saga Harry Potter.

En 2020, alors que la crise du coronavirus confinait les enfants de par le monde, J.K. Rowling a eu l'idée de reprendre cette histoire.

Elle a replongé avec bonheur dans l'univers de L'Ickabog pendant plusieurs semaines pour parfaire le texte, aidée de ses enfants devenus adolescents.

Dans une démarche solidaire face à la pandémie, J.K. Rowling a voulu que L'Ickabog existe d'abord en ligne, accessible gratuitement par épisodes jusqu'au mois d'août 2020. Elle a aussi imaginé qu'il soit l'objet d'un concours de dessins pour les enfants

Notre avis

L'Ickabog. est un joli conte de fées a priori destiné aux jeunes lecteurs mais que les adultes ne bouderont pas vu que les différents degres de lecture sont évidents avec des références assez claires à la situation politique et sociale actuelle ( le fameux monstre pourrait être un ancien président des USA et que la fable est traversé de thématiques intemporelles comme l'amitié, la peur et la trahison.

JK Rowling confirme qu'elle n'a rien perdu de son talent de conteuse et raconteuse hors pair !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Un conte plein de bons sentiments! Outre la démarche salutaire (donner un peu de joie aux enfants pendant ce temps de pandémie en lançant un concours d'illustrations), le récit n'est pas aussi mièvre que je m'y attendais. J.K. Rowling montre de nouveau tout son talent en donnant vie à un conte imaginée par elle pour ses jeunes enfants. On y retrouve tous les arcanes d'un conte : des personnages manichéens, un monde parfait en péril, un dénouement heureux avec une bonne dose de morale. le tout saupoudré de dessins d'enfants en guise de bonus. Loin d'être ennuyeux, on suit avec envie l'intrigue autour du destin de la Cornucopia, de ses habitants et du mythe de l'Ickabog. Ce cocon parfait est mis en péril par l'avidité et la cupidité de deux conseillers fourbes, aidé passivement par un roi benêt et vaniteux. Une imagination débordante comme J.K. Rowling en a le secret. Un bon moment. En somme une très bonne lecture!

Challenge Trivial Reading XI
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Multi-auteures SFFF 2021
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Mon premier roman en anglais ! Je voulais commencer par du "facile" , je n'attendais rien de particulier de ce conte pour enfant mais j'ai été conquise ! Par contre je ne m'attendais pas à autant de morts, ni à autant de manque d'empathie des "méchants". C'est assez dur pour certains personnages , or, dans ma tête je devais être en mode disney car j'avais oublié la cruauté que l'on retrouvait aussi dans les contes...Du coup j'étais un peu surprise par la tournure que ça prend. Mais ça c'est de ma faute. Dans tous les cas j'ai passé un excellent moment au côté de Bert et Daisy, c'est bien écrit, bien rythmé et on est bien dedans pendant toute la lecture.
Challenge Mauvais genres 2021
Challenge auteures SFFF
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Je ne m'attendais pas du tout à ça ! Ni à ce genre, ni à cette écriture de la part de J.K. Rowling.
Alors pour le genre ce n'est pas du tout du Fantasy mais bien du Merveilleux. Et Merveilleux, il l'est aussi dans la manière dont il nous est conté, car ça m'a rappelé les histoires d'antan.

C'est un narrateur qui conte l'histoire et J.K. Rowling utilise les phrases comme "mais j'y reviendrais plus tard", "vous comprendrez pourquoi ce personnage est important par la suite".
Comme à son habitude, des personnages, il y en a pléthore, mais je vous rassure, aucun mal à les situer. le plus difficile dans ce roman, c'est de s'en décrocher.

Pourtant l'histoire est assez simple. le roi de Cornucopia. Un peuple qui lui fait confiance. Des histoires pour effrayer les enfants, avec un monstre que l'on nomme Ickabog mais que personne n'a jamais vu. Un Lord qui se voit roi à la place du roi et qui est prêt à tout pour y parvenir grâce à son imagination débordante, quitte à faire naître cet Ickabog dont le tout monde à entendu parler.
Et puis il y a ceux qui vont mettre sa parole en doute...

Et ces personnages là sont attachants. Je n'avais qu'une hâte c'est de savoir si cette bête à poils, à plûmes ou à écailles...existe vraiment.

N'attendez pas de magie de la part des personnages, la magie opère uniquement en lisant ce roman. Je reste dans l'attente de savoir si celui-ci donnera "néance" à un tome 2.
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C'est un vrai conte de fées que nous offre JK Rowling cette fois-ci. Sur le fond, il m'a un peu rappelé Les Habits neufs de l'Empereur, d'Andersen. Et c'est une petite merveille !

Il était une fois donc, le Roi Fred-Sans-Effroi, de Cornucopia, qui avait la chance immense de régner sur un domaine prospère et heureux. Egoïste et vaniteux, vexé par la remarque d'une petite fille, il décide de se montrer altruiste, et écoute la requête d'un berger venu des marais du Nord : son chien a été mangé par l'Ickabog ! Ni une, ni deux, voilà Fred, son commandant des armées Beamish et ses deux meilleurs amis Crachinay et Flapoon, partis chasser l'Ickabog... Mais arrivé dans les marais, déboussolé dans le brouillard, voilà que Fred est persuadé d'avoir vu la mythique créature... Et son "ami", Lord Crachinay, convaincu que la Bête n'existe pas, va attiser la peur du monstre chez son souverain pour s'accaparer le pouvoir et... les impôts collectés pour se protéger des attaques de ce monstre sanguinaire.
Et peu à peu, le malheur s'abat sur la Cornucopia... Heureusement, quelques âmes courageuses veillent, et les actions conjuguées de Daisy et son menuisier de père, de Bert et sa cuisinière de mère, de Martha, de Roderick, du Capitaine Bonamy, de Lady Eslanda et de l'Ickabog lui-même auront raison des imposteurs !

Dans l'Ickabog, on retrouve tout le talent de JK Rowling, que ce soit dans la construction de l'histoire, dans les caractères des personnages, dans les quêtes individuelles qui viennent compléter la principale, et toujours ces noms de pâtisseries qui font saliver rien qu'à y penser : songes de Donzelles, nacelles de fées, Espoirs du Paradis... Bref, un régal !
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