Après deux tentatives, c'est à la troisième que je suis arrivée au bout de ce livre. Malgré la minutie de
Françoise Sagan dans la descriptions de ses personnages, j'ai eu l'impression que Narcissus avait transporté tout un pays dans sa croisière. On se retrouve avec plusieurs situations qui à la fin ne sont pas exploitées à fond. Puis
la femme fardée du titre qui en elle-même est source de plusieurs conflits psychologiques, moraux, sociaux, professionnels, familiaux...est apparue comme une simple marionnette... Enfin il y a bien certaines pistes une ou deux que l'auteur avait la possibilité de mieux exploitées.
Mais je dirais pour la troisième lecture où j'y suis allée très lentement, j'ai quand même aimé le style philosopho-humoristique, si je peux me permettre de l'appeler ainsi, de
Françoise Sagan, je me suis amusée avec ses personnages qui avaient chacun un côté de burlesque.