Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran

Un livre très intéressant, qui nous plonge face aux préjugés et nous interroge sur la notion d'entraide. Un livre court et efficace, j'ai beaucoup aimé.

une belle petite fable sur les préjugés que l'on peut avoir les uns sur les autres autour du thème des grandes religions monothéistes.

UNE CRITIQUE LITÉRAIRE : MONSIEUR IBRAHIM EST LES FLEURS DU CORAN

Dans chaque village il se trouve une personne qui possède une épicerie. Une autre appellation est un arabe et chez un de million Arabe commence le livre Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran.

Momo a eu une enfance difficile, sa mère est partie chez lui quand il était un petit enfant. À la maison, Momo vit aussi dans une situation dure. Son père ne monte pas attention pour lui et il a des problèmes financières parce que son entreprise n'attire pas beaucoup de gens. Au coin de la rue il se trouve une épicerie. le vieil homme qui travaille ici appelle monsieur Ibrahim, au début de l'histoire Momo trouve Ibrahim une personne foue, mais quand on va un peu plus loin dans l'histoire ils deviennent des meilleurs copains.

La progression de l'histoire ne peut jamais arriver dans la vraie vie. L'idée qu'un petit garçon juif se lie d'amitié avec un vieil homme qui croie en l'Islam, c'est quelque chose vraiment incroyable mais en même temps quelque chose drôle. Au livre vous faites connaissance avec deux type de religions complètement différentes. le Soufisme, une forme d'Islam et le Judaïsme. L'auteur indique clairement qu'une foi ne peut pas influencer l'amitié. Tout le monde doit être égal et tout le monde peut devenir des amis, même si vous êtes une personne vieille ou jeune. Vous apprenez beaucoup de ces religions et vous constatez que les deux ont beaucoup en commun. À côté les points positifs il y a aussi un point négatif. Il se passe quelque chose à la fin de l'histoire et là le livre arrêt. Vous vous imaginez au récrit et tout d'un coup vous réalisez que l'histoire est terminée. Donc c'est dommage que l'histoire finit soudainement et que vous ne savez pas comme l'histoire passe au futur.

On peut constater que monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran se marque comme une histoire avec un contenu formidable, mais la fin contribue que le livre n'est pas complet.

Un très beau livre que ce récit de l'histoire de la rencontre entre Moïse, dit Momo, et Monsieur Ibrahim, l'épicier arabe du quartier. Cette amitié naissante qui va se renforcer au fur et à mesure de leurs discussions, va changer leur vie. Momo va petit à petit oublier la dureté de son quotidien.
L'écriture d'E-E Schmitt est simple; on a l'impression qu'il écrit comme il parle ou pourrait parler, mais cela rend juste le récit léger.

Lue en moins de 40 minutes cette nouvelle est, une fois de plus une réussite !
Ici nous abordons un Paris des années 60, une famille juive peu aimante envers son ado de 14 ans, Momo. Dans la rue, il y a l'Arabe du coin, un épicier qui a plus de rêves et de sagesse dans la tête que d'argent dans le tiroir caisse. Leur amitié naissante laisse toujours une belle place à la religion et au questionnement. Encore une fois, sans être moralisateur, l'auteur ouvre plutôt la porte de l'appropriation de la religion, apprendre à voir au-delà du texte brut et se réaliser librement en tant qu'Homme.
Une jolie nouvelle, qui met du baume à l'âme et contraste avec la pollution médiatique qui nous assomme quotidiennement.

Encore une jolie fable philosophique empreinte d'humanité et de partage. Je ne me lasse décidemment pas de cet auteur et son talent de conteur.
Moïse, jeune garçon au seuil de l'adolescence, trouve en Monsieur Ibrahim, l'épicier du quartier, un confident, un ami, un père. Car la vie de Momo (surnom donné par le vieil homme) n'est pas simple et il se pose beaucoup de questions.
Entre voyage initiatique et partage de souvenirs, les deux compères tissent des liens forts. le style de l'auteur est toujours aussi enlevé et les réflexions philosophiques sur la vie, la religion, l'humain sont toujours aussi justes, plein d'une tendresse émouvante. Encore une fois, un livre à savourer par un auteur qui ne vous décevra pas.

Cette nouvelle sur le passage de l'enfance à l'âge adulte, nous fait réfléchir sur la joie de vivre, la tolérance et la force de vivre. Une écriture simple, mais avec un personnage principal fort et captivant dès les premières phrases et une relation entre des personnages juifs et musulmans contre les idées reçues actuelles. Peut-être avons-nous tous un "Monsieur Ibrahim" dans notre vie, un guide pour nous aider sur le chemin de la vie, qu'il nous faut trouver.

Second opus du Cycle de l'invisible, ce petit livre est à la fois un roman initiatique, un conte philosophique oriental, une fable humaniste et une formidable leçon de tolérance. le jeune Moïse, adolescent juif, se lie d'amitié avec Ibrahim, l'épicier arabe de la rue Bleue à Paris. Il y est question de religion, notamment le soufisme, mais c'est aussi un roman sur le passage de l'enfance à l'âge adulte, et le rôle de transmission des parents officiels ou de substitution. Monsieur Ibrahim y distille avec parcimonie ses petites phrases, une par jour, véritables petites perles de sagesse. Je lui reproche une seconde partie et une fin un peu rapides, voire bâclées, notamment le road trip vers le Croissant d'or, mais Éric Emmanuel Schmitt lui-même avoue avoir écrit cette histoire très vite, en quelques jours sur un coin de table, pour faire plaisir à un ami, et ne pensait pas la publier. J'y ai aimé la description humoristique des diverses religions par l'odeur de leurs lieux de culte, et le passage sur les derviches tourneurs est aussi un régal, avec une écriture musicale très appropriée, presque lancinante. C'est une histoire simple et très, peut-être trop, optimiste et bourrée de bons sentiments, un peu magique, qui gagne à être lue avec d'autres romans du Cycle de l'invisible, cela lui donne à mon avis plus d'impact.

Ce conte m'a plu malgré son coté un peu enfantin et simpliste. Car l'écriture est fluide, charmante même. Momo et monsieur Ibrahim sont attachants, ce dernier présenté comme un parangon de sagesse et de tolérance. Bien qu'il soit très court, ce livre passe de nombreux messages sur la parentalité, la richesse, les religions etc. On dirait que tout coule de source et est exempt d'un moralisme trop souvent associé a ce genre. La finale me convient parfaitement aussi. Bref une petite lecture fort sympathique!

Un livre trés vite lu.
Agréable avec des personnages rapidement brossés mais attachants.
Un soupcon de réflexion sur l'être humain et la religion.
J'ai bien aimé mais je n'ai pas adoré.