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EAN : 9782732448701
252 pages
Editions de la Martinière (09/02/2012)
3.66/5   32 notes
Résumé :
La famille de Perry Stormaire a accueilli une étudiante lituanienne.
Mais la déception est grande pour le garçon, qui se voyait déjà passer sa dernière année de lycée en compagnie d'un top modèle d'Europe de l'Est. En effet, Gobija Zaksauskas est très réservée, un peu bizarre, pas très jolie et, en plus, Perry doit l'emmener au bal de fin d'année ! Mais lors de cette soirée, la jeune fille au pair se révèle sous un autre jour : elle s'amuse et danse de manièr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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17ème édition de Masse critique (novembre 2012) :
Quand j'ai ouvert l'enveloppe contenant « Bye Bye crazy girl » de Joe Schreiber, ouvrage paru aux éditions de la Martinière Jeunesse, mes yeux ont découvert un livre au format très « acceptable » (252 pages, à comparer avec une des mes précédentes lectures, un ouvrage comptant plus de 680 pages), au titre moderne et accrocheur (les termes anglais et le concept de « crazy girl » laissaient présager d'aventures incroyables, à tout le moins déboussolantes), avec une couverture cartonnée représentant, sur fond de taches de sang, un personnage asexué (homme ou femme ?) faisant usage de son revolver. Et la 4ème de couverture annonçait en guise d'avertissement  une « histoire de vengeance menée tambour battant par une héroïne à l'énergie contagieuse ».

Une histoire de vengeance ? C'est tout à fait exact. Gobija Zaksauskas, alias Gobi, fait ses études en Lituanie. Accueillie dans le cadre d'échanges internationaux par la famille du lycéen Perry Stormaire, famille qui réside à proximité de New-York, Gobi cherche en fait à retrouver la trace du réseau de traite des blanches qui a enlevé puis tué sa soeur. Gobi est armée, elle maîtrise le maniement des explosifs de dernière génération (Semtex et assimilés), son dynamisme est exceptionnel (elle le doit probablement à quelques piqûres d'éphédrine, substance qu'elle s'injecte de temps à autre) et sa volonté est sans faille (même devant la torture, mais je ne vous en dis pas plus). Et elle ira jusqu'au bout !

Menée tambour battant ? C'est le moins qu'on puisse dire. Dès le début du livre, les événements s'enchaînent à une vitesse qui va en s'accélérant  : d'abord un bal lycéen de fin d'année, dans une ambiance plutôt calme, puis une altercation entre Perry et deux lycéens délibérément provocateurs que Gobi mettra hors d'état de nuire (un des hommes sera même tué de sang froid), la fuite de Perry et de Gobi dans la Jaguar paternelle (prêtée pour l'occasion), des explosions, des flics en chasse après Gobi (où le lecteur découvrira qu'un Humer constitue un arme de poursuite redoutable), jusqu'au sauvetage final de Gobi et de Perry en hélicoptère (ils se tireront des griffes des méchants, mais je n'en dis pas plus).

Une héroïne à l'énergie contagieuse ? Il faut admettre qu'entre le Perry obéissant, pour ne pas dire soumis à son père (depuis plusieurs années, il a été contraint d'abandonner ses compétitions de natation et le jour du bal lycéen de fin d'année, son père l'oblige à renoncer au concert de rock que Perry avait prévu de donner avec le groupe qu'il a constitué avec ses amis musiciens, les Inchworm), que le lecteur découvre au début du livre et le Perry énergique et affirmé auquel ce même lecteur est confronté dans les derniers chapitres de l'ouvrage, il y a un monde ! Et ce changement est évidemment le fruit d'une cohabitation ininterrompue entre Perry et son héroïne. Car Gobi est bien « son héroïne » : de supposée « top-model » d'Europe de l'Est, en passant par une fille ordinaire vêtue comme « l'as de pique » (voir page 31), Gobi s'avère être d'abord une vraie femme puis un réel modèle pour Perry. Notre lycéen va, grâce à elle, s'affirmer progressivement, tant dans son corps (il était puceau, il va embrasser puis caresser son héroïne) que dans sa tête (il va rejeter les instructions parentales qui entravaient son propre fonctionnement, il va faire preuve d'initiatives et prendre des postures viriles, oscillant entre le guerrier, le justicier et le protecteur).

Le scénario est, hélas, crédible : les faits divers regorgent de filles enlevées et abusées sexuellement par des personnes appartenant à des réseaux mafieux, souvent sous couverture d'activités tout à fait légales. le lecteur est plongé dans un monde moderne : famille traditionnelle avec liaisons extra-conjugales, avocats d'affaires sur-investis dans des dossiers complexes, compétition entre lycées et entre universités, splendeurs et misères de certains quartiers de New-York, nuits urbaines plus ou moins déjantées, etc. le style est direct et simple. Grâce à une narration à la première personne, le lecteur s'identifie aisément à Perry. Il s'agit de dialogues écrits et la recherche stylistique est réduite au strict minimum, privilégiant une écriture cinématographique hyper-fluide et des chapitres courts (certains échanges entre Perry et son père pourraient avoir été mieux travaillés). Les titres des chapitres sont autant de sujets de dissertation proposés par des universités américaines (du type « Choisissez trois objectifs pour vous décrire et expliquer pourquoi - Bowboin College ») : ce point original et un tantinet ludique révèle la compétition existant entre les grandes universités américaines. Or c'est précisément dans une grande université que Perry va commencer sa rentrée prochaine afin de s'assurer un avenir brillant, du moins c'est le souhait de son père. Par-delà la vengeance, ce livre est également l'histoire d'une relation qui se construit entre ces deux jeunes : au début, Perry ne prête pas attention à Gobi alors qu'ils vivent sous le même toit, puis il va la détester, finir par la comprendre et enfin participer activement à son entreprise.

Avec ce livre, on ne s'ennuie pas une seule minute : j'ai lu ce livre d'une seule traite, happé par cette amitié et cet amour entre deux adolescents aux parcours dissemblables, fortuitement unis dans cette vengeance. Gobi n'est ni une tueuse à gage (c'est une adolescente vengeresse), ni une James Bond Girl et elle n'est pas folle (contrairement à ce qu'annonce le titre), sauf que pour accomplir sa vengeance elle n'hésite pas à mettre les proches de Perry (et notamment Anne, sa soeur cadette) en danger. Il y a du sang mais l'hémoglobine ne coule pas à flot et c'est sans voyeurisme aucun que vous poursuivez votre lecture au fil des pages. Il y a bien un peu de naïveté, voire un brin de simplicité à dénoncer (facilement ?) les agissements d'un réseau composé de personnes riches et occupant une place de choix dans la société américaine : l'auteur aurait pu nous plonger dans des réseaux « de bas étage », quitte à nous immerger dans une laideur et des atrocités qui ne faisaient pas sens dans un livre pour la jeunesse. le sauvetage final (la scène de hélicoptère et la suite, alors que Gobi est grièvement blessée) est certes un peu « tiré par les cheveux » mais voyez le clin d'oeil que vous adresse l'auteur dans les dernières lignes de l'ouvrage … Bref, un superbe roman noir, bien rythmé, destinés prioritairement à des ados qu'une histoire personnelle bien sympathique mais un peu sombre ne rebuterait pas !
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Mes incursions en littérature jeunesse sont rares tant je crains d'être déçue par le style et des histoires que j'imagine ronronnantes, une fin prévisible et des héros mièvres et boutonneux. Erreur!! me direz-vous - et vous auriez raison. Il serait temps que je me mette à la page : Ce n'est pas parce qu'on est adolescent qu'on vit dans le monde des Bisounours. Les auteurs de romans jeunesse aussi savent écrire des polars, qui surpassent parfois ceux destinés aux adultes.
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L'auteur adopte le bon tempo, l'histoire est menée tambour battant : Bye bye crazy girl est un roman plein d'énergie qu'on dévore d'une traite. C'est plutôt réussi, même si l'ensemble manque de mise en scène.
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La vraie bonne idée, pleine d'originalité, est à chercher dans le titre des chapitres. Chacun est un sujet donné par une grande univeristé américaine, sujet sur lequel les postulants doivent rendre une petite dissertation dans leur dossier d'admission. Ainsi, que répondriez-vous à l'Université de new York sur le thème : "On a dit (Andy Warhol) que'"à l'avenir, tout le monde aurait son quart d'heure de célébrité". Décrivez le votre."? Si vous préférez l'Université de Virginie, attendez-vous à défendre votre honneur : "Êtes-vous quelqu'un d'honorable? Comment le savez-vous?". Moi je cherche encore...
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Perry est en classe de terminale et s'apprête à entrer à l'université. Il vit avec ses parents, Annie, sa soeur cadette, et Gobija Saksauskas, une étudiante lituanienne qui est venue étudier en Amérique. Perry joue dans un groupe de rock qu'il a formé avec ses meilleurs amis : les Inchworm. Ils ont d'ailleurs la chance de pouvoir jouer dans une salle, face à un vrai public, le jour du bal de fin d'année. Mais les plans de Perry vont être bouleversés. En effet, ses parents l'obligent à conduire Gobi au bal de fin d'année et à être son cavalier pour la soirée. Déjà qu'il n'était pas très emballé, il va vite s'apercevoir que Gobi est loin d'être la jeune étudiante qu'elle prétendait être… Elle est en réalité une véritable tueuse à gage qui va embarquer Perry avec lui pour une soirée inoubliable…

Une chose est sûre, le lecteur ne s'ennuiera pas une seule minute avec ce livre, où les rebondissements s'enchainent les uns après les autres. Prise d'otages, meurtres, courses poursuites en plein New York, usurpations d'identité… L'auteur nous livre ici un scénario digne des plus grands films hollywoodiens. Suspens, amitiés, amours, secrets de famille, assassinats… Tout est au rendez-vous pour happer de la première à la dernière page !

Perry est un sympathique jeune homme, qui se retrouve coincé entre son père autoritaire, qui est un grand avocat, Gobi et ses copains du groupe de rock. de plus, il faut qu'il parvienne à mettre sa famille hors de danger, car Gobi a assuré ses arrières pour accomplir sa vengeance, quitte à mettre les proches de Perry en danger ! Mais de quoi souhaite-t-elle se venger au juste ? Ça, je vous laisse le découvrir en compagnie de ce livre.

En plus d'un rythme très soutenu, l'originalité de cet ouvrage tient aux titres de chapitres, qui sont des sujets proposés par des universités américaines (du type « Expliquez en quoi vos expériences d'adolescent diffèrent sensiblement de celles de vos amis »). Car notre héros a aussi pour but d'entrer dans une grande université : Uconn (dans le Connecticut), Trinity ou Columbia. de plus, les chapitres sont courts, ce qui donne envie de lire toujours un petit chapitre de plus, puis un autre. L'écriture de l'auteur est très fluide, ce qui correspond parfaitement au rythme de l'intrigue.

Gobi est également un personnage captivant: d'étudiante lituanienne, elle devient tueuse à gages, vengeresse… Mais elle est aussi très attachante, surtout lorsque l'on découvre pourquoi elle agit ainsi. Sa relation avec Perry est aussi très intéressante, puisqu'elle se développe et prend une tournure assez inattendue. Alors qu'il n'a quasiment pas prêté attention à elle pendant l'année qu'ils ont partagée dans la même maison, il va tout d'abord la détester de lui faire endurer une telle épreuve, puis il va finir par la comprendre.

Il est difficile de vous parler de cet ouvrage sans trop en dévoiler, mais je vous assure que c'est un superbe ouvrage et je le recommande vivement !
Lien : http://decouverteslivresques..
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Et bien quelle lecture ! telle est la première phrase qui me vient à l'esprit lorsque je repense à ce livre de Joe Schreiber, auteur que je ne connaissais pas puisque Bye bye crazy girl est son premier roman traduit en français.
Avec un résumé alléchant mais qui n'en révèle pas trop sur le contenu, je m'attendais à une histoire d'amour et autant le dire, j'ai totalement fais fausse route. C'est un film d'action complet que Joe Schreiber écrit dans son roman ! Une nuit New Yorkaise comme sait les faire au cinéma Hollywood où le quotidien d'un jeune lycéen se transforme en course poursuite, vengeance et meurtres en tout genre sur fond peut-être (mais vraiment très peu) d'une histoire d'amour naissante...
Perry ne s'attendait certainement pas à vivre de tels événements survitaminés avec la calme et réservée Gobi mais pourtant, cette nuit du bal de promo, qui clôt son année de terminale, va être la plus longue de toute son existence. Il s'en rappellera à vie comme un mélange de peur, d'excitation, de rage, de haine, d'admiration et de bonheur. Les sentiments se croisent et se mêlent dans les heures que Gobi et Perry vont partager dans les différentes voitures, les différents lieux où ils se retrouvent liés.
Bye bye crazy girl ne laissera ni au lecteur, ni aux personnages, un moment de répit, tout juste quelques minutes éphémères ou le temps semble suspendu. C'est dynamique, c'est vivant, ce n'est pas du tout réaliste mais on accroche !
Bye bye crazy girl de Joe Schreiber est un roman étonnant, qui fait preuve de beaucoup d'originalité, tant dans l'histoire (certes ce genre d'aventure est courant au cinéma, beaucoup moins en roman) que dans le style. Sur ce-dernier, soulignons l'usage de sujets d'écriture d'entrée dans les universités américaines pour annoncer chaque début de chapitre : on peut dire que ça colle plutôt bien avec l'histoire ! A quoi cela sert-il ? quel lien avec l'histoire ? je vous laisse le découvrir en fin de roman.
Bye bye crazy girl est le livre idéal pour les lecteurs qui aiment les romans dynamiques, riches en rebondissements, en actions et où l'on ne s'ennuie à aucun moment. Un peu de violence, en filigrane, pour réaliser une vengeance..un roman à la Kill bill de Tarantino, au coeur de New-York, un cran de violence en dessous. Épatant.
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Bye bye crazy girl de Joe Schreiber était sur une petite pile de livres que mon papa avait mis de côté pour moi (mon gentil papa). Je l'ai donc lu lors de mes dernières vacances rennaises.

Premier point positif, il s'agit d'un roman jeunesse qui n'appelle pas de suite. C'est quand même sympa de se lancer dans une histoire qui se termine vraiment. Avec une vraie fin. Qui n'arrive pas au bout de quatre tomes (et avec une histoire qui parfois, étant donné certaines longueurs, aurait pu tenir en un seul opus).

Avant d'écrire ce roman ado, Joe Schreiber a publié plusieurs livres d'épouvante se déroulant dans l'univers de Star Wars. La Paramount Picture a acquis les droits pour l'adaptation cinématographique de Bye bye crazy girl. Je ne suis pas sûre de ce que pourrait donner une adaptation cinématographique. Mais en roman, c'est vraiment pas mal.

Perry vit avec ses parents et sa petite soeur à quelques kilomètres de New-York. Entre ses dossiers d'admission à la fac, son groupe de rock, son petit boulot dans le cabinet d'avocats où travaille son père, il trouve quand même le temps d'être sympa avec la nouvelle étudiante lituanienne qui vient de s'installer chez eux. C'est d'ailleurs le seul à être gentil avec elle. Son look, fait de gros pulls en laine, de jupes longues marron et de lunettes, ne la rendent pas très populaire au lycée (euphémisme).

Les parents de Perry obligent leur fils a accompagner Gobija au bal de promo – alors que un : il n'a pas du tout envie d'aller danser. Et que deux : son groupe donne un concert le même soir. Mais Perry est un gentil garçon et il ne s'oppose pas à son père, il a même arrêté la natation à cause de lui.

Mais la soirée du bal de promo ne va pas du tout ressembler à ce qu'imaginait le garçon. Gobija n'est pas du tout une étudiante lituanienne, elle est une tueuse, décidé à plonger New York dans un bain de sang. Mais comme elle ne sait pas conduire, elle va entraîner Perry dans une nuit épique.

Ce roman est plutôt sympa. Notamment parce que Perry est sympa. Pris « en otage » par l'étudiante étrangère qu'il croyait connaître, il a des réactions relativement normales – et ça fait du bien aussi de voir que le moindre danger ne transforme pas tout le monde en super-héros, parce que moi je ne suis pas sûre d'être une héroïne en sommeil, ou alors une héroïne acrophobe et oclophobe (je n'y crois pas trop). Perry va d'abord essayer de se débarrasser de Gobi avant de connaître ses intentions et de l'aider. Cette nuit de folie va le faire changer, grandir et prendre de l'assurance – la colère de son père ne pèse pas lourd par rapport à des cadavres qui tombent sur son pare-brise, des types qui gagnent leur vie en arrachant des ongles et des dents sans anesthésie… Comme quoi,finalement, tout est relatif !

Ce roman est idéal pour passer un bon moment, si vous aimez l'action et que vous n'avez rien contre un peu d'hémoglobine.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
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critiques presse (1)
Ricochet
04 avril 2012
Un roman aussi distrayant que violent, pas désagréable.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
p 31
[...] Il était clair que personne n'avait conseillé Gobi pour sa robe.
C'était une montagnes d'étoffe informe et ample à motifs cousus à même le tissu, dont la jupe longue de laine marron, agrémentée de rayures et de feuilles de trèfle, lui descendait jusqu'aux pieds. Et elle semblait nager dedans. Un fichu, noué sous le menton, lui couvrait la tête. Elle portait en bandoulière une énorme sacoche en peau d'animal, truffée de poches, de lanières et de bizarres petites boucles. Elle était si grosse qu'on aurait pu la prendre pour une valise, mais il s'agissait bien de son sac à main.
"C'est un costume de cérémonie lituanien", elle nous a dit, sa voix perdue dans le silence.
Le verre gauche de ses lunettes portait une empreinte de doigt juste devant l’œil.
"C'était celui de ma mère.
- Ma foi, c'est ravissant, a dit Maman. [...]
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