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sur 4269 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Honnêtement s'il ne s'était pas agit d'une lecture pour des challenges je ne l'aurais jamais relu ! J'en avais le souvenir d'avoir trouvé la tournure romantique, l'histoire dramatique et le ton par trop geignard ! Comme beaucoup de monde mon souvenir avait été mêlé à ceux des différents films tournés sur le sujet.

Beaucoup d'années plus tard, je me suis lamentablement ennuyée dans cette histoire façon tables gigognes ! Des lettres dans lesquelles on trouve relaté un voyage qui lui-même raconte un sauvetage sur la banquise d'un énergumène, Frankenstein, qui narre ses malheurs et sa terrible expérience : la création d'un monstre qui à son tour va raconter à son créateur la vie qu'il a mené et son désir de vengeance!

Frankenstein geint ! Il se lamente sur son sort qu'il estime plus grave que celui de ceux qu'il a blessé ! Regrets mais non remords et sans une once de commisération pour la malheureuse créature qu'il rejette !

Ce livre est malgré tout fantastique par le fait que cela soit une jeune fille qui l'ait imaginé et écrit, cela au début du 19ème siècle. Il apparait qu'elle était profondément lucide sur la condition des femmes et des pauvres en plus d'avoir une imagination débordante.

Je me suis sentie tenue de le finir, non sans mal, la structure est complexe et alourdit l'histoire ! Je pense qu'il faut l'avoir lu pour connaître réellement la genèse de Frankenstein et de sa créature que les films ont complètement dévoyé au point de n'en retenir que la « naissance » du monstre !

CHALLENGE MULTI-DEFIS 2020
CHALLENGE RIQUIQUIS 2020
CHALLENGE XIXè SIECLE 2020
CHALLENGE MAUVAIS GENRE 2020
CHALLENGE DU LIVRE AU FILM
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Avec le club de lecture du mois d'octobre (2015) Babelio offre l'opportunité de lire l'ouvrage le plus connu de Mary Shelley : Frankenstein ou le Prométhée moderne. Cette lecture peut également être réalisée dans le cadre du challenge XIXème puisque le roman a été édité en 1818.

Certains ouvrages classiques sont intemporels et d'autres le sont moins. Hélas c'est à cette seconde catégorie que doit être rattaché cet ouvrage. Si les spécialistes se battent encore, il semble admis que nous avons ici affaire à un précurseur de la science-fiction. Il est toutefois curieux de constater que tout ce qui touche au fantastique tient bien peu de place ici.

L'auteure porte davantage attention aux discours moralisateurs, à la conduite des personnes, bref au genre et aux valeurs des humains. le message subliminal qu'elle développe ici a bien du mal à passer au XXIème siècle. Sans excuser pour autant les agissements de la créature comment ne pas compatir à son malheur ? A l'image des de Lacey, les humains donnent ici une bien piètre image d'eux-mêmes. le protagoniste Victor Frankenstein peine également à susciter notre sympathie : si celui-ci apparaît comme brillant il démontre également une grande part d'arrogance, de stupidité et d'auto-apitoiement.

L'écrivaine utilise avec brio la mise en abîme via des supports assez diversifiés permettant une narration indirecte riche, complexe, intéressante mais ennuyeuse au final, notamment pour la partie la plus importante de l'oeuvre : le récit du protagoniste. Pour ne rien arranger, le scénario est assez peu immersif et émaillé d'approximations ou de raccourcis (le hasard tient une bien trop grande place pour être crédible). La manière dont le récit se termine est bien trop rude et irrespectueuse du lectorat.

Les efforts ne sont pas ménagés pour susciter un intérêt sans cesse déclinant : ainsi les voyages à travers l'Europe. Pourtant, il est difficile de s'extirper de ce sentiment d'ennui. Pour ne rien arranger, l'histoire est franchement prévisible et ne nous révèle guère de surprise. Fort heureusement, le récit demeure assez bref (moins de trois cent pages en format de poche).

Autant de commentaires qui demeurent ce qu'ils sont et qui ne risquent pas de faire de l'ombre à un roman qui est considéré comme un chef d'oeuvre et qui su créer une mythologie et décider nombre d'écrivains à se lancer sur la voie de la création de bien sombre créatures…
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J'étais restée avec l'image horrible du film avec Karlov et l'avait remisé au fond de ma mémoire. C'est en écoutant France Culture en l'occasion du bicentenaire de ce roman que j'ai découvert l'auteur et cette oeuvre. Bien m'en a pris car j'ai dévoré d'un trait ce livre remarquable pour son écriture et le propos qu'il dépeint. On découvre tour à tour deux personnages : le savant et sa créature. C'est profondément érudit, psychologique et fascinant.
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FRANKENSTEIN OU LE PROMÉTHÉE MODERNE, je l'ai découvert grâce au cinéma et plus particulièrement grâce au beau film de James Whale avec Boris Karloff dans le rôle de la créature. Depuis, j'ai vu quelques films plus ou moins mauvais inspirés par le roman mais je n'avais jamais eu la curiosité de lire le bouquin à l'origine du mythe de Frankenstein. Je n'en éprouve aucune honte, je sais que nous sommes nombreux dans ce cas.

En passant devant les rayonnages de ma librairie, j'ai été attirée par la couverture vert flashy de l'édition de chez Pocket et je n'ai pas résisté à la tentation (j'écoute le plus souvent possible les conseils de tonton Oscar).
Je savais de sources sûres que le roman différait beaucoup des différentes adaptations cinématographiques mais je ne m'attendais pas à un tel gouffre. Pas de savant fou, pas de boulons dans le cou de la créature, pas de monstre muet ni de chasse à la bête par des villageois assoiffés de vengeance dans le récit original.

Mary Shelley conte l'histoire d'un homme érudit dont les connaissances le conduiront à sa perte. Sa créature, il la rejettera dès qu'elle prendra vie. Dès lors, elle tentera de se faire accepter par le monde. Mais rejetée par tous, elle choisira la haine et la mort et fera tout pour se venger de son créateur.

Mélange de récit épistolaire et de narration à la première personne, FRANKENSTEIN OU LE PROMÉTHÉE MODERNE est un roman dont le sujet m'a intéressée et je suis restée troublée par l'imagination de la jeune Mary Shelley qui a su créer, en moins de 250 pages, un mythe qui traverse les âges.

Pourtant je n'ai pas été conquise par ce roman que j'ai trouvé vieillot et très long. le style n'est pas franchement désagréable mais c'est souvent pompeux, maladroit, bavard et désespérément moralisateur. Mettons ça sur le compte de l'époque : le style accuse le nombre des années (encore que des livres plus anciens ou de la même époque ont un style plus moderne que celui de Shelley).

J'ai également trouvé le découpage du roman exécrable : il débute par les lettres de Walton à sa soeur, ensuite vient la narration de Victor Frankenstein, puis celle de sa créature, puis à nouveau celle de Victor Frankenstein et enfin à nouveau celle de Walton. J'ai trouvé le procédé lourd et artificiel.
Ce découpage est en grande partie responsable du manque de rythme et de rebondissements de la première partie. Il faut tout de même attendre 100 pages pour que la créature et le créateur se rencontrent et encore 80 pour que le noeud de l'intrigue se déroule.

Ce que j'ai trouvé étonnant aussi c'est la capacité de la créature a utiliser un langage soutenu. Pour tout dire, j'ai été étonnée que tous les protagonistes du livre s'expriment de la même manière et aient le même vocabulaire. Impossible de faire la distinction entre Victor, Elizabeth, la créature ou le vieil aveugle. Heureusement, à chaque fois, Shelley précise qui est en train de parler. Cette uniformisation du langage est presque comique.
Et que dire des références littéraires de cette créature qui arrive à apprendre à lire seule et à comprendre des textes comme le Paradis Perdu, qui philosophe sur la grandeur de la vertu et admire Numa, Solon et Lycurgue ? C'est encore plus incroyable que l'existence même de la créature.

Pour terminer, ce qui m'a également déplu c'est la personnalité de Victor Frankenstein. Il ne cesse de gémir sur son petit sort (dont il est totalement responsable soit dit en passant), se lamente, se tourmente et pleure. Ou alors il délire. Énormément. Je reconnais que ma patience à des limites et que les gens qui se plaignent tout le temps m'ennuient. Aussi quand je lis un roman ayant pour personnage principal un pleurnicheur, j'ai beaucoup de mal à m'y intéresser et à éprouver de la sympathie pour lui.

FRANKENSTEIN OU LE PROMÉTHÉE MODERNE est un très court roman mais j'ai mis un temps fou à le lire tant je m'y suis ennuyée. Je ne regrette cependant pas cet effort car je connais enfin la véritable histoire de Victor Frankenstein.
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Ce vieux bouquin traînait depuis à peu près quatre siècles dans ma PAL et je l'en ai extirpé en espérant cocher la case « horreur » d'un bingo de lecture auquel je participe.
Lol.
C'est tout sauf horrifiant, à part peut-être horrifiquement niais ? Bon, je sais, on touche là à un « classique » écrit en 1817, une autre époque, une autre vision des choses. Je suppose qu'à l'époque, c'était terriblement novateur et brillant. Mais bon, on a fait du chemin depuis, autant en termes de structure narrative que de style et, plutôt qu'un roman fantastique, on a ici, avant tout, beaucoup de remplissage autour de la vie d'une famille de bourgeois suisses du début du XIXe, de considérations empreintes de mièvrerie sur diverses questions sociales, culturelles et philosophiques du moment et beaucoup, beaucoup trop de blabla romantique, de drama et de lamentations. À part ça, la dimension fantastique passe habilement à la trappe et la partie qui m'intéressait, à savoir la création du monstre… est quasi inexistante. 👍 Bref, ça m'a surtout fait l'effet d'un passe-temps d'une autrice désoeuvrée qui avait envie de s'écouter parler mais sans trop se casser la tête avec les détails.
Je ne vais pas aller plus loin dans le commentaire de texte, ça a deux siècles, voilà, tout est dit ! ^^
On n'enlèvera jamais à ce roman sa place de précurseur d'un genre dont on a maintes fois fait le tour depuis, y compris en s'inspirant précisément de ce roman, mais à mon humble avis on peut maintenant le laisser là : à la place qui lui revient, dans sa petite vitrine poussiéreuse au musée des vieilleries qui n'ont pas réussi à conserver le charme du vintage.
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Hélas pour moi, je n'ai pas été séduite par ce récit. C'est même une véritable déception…

Difficile de rédiger cet avis car j'espérais vraiment que cette histoire me plairait, mais force est de constater qu'il m'aura fallu 17 jours pour venir à bout de ce roman et, parvenue au trois quart, j'ai sérieusement songé à l'abandonner…

Globalement, je n'ai adhéré ni à la forme, ni au fond.

J'ai trouvé la plume de l'autrice assez pompeuse et n'ai pas su apprécier ses tournures de phrases. Je n'ai pas accroché avec le personnage principal et sa vision des choses, de fait, je n'ai ressenti aucune émotion ni empathie à son encontre. J'ai eu bien plus de pitié pour sa création monstrueuse que pour cet apprenti savant fou, qui n'en est définitivement pas un. Seulement un homme que son ambition a surpassé et que les regrets ont aussitôt étouffés, le poussant dans une fuite en avant qui s'éternise et n'apporte rien…

Malgré cela, l'histoire aurait pû être intéressante… Et pourtant, j'ai trouvé le rythme vraiment lent, certains passages trop longs, il manque de l'action et les “rebondissements” sont, selon moi, franchement prévisibles. Victor Frankenstein passe la plupart de son temps à voyager (et à déprimer) et j'ai eu l'impression, parfois, de lire un monologue sur la pluie et le beau temps… Pour moi, il manque de la profondeur, de la substance, des émotions : tout, ici, est finalement survolé, voire exagéré. C'est fort dommage, l'idée de base était pourtant excellente.

Bref, j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette lecture dont les deux derniers chapitres ont été les seuls à capter mon attention.

Je souhaitais sincèrement découvrir ce classique, c'est chose faite et je peux en être fière. Car qui ne connaît pas le fameux monstre du docteur Frankenstein ? Mais, et certainement, du fait de sa sur-représentation et de son appropriation par d'autres médias, je m'en étais faite une idée totalement faussée. Je ne m'attendais donc pas à cette histoire (originelle) et je suis totalement passée à côté…

Challenge Multi-Défis 2022
Challenge ABC 2022-2023
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L'année dernière, à peu près à la même période, j'ai eu l'occasion de voir une adaptation de Frankenstein par Kenneth Branagh. Je n'ai pas aimé l'esthétique du film. En revanche, l'histoire m'avait donné envie de lire le livre. le Pumpkin Autumn Challenge m'a donné l'occasion de le sortir de ma PAL.

Je ressors de cette lecture avec un sentiment vraiment mitigé. Je ne peux pas dire que je n'ai pas du tout aimé et en même temps, je n'ai pas spécialement accroché non plus.

Il y a une chose qui m'a posé problème dans cette intrigue. J'ai trouvé la réaction de Frankenstein face à sa créature plutôt incohérente. Je veux dire, il a travaillé des années pour parvenir à insuffler la vie dans sa créature. Certes, elle est gigantesque et plutôt repoussante mais j'ai envie de dire que c'est lui qui l'a faite comme ça. La création de son monstre est le fruit d'énormes recherches. Et quand enfin il parvient à son but, tout de suite il se dit "Ah, quelle abomination !". Il ne laisse pas la moindre chance à sa créature. Elle ouvre les yeux et direct, Frankenstein la voit comme un monstre. Il s'attendait à quoi ? Franchement ?

Et de ce rejet découle toute l'intrigue. Parce que le monstre en question n'aspire qu'à recevoir de l'affection, en particulier de la part de son créateur. Et c'est la haine et le rejet qu'il reçoit qui font de lui un véritable monstre assassin.

Pour être honnête, j'ai aimé le message transmis par l'autrice : personne ne naît foncièrement bon ou mauvais, c'est la société et la façon dont il y est accueilli qui fait de lui quelqu'un de bien ou non. Et tout ceci m'a fait ressentir de la compassion pour ce pauvre monstre. Mais j'ai été gênée par le fait que ce soit la réaction (à mon sens illogique) de Frankenstein qui amène toute cela.

Au delà de ces considérations, j'ai aussi eu du mal avec la plume. Bon, c'est un classique, la plume a pas mal vieilli, il faut dire ce qui est. Et le fait que tout soit raconté à la manière d'un témoignage enlève du rythme à l'histoire.

Avis plutôt mitigé donc, sur cette lecture
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Un grand classique du fantastique que j'avais envie de découvrir...
Un roman très inégal et avec beaucoup de longueurs inutiles, d'incohérences, de choix très étonnants et parfois injustifiables.
Toutefois, on comprend qu'il ait inspiré les cinéastes car c'est une histoire fascinante sur plusieurs plans.
Le début est très accrocheur et j'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, vraiment très moderne pour l'époque. Ensuite on se perd un peu car on passe de lettres en lettres écrites par des narrateurs différents.
Trois personnages racontent l'histoire.
Il m'a manqué les détails de la création du monstre, j'ai aussi trouvé que les choix faits par Frankenstein face à son monstre manquaient énormément de réalisme et d'héroïsme, et que de descriptions inutiles des beaux paysages traversés !
Bref, une histoire qui donnent des pistes d'inspiration mais qui manque, à mon avis, de maturité et de consistance.
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Si je vous dit dans une devinette : Je suis un Suisse de la fin du XVIIIe siècle et je n'arrête pas de me lamenter sur mon sort, vous pensez à … Rousseau non ? Et bien Victor Frankenstein est à mon avis un petit cousin de Rousseau car outre le fait qu'ils sont issu de la même région, les deux n'arrêtent pas de geindre en permanence. Voyez-vous moi les gens qui geignent cela m'ennuie très vite en vrai, alors dans un livre ce n'est guère mieux.

Donc Victor geint car il a créé un monstre, la belle affaire, personne ne l'a obligé quand même ! Et comme il ne s'est pas occupé de sa créature, celle vient se plaindre et tue ses proches. La créature est de loin bien plus intéressante que son créateur, elle nous explique que le monde qui l'a rejeté l'a corrompu et poussé à la violence. Par contre nous n'avons aucun détails sur la méthode de Frankenstein pour créer le monstre ni sur l'aspect qu'à celui-ci, les réalisateurs des films ont du pas mal broder. Mais pour les amateurs des Alpes Suisses, il y a de belles descriptions des paysages de l'époque (ce n'est pas trop ma tasse de thé mais cela pourra plaire à certains).

Tout cela a fait que malgré une très belle plume j'ai vraiment eu du mal à terminer ce court livre.
Lien : http://arieste.wordpress.com..
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J'ai été "à l'agonie du désespoir" - pour reprendre les termes de ce cher Victor Frankenstein – pendant toute ma lecture. Je comprends l'engouement autour de ce roman gothique, mais je n'ai pas du tout accroché à tout ce maëlstrom de sentiments lugubres et mélancoliques.

La narration déjà est très particulière : toute l'histoire de Frankenstein et de sa créature est imbriquée au sein d'un échange épistolaire entre Walton, un capitaine de bateau qui a recueilli le docteur sur son navire au Pôle Nord, et sa soeur. C'est très surprenant au départ, et de la même manière, une fois l'histoire de F. arrivée à son terme, le retour à la réalité de Walton m'a complètement sortie du récit.

Ensuite, le personnage de Victor Frankenstein est détestable : complètement mégalo et égocentré, il passe la quasi-totalité du roman à s'apitoyer sur son sort et à geindre. Son hybris n'a d'égal que sa propre commisération et sa victimisation. du coup, ça ne lui laisse pas de place pour éprouver quelque sentiment d'attendrissement envers sa créature, et ç'est là toute l'histoire ! Car le monstre, rejeté et méprisé par son créateur ainsi que par le reste du genre humain, devient peu à peu hostile et cruel.

Autre fait déroutant, quand on a vu au moins une adaptation cinématographique ou télévisuelle de cette histoire : aucune indication quant au processus de création du monstre ne nous est donnée. le docteur met un point d'honneur à ne jamais divulguer ces informations pour éviter à quiconque de reproduire cette "vile entreprise". Il mentionne dans ces études une rencontre avec un physicien étudiant l'électricité, mais c'est tout.

En résumé, je suis contente d'avoir lu ce classique, cela m'a permis de me faire mon idée, et il ne me restera pas en mémoire comme un "must read" !
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