Valérie Sueur-Hermel, l'une des commissaires de l'exposition "Degas en noir et blanc", revient sur la passion de Degas pour les différentes techniques de l'estampe. Une passion partagée avec son amie Mary Cassatt, qu'il a d'ailleurs représentée sur une estampe, ainsi qu'avec Pissarro.
Exposition "Degas en noir et blanc" : https://www.bnf.fr/fr/agenda/degas-en-noir-et-blanc
Valérie Sueur-Hermel/5
6 notes
Résumé :
Cet opus de " L'Oil curieux " dévoile la veine fantastique du XIXe siècle dans un florilège de monstres et de chimères nés de l'imagination de graveurs, stimulée par le pouvoir suggestif du noir et de l'encre.
L'encre du diable
Goya, Gustave Doré, Delacroix, Odilon Redon. autant d'artistes pour traduire la fièvre d'atmosphères nocturnes et activer avec génie la verve saturnienne de l'étrange et du maléfique. On découvre ou redécouvre av... >Voir plus
L'encre du diable
Goya, Gustave Doré, Delacroix, Odilon Redon. autant d'artistes pour traduire la fièvre d'atmosphères nocturnes et activer avec génie la verve saturnienne de l'étrange et du maléfique. On découvre ou redécouvre av... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Goya, Delacroix, Doré ou encore Redon. Ce recueil d'eaux-fortes, gravures et lithographies présente de beaux noms !
Rapide rappel du concept : autour d'une thématique donnée, et après un texte introductif, une sélection d'oeuvres visuelles issues des collections de la BnF.
Pour ce tome infernal, le périple s'effectue en noir et blanc et en bien mauvaise compagnie. Qui vous effraiera le plus entre "Le Misocampe" de Grandville ou "La Femme-araignée" De Roux ?
Bien encadré par les "Caprices" de Goya ou les célèbres gravures de Doré, c'est l'occasion de découvrir des oeuvres variées, jouant sur un ton grotesque monstrueux (Johannot), sur une naïve étrangeté (Redon) ou sur une veine plus grave (Viala).
De quoi se délecter en somme, pour peu que l'on goûte le macabre. le sulfureux. le gothique.
Belle collection. Beau volume.
Rapide rappel du concept : autour d'une thématique donnée, et après un texte introductif, une sélection d'oeuvres visuelles issues des collections de la BnF.
Pour ce tome infernal, le périple s'effectue en noir et blanc et en bien mauvaise compagnie. Qui vous effraiera le plus entre "Le Misocampe" de Grandville ou "La Femme-araignée" De Roux ?
Bien encadré par les "Caprices" de Goya ou les célèbres gravures de Doré, c'est l'occasion de découvrir des oeuvres variées, jouant sur un ton grotesque monstrueux (Johannot), sur une naïve étrangeté (Redon) ou sur une veine plus grave (Viala).
De quoi se délecter en somme, pour peu que l'on goûte le macabre. le sulfureux. le gothique.
Belle collection. Beau volume.
Citations et extraits (1)
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La morphologie insolite, presque naturellement fantastique, de la chauve-souris lui a valu d'être précocement associée à l'image du diable auquel, selon Jurgis Baltrusaïtis, elle a prêté ses ailes dès le Moyen Âge sous l'influence des représentations diaboliques extrême-orientales. (5)
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