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Isabelle Saint-Martin (II) (Traducteur)
EAN : 9782749911656
346 pages
Michel Lafon (25/02/2010)
3.59/5   16 notes
Résumé :
Jahanara n'a que dix-sept ans à la mort de sa mère. Accablée de chagrin, elle doit faire face à ses multiples obligations. En effet, elle est la fille de Shah Jahan, le puissant empereur de l'Inde Moghole qu'elle doit désormais assister. Très vite, elle devient la femme la plus influente de l'Empire, régissant les affaires de l'État comme celles du harem, et supervise même la construction du Taj Mahal en hommage à sa mère. Cependant, cette fille tant aimée vit sous ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Comme beaucoup, je connais l'existence du Taj Mahal, sans vraiment en avoir pénétré l'histoire. Je sais qu'il s'agit d'un magnifique mausolée, édifié par un empereur Moghol, en hommage à l'une de ses épouses décédée en couches.

Mes connaissances se résumaient, vous pouvez le constater, à bien peu avant la lecture de cette grande saga historique écrite par INDU SUNDARESAN, à la suite de "La vingtième épouse" et "Le festin de roses".

Shah Jahan, cet empereur, a conquis son territoire et son pouvoir de haute lutte. Les Moghols sont un peuple guerrier et lorsque Khurram a rencontré Arjumand, ils avaient respectivement seize et quinze ans. Ce fut un coup de foudre, mais, pour des raisons politiques, le jeune homme dut d'abord épouser une princesse Perse et attendre cinq années pour être autorisé à s'unir à l'élue de son coeur. Khurram, devenu Shah Jahan, et Arjumand, devenue Mumtaz Mahal, furent heureux et eurent beaucoup d'enfants : quatorze en dix-neuf ans de vie commune !

Le roman de INDU SUNDARESAN commence le 17 Zi'l-Qa'da A.H. 1040, le 17 juin 1631 ; il est trois heures du matin. Voici plus de vingt-quatre heures que l'impératrice souffre le martyr d'un accouchement effroyablement douloureux. À ses côtés ses deux filles aînées, Jahanara et Roshanara, tentent de la réconforter et de la soutenir. Elles ont dix-sept et quinze ans. Et c'est le quatorzième enfant de Mumtaz Mahal et de Shah Jahan qui est en train de naître. Entre chaque contraction qui la laisse pantelante, Mumtaz Mahal voit défiler les moments de sa vie aux côtés de son époux bien-aimé : leur fuite devant le courroux de l'empereur Jahangir, son beau-père, leur exil, la naissance des treize autres enfants... seulement six ont survécu : deux filles, Jahanara et Roshanara, et quatre garçons. Il y a Dara, l'aîné des garçons, Aurangzeb, treize ans, Chah Shuja, Mourad. C'est une petite fille, Goharara, qui va naître, "chassant sa mère de ce monde en y entrant".

Car Mumtaz Mahal ne survit pas. Sa mort laisse l'empereur complètement désespéré (ses cheveux blanchiront en une nuit), désemparé, privé de toute envie d'exister. il songe aussitôt à abandonner son pouvoir à Dara ; Jahanara qui voue pourtant une profonde et sincère admiration pour ce frère, va tout faire pour que son père se maintienne au pouvoir qu'il a si âprement gagné.

Jahanara va payer de sa propre indépendance cet attachement qu'elle a pour son père : il lui sera interdit de se marier. En revanche, elle va devenir la "maîtresse" du harem, du zenana, si puissante et si autoritaire que la rumeur circulera qu'une relation incestueuse s'est instaurée entre le père et la fille. Elle jouera le rôle de la favorite, alors qu'elle n'est "que" la fille de l'empereur.

Pendant ce temps, les intrigues se nouent, et se dénouent.

...Entre Jahanara et sa soeur Roshanara, autour d'un amir : elles se disputent son coeur bien que l'une et l'autre soeient empêchées d'épouser Najabat Khan. Roshanara fera preuve de beaucoup de bassesse pour détourner l'amour qui se fait jour entre cet homme et sa soeur. En vain, d'ailleurs !

...Entre les deux aînés, Dara et Aurangzeb, qui convoitent le pouvoir. Dara est le préféré de Shah Jahan, l'empereur, et de sa soeur. Aurangzeb, mal aimé (ou en tout cas, c'est ainsi qu'il se ressent), qui intrigue avec Roshanara pour combattre Dara et Jahanara. Et ils utilisent des procédés très malhonnêtes !

En filigrane... la construction du Taj Mahal... ce monument est tout entier dédié à la mémoire de Mumtaz Mahal, l'épouse adorée. Il faudra deux longues années avant que l'empereur n'accepte de quitter les vêtements blancs du deuil. Il veillera aux moindres détails de l'architecture du mausolée et se fera seconder par les meilleurs architectes de l'époque : "Et de toutes les régions de l'empire, furent appelés grand nombre de tailleurs de pierres (sangtarash) de lapidaires (munabbatkar) et de marqueteurs (parchingar), chacun expert en son art, qui se mirent à travailler avec les autres artisans" (Tiré du Padchah Nama d'Abdul Hamid Lahori, W.E. Begley & Z.A. Desal, Taj Mahal : le mausolée de lumière). Parmi eux, Mirza Amanat Khan et Ustad Ahmad Lahori ; le premier, calligraphe, fut chargé de choisir les sourates qui allaient orner les panneaux de la tombe, de les transcrire dans une magnifique écriture, d'en surveiller l'incrustation dans le marbre à l'aide d'agate noire.

Le Taj Mahal n'est que magnificence, profusion d'or, de pierres précieuses, de marbres, de fontaines d'eau pure, de plantes rares... Il faudra vingt-deux ans avant que le corps de la tant aimée n'y repose définitivement. Vingt-deux ans pendant lesquels les fils de Shah Jahan vont guerroyer contre les étrangers, mais aussi entre eux, en quête d'un pouvoir qu'il faudra ravir au père, sous le regard accablé de Jahanara qui devra se résoudre à n'exister que dans l'ombre.

♥♥♥♥♥

Je me suis laissée envouter par ce roman, dont les sources historiques sont solides, mais qui m'a entraînée dans les labyrinthes d'une saga familiale où l'amour se mêle à la haine. Les sentiments des uns vis à vis des autres y sont dépeints sans détours : jalousie, mesquinerie, traîtrise, concupiscence. Les jeux des alliances entre les différents protagonistes mettent en lumière la fragilité des consciences : l'unité familiale est sans cesse remise en question. Mais il y est question aussi d'AMOUR, celui de l'empereur inconsolé de la mort de son épouse, celui de la fille pour son père, celui de cette même Jahanara pour l'homme auquel elle ne pourra s'unir qu'en secret.

Je n'ai pas lu les deux premiers livres d'Indu Sundaresan... je pense qu'ils vont bientôt venir prendre place dans ma liste. Même si j'ai trouvé parfois quelques longueurs, notamment au cours de la description minutieuse de la construction du Taj Mahal, je ne me suis jamais lassée. le style d'écriture est alerte et les rebondissements bienvenus pour relancer l'intérêt et l'envie de connaître le destin de cette "princesse de l'ombre", bien attachante.
Lien : http://livresouverts.canalbl..
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Après m'être plongée avec délice dans les intrigues de la cour de l'empereur Akbar (La Vingtième épouse), puis dans les trahisons de celle de Jahangir (Le Festin de Roses), je ne pouvais manquer le troisième volet de cette fresque au coeur de l'empire moghol avec cette fois-ci, une plongée dans les secrets de la cour de l'empereur Chah Jahan !

Inde, XVIIè siècle, le palais impérial résonne des cris de douleur de Mumtaz Mahal sur le point de donner naissance à son quatorzième enfant. Elle est assitée de Jahanara, sa fille ainée âgée de 17 ans et de Roshanara, sa deuxième fille qui n'a que 14 ans; toutes deux essaient d'apaiser les douleurs de leur mère mais cette dernière ne survivra pas à l'accouchement...
Fou de douleur, l'empereur Chah Jahan pense à laisser son trône à Dara, son fils aîné mais, devant sa visible jeunesse et son inexpérience, il trouve le courage de continuer à régner alors même qu'il édifie, pour la femme qui demeurera à jamais son grand amour, un Mausolée de Lumière : le Taj Mahal !
Dès la mort de son épouse, Chah Jahan puise son courage dans sa fille ainée Jahanara : attentive et attentionnée, conseillère avisée et fille aimante, elle devient très vite la première femme du harem, la bégum Padchah, et la détentrice du sceau impérial ! Jahanara est ainsi la femme la plus puissante de l'Inde mais elle doit dès lors oublier ses propres désirs car il lui est interdit de se marier...

Si j'ai retrouvé avec plaisir les descriptions très précises et le style clair d'Indu Sundaresan me permettant un voyage en Inde, le temps d'une lecture, je dois aussi avouer que mon plaisir de lecture a été très en deçà de celui des deux premiers tomes...
Peut-être est-ce dû au destin de Jahanara qui, bien qu'exceptionnel, n'est pas à la hauteur de celui de Mehrunnisa ?
Sans doute le manque d'intrigues y est-il aussi pour beaucoup...
Mais ce qui fait que, de mon point de vue, cet opus est un peu ennuyeux ce sont les trop nombreuses descriptions architecturales que ce soit dans l'édification du Taj Mahal (qui tient une place de choix dans le récit) ou dans les détails des jardins et bâtiments où se rend Jahanara. J'adore l'art moghol, je le trouve exceptionnel, mais les descriptions systématiques, longues et parfois complexes ont eu un effet un peu... soporifique sur moi...
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Indu Sandaresan est une férue de grandes sagas historiques et après le succès de son best-seller le festin des Roses, qui retraçait la vie de Mehrunnisa, devenue l'impératrice de l'Inde Moghole au XVIIe siècle, elle nous narre ici l'histoire de Jahanara, fille ainée de l'empereur Shah Jahan, dont le règne succéda à celui de Mehrunnisa en ce même siècle.

A force de recherches et s'appuyant de faits historiques réels, Indu Sandaresan nous relate la vie de cette princesse de l'ombre, qui après la mort de sa mère, deviendra la femme la plus puissante et respectée du zenana impérial mais aussi la seule capable de soulager le chagrin de son père.

Les passages se succèdent mais ne se ressemblent pas ; la vie de Jahanara occupe une grande place dans ce roman, mais nous apprenons aussi énormément sur ses frères et soeurs, ainsi que sur l'empereur lui-même et son désir de construire un monument funéraire pour sa défunte et adorée épouse. S'appuyant sur les constructions faites par Mehrunnisa, Shah Jahan va faire édifier le Taj Mahal ou Mausolée de Lumière, l'une des sept merveilles du monde.

L'auteur a su captiver par ce récit bouleversant et surtout dramatique de la vie de Jahanara, mais alourdit son propos par un nombre de détails impressionnants que ce soit dans l'édification du Taj Mahal, dans la description du moindre jardin ou bâtiment par lequel passe Jahanara. Excepté si vous êtes un mordu de l'architecture indienne, vous serez peut-être déçu de la longueur de certains chapitres, qui ne sont en fait que de pures, et parfois complexes, descriptions.

Princesse de l'ombre comblera donc les amoureux de sagas historiques précises et détaillées mais mettra la patience à rude épreuve pour ceux qui recherchent un roman plus centré sur la vie personnelle de Jahanara.
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Après les romans, la "Vingtième Epouse" et "Le Festin des Roses", Indu Sundaresan nous fait découvrir une nouvelle Princesse de l'ombre, celle de Jahanara, la fille à sa nièce pour qui fut ériger le Taj Mahal Mumtaz Mahal.
Cette dernière comme presque tout le monde le sait est morte après avoir mis son quatorzième enfant au monde. Son époux l'empereur Shah Jahan devient alors inconsolable, mais ce dernier avait heureusement une fille qui ressemblait à sa mère et qui l'adorait. C'est cette dernière qui remplacera sa mère auprès de son père pour toutes les affaires liées à l'Empire, au zenana, au sein de la famille où des tensions sont omniprésents ... et qui aura le grand privilège de tenir le sceau royal. Mais Jahanara est aussi une femme avant tout, avec des désirs à combler, alors qu'elle a l'interdiction de se marier car sa place est uniquement dans la Cour de l'Empereur, elle tombe amoureuse d'un amir.
Ce roman sur la base de faits historiques réelles et agrémenté afin d'en donner une fiction très agréable, nous fait découvrir outre son histoire, pleins de détails intéressants tels que la vie à la Cour, les manifestations rythmant le calendrier, les tensions entre frères quand il est question de devenir empereur, de la jalouse, des alliances, des rumeurs, les déplacements ... Tout cela sur fond de l'élaboration, de construction d'un des monuments le plus célèbre du monde, le Taj Mahal.
Bravo à nouveau à l'auteur d'avoir réussi à nouvelle fois à nous faire découvrir une nouvelle Princesse de l'ombre et d'une manière si agréable.

Lien : http://atasi.over-blog.com/2..
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Intéressée au départ par l'histoire de la princesse Jahanara, je me suis trouvée ensuite quelque peu noyée sous les détails documentaires et architecturaux. Les cérémonies et coutumes particulières à la cour du Moghol maintiennent l'intérêt pendant une bonne partie du livre, ainsi que les machinations ourdies à l'intérieur du zénana. le personnage de la princesse Jahanara, peu conforme à l'image que l'on se fait d'une princesse indienne au XVIIème siècle , ses rapports avec ses frères et soeurs, permettent aussi de passer outre les descriptions un peu fastidieuses.
Pour compléter la lecture et mieux imaginer et apprécier les parties du livre concernant l'architecture des palais, mieux vaut trouver un livre ou un site de photographies sur les monuments de la région d'Agra. Je conseillerais plutôt ce livre aux amoureux de l'Inde, à ceux qui ont visité le Taj Mahal, d'autres monuments moghols ou qui comptent le faire, ou aux adeptes des romans historiques… Cela risque donc de plaire à un certain nombre de lecteurs, mais il semblerait que je n'en fasse pas partie !
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Elle était au courant du Mausolée de lumière que son père voulait édifier pour sa mère, honorant ainsi une femme d'un joyau de marbre comme aucun empereur avant lui, et nul autre après lui. Puisque Mumtaz n'était pas là, Jahanara prendrait sa succession à peu près en tout ; cependant elle ne pensait pas que sa vie en ce moment, ni celle de Goharara dont la venue avait tué cette femme irremplaçable, compterait pour beaucoup pour les siècles à venir. Elles ne seraient jamais que les filles de Mumtaz Mahal, toujours dans l'ombre lorsque celle-ci éclaterait de lumière. Elles seraient à jamais princesses dans l'ombre de la défunte impératrice.
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"Le mausolée fut dessiné d'après un coffre à bijoux que possédait Mehrunnisa. Carré, il mesurait soixante-neuf pieds de côté. A chaque angle, se dressait un minaret octogonal surmonté d'une galerie et d'une coupole arrondies. Au centre du toit en terrasse, on avait élevé un baradari aux murs marquetés de jalis de marbre, qui contenait deux cénotaphes de marbre blanc, marqués au nom de Ghias et de sa femme, Asmat. Leur dernière demeure se trouvait en dessous, également signalée par deux pierres tombales, au milieu de la salle principale, enduites d'un chunam poli, un plâtre chaux teint en jaune. Là, le sol était en marbre serti de pierres semi-précieuses et les jalis semblaient aussi délicatement découpés.
Mais c'était l'extérieur qui devait éblouir le visiteur, la surface entièrement ciselée d'étoiles, d'hexagones, de carrés, de fleurs, d'arcs et de courbes donnant l'impression qu'il y avait davantage d'incrustations que de marbre.
Pour choisir les joyaux qu'il faudrait sertir dans cette pietra dura, Mehrunnisa avait étalé des gemmes sur son tapis et longuement réfléchi avant d'opter pour des couleurs douces : de la sardoine pour les bruns, mais aussi des calcaires jaunes vifs, du jaspe vert foncé et le noir de l'héliotrope. Les rouges, les bleus, les roses restèrent sur le tapis." (Michel Lafon - p.63-64)
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Agra
Samedi 23 juillet 1633
16 Muharram A.H. 1043
Alors que les oiseaux s'agitaient dans les arbres et que l'indigo du ciel se désintégrait à l'aube naissante, deux hommes se tenaient sur la plate-forme de grès du grand porche d'où ils contemplaient les jardins de la terrasse en bordure de rivière.
La journée de travail n'avait pas encore commencé. Les hommes demeuraient immobiles, plongés dans leurs pensées. La chaleur obnubilante de la veille s'était finalement fondue dans l'obscurité et il faisait plus frais maintenant. L'air pur embaumait la fleur de ketki plantée par quelque ouvrier autour de la terrasse. Lorsque le soleil se lèveraient, les pétales s'ouvriraient, agressifs, longs comme un avant-bras, dégageant un parfum puissant.
- Cela sera-t-il vraiment le paradis sur terre, Mirza Amanat Khan ? demanda le plus âgé des deux hommes.
Il dominait son compagnon d'au moins une tête. Ustad Ahmad Lahori venant d'entrer dans sa soixante-troisième année sur cette terre, et la plupart avait étaient consacrées au service des empereurs moghols de l'Hindoustan.
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Et maintenant ..., songeait-elle dans la maison de l'amir, au bord du lac, à regarder le ciel se coucher. Il avait posé une main tiède et vigoureuse sur sa taille et se tenait si près qu'elle pouvait presque entendre les battements de son coeur. Dès l'instant, où elle avait posé le pied sur le ponton où il l'attendait, elle se sentit délestée de toute confiance, de toute audace, au point de juste oser la tête vers lui. A peine était-elle parvenue à soutenir son regard, qu'elle sentit la peau de son visage la brûler en le voyant descendre ostensiblement la bouche. Elle mordit la lèvre. Jusque-là, chaque fois qu'ils s'étaient rencontrés, c'était à la faveur de la nuit, lorsque l'ombre tombait chastement sur les prunelles de l'amir, lorsqu'elle sentant sa présence plus qu'elle ne le voyait.
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Il contempla longuement son image, passant les doigts sur les lettres parfaitement formées puis regarda le sceau qu'il tenait dans sa paume. S'y succédaient les noms de ses ancêtres, Timour le boiteaux, dit Tamerlan, Babour, Humayun, Akbar, Jahangir, et, au centre, le sien, Chah Jahan, roi du monde.
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