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EAN : 9782404080161
336 pages
Gallmeister (02/11/2023)
3.63/5   936 notes
Résumé :
« L’auteur de ces meurtres ne se contente pas de s’inspirer de ma liste. Le tueur me connaît. »

Libraire spécialisé en roman policier, Malcolm Kershaw reçoit la visite surprise du FBI. L’agent Gwen Mulvey enquête sur deux affaires étranges : une série de meurtres qui rappelle un roman d’Agatha Christie, et un accident qui fait écho à un livre de James Cain. Elle espère donc que l’avis d’un expert du genre lui permettra d’interpréter correctement les (... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (206) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 936 notes
Malcom est un homme très seul. Sa femme est décédée d'un accident de voiture cinq ans auparavant et il cultive ce que j'appellerais, "une certaine nostalgie"... Copropriétaire d'une librairie spécialisée dans le roman policier à Boston , il est contacté par une agente du FBI au sujet d'une liste dont il est l'auteur, parue quinze ans plus tôt sur un blog . Une liste établissant les huit meurtres les plus parfaits de la littérature policière. Certains meurtres sur lesquels elle enquête présentent des similitudes troublantes...
Alors, Malcom a-t-il quelque chose à y voir, connaît-il le tueur ou un sombre inconnu s'inspire-t-il de sa liste ?

Deux choses frappent dans ce livre, la première , c'est le froid !
L'hiver ne plaisante pas à Boston et les températures avoisinent les moins 17° , ce qui fait que Malcom se demande toujours s'il va ouvrir sa librairie, que les clients sont peu nombreux, et qu'il règne dans ce roman, une solitude due au climat. La ville est comme suspendue, les gens ne se croisent pas et c'est presque un miracle, s'ils arrivent à se donner rendez-vous.
L'hostilité des températures sert l'histoire , l'ambiance du roman , déjà particulière eu égard à la personnalité du personnage principal. Pas spécialement charismatique, un peu ours. Au départ, on se dit que c'est qu'il n'a toujours pas fait son deuil, mais très vite, à ce qu'il raconte sur sa femme, on se dit qu'il est quand même spécial... de toutes les femmes du monde, de Boston, il a fallu qu'il se choisisse celle-ci... Un peu masochiste, le garçon...
Ces deux particularités mise côte à côte ( les températures hostiles et la personnalité un peu froide du personnage principal ) font que j'ai eu du mal à rentrer dans cette histoire assez "élitiste", puisque, de par le scénario , les références à des auteurs ou romans policiers pleuvent à chaque page. C'est une très bonne idée de départ , cette liste, une idée ingénieuse . Mais pour qu'elle entraîne le lecteur , encore faut-il que ce dernier s'y connaisse un peu en littérature policière et qu'il ait les mêmes références que l'auteur. Et bien qu'amatrice de romans policiers (Babelio m'informe que j'en aurais lu 1200 et des brouettes...), je ne connais pas la moitié des auteurs ( A.A Milne, Anthony Berkeley Cox..) et je ne peux "jouer" avec l'auteur autant que ce que j'aurais aimé. Car ce roman est ludique et ces références sont comme des clins d'oeil qui marchent uniquement si ça fait écho dans la mémoire du lecteur.
Le fait que l'auteur parle toujours de livres fait aussi qu'on n'oublie jamais qu'on est en train de lire, qu'on ne s'immerge pas totalement et sans retenue, qu'on fait bien la différence entre le réel et la fiction, qu'on ne "s'oublie pas" ... Cela crée un écran entre le lecteur et l'histoire, une "grille de protection" .
Alors, on peut voir le verre à moitié plein, et prendre des notes afin de lire ces romans plus tard , comme le roman de Berkeley Cox ( parait-il le premier roman policier inversé... ) . mais n'empêche que ça ne "matche pas" sur l'instant, que ça ne provoque pas toujours le petit sourire, l'étincelle , et qu'il faut être très cultivé pour saisir ce roman dans son ensemble avec tout ce qu'il a offrir, car il est foisonnant et risque de faire sérieusement gonfler votre PAL...
Mais peut-on en vouloir à un personnage libraire d'être passionné par son métier et d'augmenter ainsi votre PAL ?
Un roman assez intellectuel, assez "rat de bibliothèque"qui tranche par rapport à ce que Gallmeister nous propose habituellement, j'espère qu'il ravira les initiés et intriguera les jeunes Padawans...
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Un livre sur un libraire.
Un livre sur des livres.
Un livre sur des meurtres.
Moi j'avoue j'ai pris ce livre comme une sucrerie, un bonbon. Je m'en suis délectée !
L'auteur s'amuse en entremêlant dans son roman plusieurs polars dont 8 associés au "crime parfait". Attention, il faut peut-être un minimum de connaissances ou alors accepter totalement que pour l'intrigue de ce roman-ci, l'auteur divulgâche l'essentiel des 8 (voire plus) romans cités. Soit le nom du meurtrier, soit le mobile.
Alors je peux comprendre que ça chiffonne. Je peux comprendre que ça peut paraître artificiel.
Mais moi encore une fois je l'ai pris comme une sucrerie, je me suis régalée. Et puis un livre qui utilise intelligemment ses prédécesseurs, c'est suffisamment rare pour le noter.
On est entre la révérence et le pastiche. Et moi ça me plait bien.
Oh et puis.... il y a un chat dans l'histoire.....
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Quel livre surprenant! L'auteur s'amuse à nous tromper et se joue des codes du roman policier. Pour qui aime ce genre, c'est un vrai régal.

le narrateur, un libraire américain, reçoit la visite d'un membre du FBI, Gwen, lui laissant entendre qu'un tueur en série s'inspirerait d'une liste de livres qu'il a mise en ligne sur le blog de sa librairie. Celle correspondant à huit crimes parfaits. Je connaissais quelques titres mais pas tous. Ce n'est pas gênant pour suivre l'intrigue, que Peter Swanson se fait un plaisir de rendre bien complexe.

Une premiere révélation du narrateur laisse le lecteur pantois. A partir de là, tout bascule. Et l'on se demande où l'auteur veut nous emmener. La fin est stupéfiante. Voilà un jeu mortel intrigant, un livre vraiment atypique...et addictif.
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Un roman policier qui fait référence à de nombreux autres livres du genre... Je ne pouvais qu'être séduite par une telle idée, d'autant plus que cet ouvrage a été publié aux éditions Gallmeister, ce qui est souvent un gage de qualité d'écriture !

Dans cette histoire, nous allons suivre Malcolm Kershaw, un libraire spécialisé en romans policiers qui reçoit la visite de l'agent Gwen Mulvey. Celle-ci enquête sur des morts suspectes qui semblent s'inspirer d'une liste qu'il a publiée sur un blog des années plus tôt... Une liste des "huit crimes parfaits" (de polars) qu'une personne semble déterminer à reproduire...

À part quelques uns, notamment ceux d'Agatha Christie, je ne connaissais pas la plupart des ouvrages mentionnés (à savoir le mystère de la maison rouge, Préméditation, A.B.C. contre Poirot, Assurance sur la mort, L'inconnu du Nord-Express, le Bouillon rédempteur, Piège mortel et le Maître des illusions). Ce roman était donc l'occasion d'en apprendre plus sur ces livres, que je n'ai pas encore lus. Malheureusement, beaucoup d'éléments des différentes intrigues sont dévoilées. Autant Peter Swanson m'a donné envie de découvrir ces romans, autant je ne le ferais pas aussitôt parce qu'il y a trop de spoilers !

Malgré ce petit bémol, j'ai adoré ma lecture : on comprend assez rapidement que l'assassin cherche - peut-être - à atteindre Malcolm Kershaw et qu'il se servirait de cette liste pour lui passer un message... Mais le suspens est là quand même et je n'ai pas envie d'en dire plus...

C'était vraiment chouette de suivre une intrigue de roman policier qui s'inspirait des crimes perpétués dans d'autres livres du genre... Cela a rendu l'histoire vraiment intéressante et je n'ai pas pu la lâcher ! Si j'avais su, en revanche, j'aurais lu les huit livres en question avant celui-ci...!
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Malcom Kershaw, gérant d'une librairie spécialisée en romans policiers à Boston, est soudain confronté à la visite de Gwen, une enquêtrice du FBI lancée sur une piste étrange. Elle a repéré plusieurs meurtres dont le mode opératoire semble correspondre à l'intrigue de romans policiers célèbres, romans que Malcom a autrefois compilés dans un billet de blog intitulé "8 crimes parfaits" et rassemblant les 8 titres qui lui semblaient présenter les crimes les plus indétectables. Malcom se prend au jeu et accepte de suivre l'enquêtrice pour voir si d'autres crimes passés inaperçus pourraient correspondre à certains livres mais à mesure qu'il enquête les traces semblent se rapprocher dangereusement de lui : c'est sûr le tueur le connaît.

8 crimes parfaits pose d'emblée le décor : on est dans un hommage rétro et tendant parfois presque au pastiche au roman policier, le vrai, le seul, l'unique, celui dans lequel l'auteur a mis en scène une intrigue suffisamment compliquée et alambiquée pour provoquer perplexité et creusement de méninges pour son lecteur, celui dans lequel le meurtrier invente les scénarios les plus tordus pour passer inaperçu et dissimuler son forfait. Malcom Kershaw est libraire, on découvre dès le second chapitre la fameuse liste des 8 crimes parfaits qu'il a élaborée, les intrigues des romans associés et la manière dont plusieurs meurtres commis récemment ressemblent étrangement à 2 des 8 romans cités dans la liste. A partir de là, le lecteur a compris : toute la suite du roman consistera à enquêter sur cet hommage étrange à la littérature policière (!) commis par le mystérieux tueur. Il faudra pour cela accepter que l'auteur raconte et dévoile totalement l'intrigue des 8 romans policiers cités (pour la plupart des classiques assez anciens : Agatha Christie, Patricia Highsmith, pour en citer quelques uns), spoilant définitivement toute surprise pour ceux qui ne les auraient pas encore lus. J'avoue avoir été assez furax de ce procédé : écrire un roman qui en gâche immédiatement 8 autres pour ceux qui ne les connaîtraient pas (ce qui est malheureusement mon cas...) et résumer en quelques lignes certaines des intrigues les plus géniales ou inventives de la littérature policière, je trouve ça un peu dommage. J'ai hésité à abandonner là ma lecture mais j'étais lancée dans une lecture commune et il me reste après tout tellement de livres à lire que j'ai décidé d'aller au bout et d'abandonner toute vélléité de découvrir les 8 romans cités.

A part ce bémol (si vous souhaitez lire ce livre, je vous conseille de consulter la liste des 8 titres cités disponible à la fin du bouquin, histoire de vérifier que le divulgâchage de ces romans ne vous pose pas de problème), 8 crimes parfaits a été une lecture plutôt plaisante, l'auteur construisant une intrigue bien fichue et cohérente avec ce qu'il faut d'énigmes et de retournements de situations pour nous passionner jusqu'au bout. La mise en abîme avec ces romans dans le roman, cette impression de ne plus trop savoir ce qui est vrai ou faux, intrigue d'un livre dont parle le narrateur ou intrigue du propre livre qu'on est en train de lire est plutôt sympathique et nous amène à chercher constamment les correspondances et à essayer de résoudre le jeu de piste consistant à faire correspondre chaque titre à ce qui se produit dans le roman. Malheureusement j'ai trouvé qu'elle entraînait aussi une certaine distance, nous empêchant de prendre vraiment au sérieux ce qu'on nous raconte : à tout moment, j'ai senti qu'on était dans un roman, que l'auteur cherchait juste à s'amuser et à nous amuser en revisitant la littérature policière sans jamais avoir l'impression d'y croire vraiment, de me projeter dans la vie des personnages ou de me dire que ce qui leur arrivait était réel. le style est fluide et agréable, les chapitres courts et les pages se tournent vite mais on reste aussi un peu en surface des choses, les personnages ont finalement peu de consistance et il est impossible de s'y attacher.

Au final une lecture plutôt sympathique mais qui restera une pure lecture "détente", façon jeu de Cluedo ou énigme à résoudre. La fin est cohérente mais sans retournement de situation innatendu et en refermant ce livre j'ai eu un peu une impression de "tout ça pour ça". Dommage car je pense qu'il y avait matière à jouer beaucoup plus sur la nostalgie ou à exploiter plus en avant le procédé pour construire une vraie histoire en clin d'oeil aux 8 crimes parfaits et pas juste s'en inspirer pour un scenario de film policier. J'ai quand même passé un bon moment et dévoré ce roman en quelques jours donc si vous êtes fan de romans policiers, si comme moi un livre qui se passe dans une librairie (et avec un chat !) ne peut que vous attirer, n'hésitez pas à craquer pour cette enquête pas comme les autres !
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critiques presse (1)
LeSoir
22 février 2021
Un assassin se serait-il inspiré d’une série de crimes parfaits décrits dans divers polars pour commettre ses crimes ? Bourré de références mais accessible à tous, ce roman à énigme est un modèle du genre.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Citations et extraits (71) Voir plus Ajouter une citation
Dévorer des romans policiers pendant l'adolescence ne vous prépare pas à la vie réelle. Etant plus jeune, j'imaginais vraiment que mon existence d'adulte ressemblerait beaucoup plus à un livre que ce ne fut le cas. Je pensais par exemple être à plusieurs reprises amené à monter dans un taxi pour prendre quelqu'un en filature. J'imaginais que j'assisterais à davantage de lectures de testaments. J'étais sûr qu'il me faudrait savoir crocheter une serrure et que chaque fois que je partirais en vacances (généralement dans une vieille auberge au plancher grinçant ou dans une maison au bord d'un lac), il se passerait quelque chose de mystérieux. J'étais persuadé que tout voyage en train déboucherait fatalement sur un meurtre, qu'un week-end de mariage s'accompagnerait inévitablement d'événements sinistres, et que d'anciens camarades ne cesseraient de me contacter pour me demander de l'aide en m'expliquant que leur vie était menacée. (...)
Autant je m'étais préparé à cela, autant je fus pris de court par les vétilles abrutissantes du quotidien. Payer les factures, faire la cuisine, s'éveiller à l'idée que les adultes évoluent dans des bulles inintéressantes qu'ils ont eux-mêmes fabriquées. La vie n'est pas plus un mystère qu'une aventure. Evidemment, je n'avais pas attendu d'être un meurtrier pour en arriver à ces conclusions. Non que ma carrière de criminel eût satisfait la vie que je fantasmais du haut de mes onze ans. Dans mes chimères, je n'étais pas le meurtrier. J'étais le gentil, le détective - amateur, en général - qui résolvait le crime. je n'étais jamais le méchant.
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Je laissais courir mon pouce sur le bord du livre, frottant les pages, et cette odeur de moisi piquante propre aux vieux romans de poche parvint jusqu'à mes narines. J'ai toujours aimé ce parfum, même si le collectionneur en moi sait que c'est le signe d'un livre dont on n'a guère pris soin au fil des ans, un livre qui a probablement séjourné au fond d'un carton oublié dans une cave humide. Cette odeur me ramenait instinctivement à Annie's Book Swap, la librairie où j'avais acheté mes premiers livres. J'ai grandi à Middleham, à environ quarante cinq minutes à l'ouest de Boston. ( ... ) On n'y trouvait que trois commerces : une supérette qui se faisait appeler "Middleham General" afin de se donner une consonnance pittoresque ; un magasin d'antiquités ouvert dans les locaux de l'ancienne poste, et une librairie d'occasion franchisée tenue par un Anglais nommé Anthony Blake. Annie's Book Swap vendait principalement des livres de poche grand public - ces petits volumes qui tiennent précisément dans la poche arrière du pantalon - et c'est là-bas que j'ai acheté les romans de Ian Fleming, Peter Benchley et Agatha Christie, qui m'ont aidé à traverser mes jeunes années. ( ... ) En ce temps-là, il me fallait moins d'une semaine pour lire trois livres - trois jours suffisaient même parfois -, mais je prenais toujours plaisir à les relire.
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Les livres sont comme des voyages dans le temps. Tous les vrais lecteurs savent cela. Mais ils ne vous ramènent pas seulement à la période où ils ont été écrits, ils peuvent aussi vous ramener à d'autres versions de vous même. La dernière fois que j'avais ouvert le livre que je tenais entre les mains, je devais avoir onze ou douze ans.
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Peut-être toutes ces années passées dans des univers fictifs bâtis sur la tromperie avaient-elles biaisé ma vision des choses, mais à dire vrai, je ne faisais pas plus confiance aux narrateurs qu'aux gens réels. On ne nous dit jamais toute la vérité. Lorsqu'on rencontre quelqu'un pour la première fois, avant même d'échanger les premiers mots, les mensonges et les demi-vérités sont déjà là. Les habits que l'on porte cachent la vérité de nos corps, mais ils nous présentent aussi au monde tel que nous voulons paraître. Ils sont un tissu de mensonges, au propre comme au figuré.
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- Elle méritait de mourir ? demanda-t-elle.
- Si elle méritait de mourir ? Vous me posez la question à moi ? Eh bien non, bien sûr que non.
- Désolée, ce n'est pas ce que je voulais dire... Vous disiez que c'était quelqu'un d'acariâtre. Et il est clair, du moins de mon point de vue, que toutes les victimes jusqu'à présent étaient des personnes peu sympathiques. Est-ce qu'elle rentrait dans cette catégorie ?
- Elle n'était clairement pas aimable. Elle m'avait déclaré un jour que les lesbiennes ne savaient pas écrire parce qu'elles ne passaient pas assez de temps auprès des hommes, qui selon elle étaient plus intelligents.
- Oh.
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Videos de Peter Swanson (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Peter Swanson
https://www.laprocure.com/product/1477090/swanson-peter-neuf-vies
Neuf vies Peter Swanson Éditions Gallmeister
« Au départ, c'est neuf personnes qui reçoivent une liste de neuf personnes parmi lesquelles leur nom est écrit. Et ces neuf personnes vont commencer à disparaître. Ça ne vous fait pas penser à quelqu'un ça? Ou à un roman très connu d'Agatha Christie? Les Dix petits nègres ? Ou Ils étaient dis. Et bien oui! Il y a évidemment une allusion et un grand hommage qui lui est fait à nouveau, parce qu'il l'avait déjà fait dans un précédent roman. Et donc on va voir commencer à disparaître. Ces gens, parmi lesquels il y a une une agent du FBI quand même, on se dit ça va, il va se passer quelque chose, il va se passer plein de choses. C'est un excellent moment de lecture, je vous le recommande. » Marie-Joseph, libraire à La Procure de Paris
+ Lire la suite
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