Vendredi ou La Vie sauvage

"Vendredi ou la vie sauvage", c'est la réécriture d'une réécriture de "Robinson Crusoë", le tout à la sauce jeunesse, bref, l'idéal pour vos profs de collège pour vous supplicier même durant les vacances. Bien sûr, ce serait mentir tout de même de ne pas lui trouver une ou deux qualités : si l'originalité n'est pas son domaine, on est loin de la stupidité abyssale du film d'animation "Selkirk : le véritable Ronbinson" censé être un biopic et qui a très mal tourné. La confrontation de l'occidental et du préjugé sauvage est en effet le centre de ce roman, avec à la clé choc des cultures, méfiance de l'Autre, évolution des personnages, mais surtout au final, amitié. Côté style, il n'y a pas non plus grand-chose à dire, en-dehors de quelques points d'exclamations superflus. Sans doute pas la lecture que j'ai préférée, mais qui devrait plaire au plus grand nombre sans perdre de sa qualité.

Très simple, rapide et nous entraine dans une aventure et surtout dans la survie d'un homme sur une île déserte. Aventures garanties !! On n'a l'impression de se trouver aux côtés du naufragé et de survivre avec. Je suis tombée par hasard sur ce livre qui m'a tout de suite attiré. Je l'ai lu en une nuit. Impossible de me détaché du roman !!

Je vous parle aujourd'hui d'un livre que beaucoup d'entre vous ont dû découvrir plus jeune, Vendredi ou la vie sauvage. Michel Tournier a voulu reprendre le mythe de Robinson pour le rendre accessible aux plus jeunes et le pari est réussi ! J'ai vraiment apprécié cette lecture que j'ai trouvée pleine de poésie. L'écriture est agréable ; les chapitres sont courts et rendent la lecture fluide. Si l'histoire est identique au roman de Daniel Defoe, le personnage de Robinson s'efface peu à peu et c'est l'indien Vendredi qui est mis en avant, pour notre plus grand plaisir : ses trouvailles, sa simplicité, sa conception de la vie sont autant d'éléments qui rendent le roman intéressant. On aurait presque envie, comme Robinson, de ne pas quitter l'île et de rester avec cet ami si précieux.
Michel Tournier nous propose une réécriture du mythe parfaitement réussie qu'il ne faut pas hésiter à découvrir !

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Ce livre pour moi c'est sa fin.Si vous ne voulez pas de spoiler,passez à une autre critique tout de suite.

L'histoire en elle-même ne m'ayant pas captivé et ne m'ayant pas laissé de souvenir impérissable,je vais concentrer ma critique sur la façon dont le roman est terminé.
Déjà,on a du mal à croire qu'il est resté 28 ans sur cet île à ne rien faire,presque sans vieillir.A titre comparatif,Danielle Rousseau de Lost n'était restée que seize ans,avant de mourir,et Robinson ne meurt pas à la fin.Il choisit de ne pas retourner dans cette civilisation qu'il a quitté à seulement 22 ans.C'est,ironie du sort,son Vendredi si rétif à toute forme de civilisation qui choisit de partir.Il finira sans doute esclave à cause de sa couleur de peau.
Ce que j'ai le plus aimé,ce que j'ai trouvé le plus beau,c'est cet enfant qui arrive sur l'île,et qui ne commence à vivre qu'au moment où il quitte la civilisation où il a bien trop souffert.Un enfant littéralement haut en couleur,tout roux,comme ce poil de carotte qui aurait souhaité lui aussi fuir le genre humain.
"Pour moi,tu seras toujours l'enfant du dimanche".
Cette citation est vraiment magnifique je trouve.La fin et on ne peut plus ouverte et on se demande vraiment ce qu'il va arriver à ce petit garçon et à son protecteur si gentil sur cet île.Il s'appelait Jaan Neljapaev,et il est né en estonie.Rien n'est laissé au hasard,car Neljapaev signifie dimanche en estonien.

Bah, je l'avais lu dans la foulée de Vendredi ou les limbes du Pacifique, alors forcément, on a la sensation de passer du grand bassin olympique au petit bassin de la piscine, du pur sang au poney de manège, de la Harley à la mobylette, (bon, je fais du remplissage pour les 250 caractères là) - on retombe un petit peu dans une dimension plus ordinaire...

Je ne pense pas vraiment aimer ce livre. Un peu raciste à un
moment, bizarre à l'autre et il faut 3 chapitres pour fabriquer un cerf volant en peau de bouc ! Il y a eu des moments où je n'ai pas vraiment compris comme quand Robinson va dans son trou à la grotte.

Vendredi ou la vie sauvage est étudié par beaucoup sur les bancs de l'école. Bien que connaissant, comme tous, l'histoire de Robinson Crusoé, j'étais pour ma part passée au travers de cette lecture. J'ai donc découvert ici ce fameux naufrage et la vie insulaire, en isolement total, qui en découle. Certains aspects abordés sont intéressants. La façon dont Robinson veut absolument tout régir et administrer sur l'île, y compris lorsqu'il en est le seul habitant, sa catégorisation des animaux en deux seules et uniques cases : soit utiles, soit nuisibles, sa perception du travail et de la paresse... et surtout, sa relation avec Vendredi et l'évolution de son personnage au fil des ans. Un bémol est que, en voulant rendre son récit accessible aux enfants, Michel Tournier adopte un style bien plus narratif que littéraire et reste assez superficiel sur beaucoup de points. Aussi, je vois cette lecture comme un amuse-bouche, agréable mais pas exceptionnel, qui aiguise mon appétit et me donne envie de plonger, un jour, dans Vendredi ou les limbes du Pacifique.

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Ce livre m'a permis de découvrir Robinson et Vendredi, deux personnages qui font aujourd'hui partie de la culture populaire, même si tout le monde ne sait pas exactement qui ils sont. D'ailleurs, j'ai été très surprise par l'arrivée tardive de Vendredi. Je pensais vraiment que Robinson le rencontrait dès son naufrage sur l'île, mais pas du tout. Je me languissais, page après page, me demandant si je lisais bien le bon livre. J'étais vraiment heureuse d'enfin faire sa connaissance après presque quatre-vingt-pages. Si je devais choisir avec qui rester coincée sur une île déserte, je choisirais Vendredi, bien sûr ! Même si le personnage de Robinson est très intéressant, il ne m'est pas très sympathique.

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Le reproche que je peux faire à ce livre, c'est la précipitation que l'on retrouve dans chacune des aventures. Les chapitres sont très courts, les actions sont très brèves, les détails quasi-inexistants. Bien sûr, il s'agit là de la version pour enfants de Vendredi ou les Limbes du Pacifique, il est donc normal que la lecture ne soit pas aussi ardue que pour l'original. Mais tout de même, je pense qu'un peu plus d'explications aurait pu être bénéfique, quitte à attendre un ou deux ans de plus avant que les jeunes ne lisent ce livre. Car pour le coup, j'ai vraiment trouvé que tout allait trop vite, les événements s'enchaînant parfois si rapidement que je ne savais pas trop ce qu'il venait de se passer. Quant à la fin, elle est vraiment trop précipitée. Je ne m'attendais pas du tout à une telle fin et je suis restée stupéfaite des dernières pages ! Sans spoiler, je me suis demandé ce qu'il allait devenir de Vendredi ! Puisque le roman est écrit du point de vue d'un narrateur omniscient, pourquoi ne nous dit-il pas ce que l'Indien devient ? Quant à Robinson, va-t-il reprendre ses mauvaises habitudes ? Je me pose beaucoup de questions après cette lecture. Peut-être que j'obtiendrai mes réponses en lisant la version plus longue et détaillée de cette oeuvre, en tout cas je l'espère ! Je compte la lire, dès que je mettrai la main sur un exemplaire, afin de faire une comparaison de ces deux romans. Si je suis prête à le relire, c'est bien que Vendredi ou la sauvage m'a suffisamment plu ! J'ai donc été heureuse de découvrir ce classique, mais je reste vraiment sur ma faim pour sa conclusion.
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Dans ce livre qui est une reprise alternative du célèbre roman de Daniel Defoe : Robinson Crusoe.
Dans ce livre on raconte le début de l'histoire identique à celui que l'on a connu (ou pas) dans Robinson Crusoe, il fait naufrage sur une île déserte et commence à construire un semblant de civilisation et un beau jour, des indigènes arrive et à ce moment là un de leurs esclaves s'échappe et va rejoindre Robinson. Mais un peu après cela un événement va totalement bouleverser la vie de Robinson et de Vendredi (l'esclave des indigènes que Robinson a renommé).
Cette histoire a été écrite beaucoup plus récemment que le livre original ce qui rend selon moi la lecture beaucoup plus facile et plus « énergique » de plus ce livre permet de réfléchir sur des thèmes intéressant tels que l'homme occidental doit-il essayer d'imposer un « mode de vie » au détriment de tous les autres ?

Je connaissais l'histoire de Robinson et c'est avec plaisir que j'ai lu ce livre en compagnie de ma fille.
C'est l'histoire de Robinson qui se retrouve seul sur une île après le naufrage de son bateau.
Il doit apprendre à survivre sur cette dernière en espérant être secouru. Cela se révèle plus difficile qu'il ne le pensait car ce qu'il entreprend n'aboutit pas toujours comme pour la construction d'un bateau.
Dans un premier temps, Robinson établit un semblant de vie en société en créant des lois et en organisant ses journées de façon organisée mais l'arrivée d'un indigène, qu'il va appeler Vendredi, va tout changer. Ce dernier lui étant reconnaissant de l'avoir sauvé va l'accompagner et le servir sans discuter jusqu'au jour où tout est remis en question. A ce moment là, Robinson va vivre à la façon de Vendredi et apprendre à communiquer avec la nature. Robinson découvre une nouvelle façon de voir les choses et cela va tellement lui plaire qu'il ne voudra plus quitter l'île.
Un bon roman à découvrir ou à redécouvrir seul ou avec son enfant.

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