L'écume des jours

Ayant découvert Boris Vian avec l'Arrache-Coeur, l'un de mes livres préférés, j'en attendais beaucoup de ce roman. Peut-être trop.

La vie paisible de Colin, jeune homme en quête d'amour, bascule le jour où il rencontre Chloé. En parallèle, Chick, son meilleur ami, entretient une relation avec Alise, malgré son amour obsessionnel pour Jean-Sol Partre. Seulement, Chloé tombe malade et Colin est alors confronté au désespoir de voir la femme qu'il aime dépérir peu à peu.

Aucune des histoires d'amour ne m'a touchée. Les personnages ne sont pas attachants, et j'ai l'impression d'avoir loupé quelque chose en refermant le livre. le pire reste sans doute Chloé, fade, elle n'a rien qui la distingue, et ne semble être là que parce qu'il fallait un deuxième personnage pour la romance. Sans parler de Chick et Alise que je ne peux décidément pas supporter.

En revanche, le style d'écriture de Vian est sûrement l'un des plus joli que j'ai pu lire. À la fois loufoque, mais aussi poétique et burlesque (bref, ce que j'aime), il emmène le lecteur dans un univers surréaliste que j'ai adoré découvrir. La singularité du monde qu'invente l'auteur, ses délicieuses tournures de phrases m'ont presque fait oublier la fadeur des personnages.

Ce monde un peu loufoque demande une imagination folle. Je ne sais pas si je suis capable de tant. J'aime quand un roman se lit aisément. Ce n'est pas le cas de cet ouvrage.
Je donnerai peut etre à nouveau une chance à Vian mais je ne pense pas que cette lecture soit accessible à tous

Je l'ai lu par curiosité et vraiment plus jamais! Soit je n'ai rien compris, soit vraiment c'est un livre qui n'est pas pour moi. Mais je n'ai pas aimé. J'ai trouvé les personnages plats, creux et inintéressants. On ne sait rien d'eux, à part qu'ils s'aiment parce qu'ils sont beaux et belles (bravo la superficialité) et sinon ils n'ont aucun passe-temps ou autre. Sauf Chick et Alise qui aiment le même auteur mais ça les conduira à leur perte...
Ici on suit des riches, qui ne veulent pas travailler et qui trouvent le travail dégradant... Si une femme travaille, elle devient moche et ne peut plus être aimée.
J'ai attendu tout le long de ma lecture un déclic, quelque chose qui me ferait apprécier un minimum cette lecture mais ce n'est pas arrivé. Même l'histoire est banale: Chloé est malade, Colin fait tout pour la guérir au risque d'être pauvre et de devoir travailler. Oui c'est tout ce que je retiens. Ha et aussi une jolie haine des pauvres, vu les funérailles de Chloé...
J'ai juste été touchée par la mort de la souris. Rien de plus.

Si normalement j'aime bien les livres ou les styles originaux, je n'ai jamais réussi à accrocher à ce livre de Boris Vian.
Ce n'est d'ailleurs pas vraiment un roman, mais plutôt un conte qui flirte souvent du côté fantastique.
Peut-être que je devrais lui donner une seconde chance, car avoir été obligé de le lire au lycée n'a sûrement pas aidé...cependant méme si je suis fan de Michel Gondry, je n'ai pas réussi à accrocher à son adaptation de ce livre en film... sûrement un signe que je dois en rester là.

Boris Vian est un de mes auteurs préférés de jeunesse...
Pourtant je n'ai pas du tout accroché avec ce livre, j'ai eu beaucoup de mal à le finir. Ce monde onirique m'a beaucoup déstabilisée. C'était juste trop pour moi : trop invraisemblable, trop incompréhensible: une métaphore à si grande échelle qu'elle me perd.
J'ai pourtant dévoré et ADORÉ tous ces autres romans. Mais pas celui-là.
Subjectivité quand tu nous tiens : je me souviens d'un échange avec un ami qui au contraire avait détesté ses autres romans mais adoré celui-ci !

Parfois, on est face à un livre dont on repousse la lecture par peur d'être déçu. C'est exactement ce qu'il s'est produit avec celui-ci. Je l'ai entendu dans la bouche de tous, me sommant de le lire, employant des termes dithyrambiques. J'ai sauté le pas, je l'ai ouvert, lu les 330 pages et je n'ai espéré qu'une seule chose ; qu'il se termine. le surréalisme ou le décalage n'ont jamais été un problème pour moi. le problème vient plutôt du fait que je n'ai pas été emportée, marquée, je n'ai rien éprouvé, rien déploré. L'histoire est belle, l'amour est fort, les personnages amusants, pourtant cette lecture restera pour moi, un rendez-vous manqué.

@lecturesauhasard

S'attaquer à ce que certains appellent un chef d'oeuvre est difficile, mais je suis obligée d'être honnête.
Je ne vais pas dire que ce livre n'a aucun intérêt, seulement qu'il m'a laissé de marbre. J'ai donc refermé ce livre sans n'avoir éprouver aucune émotion.

Alors oui, ce n'est pas du tout mon genre habituel, mais je me suis lancé le défi de lire un livre par mois des livres favoris des français, et celui ci était classé 22ème.

Colin est un homme riche qui semble avoir tout pour être heureux, mais lorsqu'il voit son ami amoureux, il veut le devenir également. Colin rencontre alors Chloe mais leur histoire va connaître beaucoup d'épreuves lorsque cette dernière va tomber malade.

Boris Vian écrit dans l'absurde, avec de nombreux jeux de mots, objets loufoques, teinté de musicalité de jazz.
Derrière la poésie, se cache une critique de la société, de la religion et du travail.

Et pourtant, je n'ai pas accroché.
Déjà, j'ai du lire quelques chapitres pour appréhender l'univers surréaliste du récit (une anguille qui sort du siphon sérieux ?).
Mais, passé ce cap, je n'ai pas été attendrie par les personnages, par leur romance ou les épreuves, et je suis restée spectatrice tout au long de ma lecture.

Au vu des commentaires élogieux sur les différents sites de lecture, je comprends que je reste la minorité et vous invite bien évidemment à vous faire votre propre avis.

C'est un flop! Je suis restée insensible au style de l'auteur et au contenu de son histoire. Il fallait essayer pour se faire une idée. On me l'avait vendu avec plein d'éloges mais particulier... le surréalisme n'est pas ma tasse de prédilection.
Je testerai J'irai cracher sur vos tombes pour affiner mon avis sur Mr Vian mais part mitigée.

Waouh, lu en 3 jours, mais quelle déception, j'ai lu bcp de critiques, et il y a de quoi faire, je ne suis pas le seul, et dire qu'il était encore super bien classé dans une dernière émission sur les 100 livres à lire... bon le N° 1 c'est un MANGA, je ne suis pas sur que cela me plaise non plus, heureusement qu'il y avait Victor HUGO et ses " MISERABLES " , je ne suis pas un grand lecteur, je m'efforce de rattraper ce manque de culture à ma retraite, j'ai lu trop de bandes dessinées quand j'étais jeune, je le regrette bcp, mais il y a des bons souvenirs aussi... alors....? j'ai mis au moins 50 points d'interrogation, tout au long du livre, que je ne comprenais pas..., la souris grise aux moustaches noires, une cage à oiseau en fil de fer dont la porte lui appuyait sur le front ?, la porte extérieure se referma sur lui avec un bruit de baiser sur une épaule nue ?, Ils bouclèrent tous trois les courroies de leurs parachutes...?, Colin pressa les boutons verts, bleus, jaunes, et les glaces correspondantes remplacèrent celles de la voiture ? , les gens perdent leur temps à vivre, alors il ne leur en reste plus pour travailler,? le carreau cassé commençait à repousser ?, Certains arrivaient en corbillard et les gendarmes plongeaient une longue pique d'acier dans le cercueil, les clouant au chêne pour l'éternité ?, un tireur d'élite armé d'une hache ?, la vaisselle sale s'achemina vers l'évier par un gros tube pneumatique qui se dissimulait sous le tapis... j'arrête là, il y en a trop... je dois être vraiment "tebé ", et je ne parle pas des répétitions incessantes, " dit Colin ", " dit Isis ", "dit Chloé ".... pour moi ce n'est pas cela la grande littérature, mais je vous ai dit aussi que j'étais assez inculte ?, J'ai lu en critiques, " trop surréaliste " , ou encore " trop de surréalisme entoure les évènements..? j'ai peut être un pb avec le "surréalisme " ? c'est intéressant, il faut que je revoie les sens exact de ce mot, et pourtant j'aime bcp DALI..., ou encore " il faut s'accrocher, pour ne pas décrocher.. " c'est vrai aussi qu'en refermant le livre, on a une sensation de mal à l'aise.., qu'on a du mal à s'attacher aux personnages, ou encore " je ne peux pas dire que j'ai été transporté..., et je ne peux pas dire que j'ai détesté ", Avait il une rancune personnelle contre SARTRES ? on passe par tout un éventail d'émotions, mais dans tous les cas, on ne peut pas rester indifférent à la lecture de ce livre... ne faites pas attention à mon style ? ou à ma ponctuation hasardeuse, j'écrit comme je pense... je ne me relis pas, c'est chaud la haut , end

Bien que fan de Boris Vian, je n'ai jamais accroché à l'univers présenté dans L'Ecume des Jours (ni dans le roman, ni dans le film qui en a découlé). J'ai trouvé la lecture ennuyeuse et laborieuse et les rebondissements sans fin. Je ne nie pas les qualités littéraires de ce livre ni de l'auteur, bien au contraire, mais ce livre ne correspond juste pas à mes attentes littéraires, malheureusement.