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3,88

sur 18249 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Abandonné au bout de quelques pages. Je n'arrive pas à apprécier le style de Vian. Dans ce roman là, en tout cas, car j'avais vraiment adoré "j'irai cracher sur vos tombes" d'un style complètement différent. Cette façon de décrire les situations et les sentiments m'est assez insupportable. Et l'intrigue ne me touche pas.
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L'écume des jours est le premier roman de Boris Vian que je lis.
Un classique de la littérature ?
Perso, je n'ai pas aimé. Je n'ai pas accroché à ce côté délirant.
Je l'ai lu en m'imaginant regarder un film de Tim Burton ! Mais j'avoue que cela n'a pas fait effet non plus.
Peut être suis je l'une des seules à ne pas aimer...???
Mais je ne dirais pas que j'ai aimé pour faire comme tout le monde.
Est ce que tous les livres de Vian sont dans le même style ?
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Lu il y a 25 ans, L'Ecume des Jours est la lecture scolaire qui m'a été la plus pénible. J'ai littéralement détesté ce bouquin, ce qui m'a été fort utile pour un exposé sur "la lecture et les émotions" ^^

J'ai été agacée par ce Jean-Sol Partre, cette histoire de nénuphar (pour ce que je m'en souviens). Un passage m'a particulièrement marquée/choquée c'est quand on balance le cercueil par la fenêtre.

Je me suis souvent demandée si je n'avais pas lu le livre au premier degré sans prendre du recul?? Quoi qu'il en soit, il est hors de question de le relire un jour.

Je me souviens de l'étonnement de mon professeur de français quand je lui ai dit que j'avais préféré le Roi des Aulnes de Tournier & le Voyage au bout de la nuit de Céline.

Les goûts et les couleurs...

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Au risque de décevoir beaucoup de monde, je dois avouer que j'ai clairement détesté ce livre. Je me suis forcée à le finir, dans la douleur !

Je ne me suis attachée à aucun personnage, et ce roman n'a suscité aucune émotion en moi, que l'on parle du registre dramatique ou comique. Il m'a manqué des transitions entre les différents évènements. Je n'ai pas accroché au mode de narration, beaucoup trop loufoque à mon goût. J'ai pourtant de l'imagination ! A plusieurs reprises (voire tout le long du livre !) je me suis demandée quelle substance avait bien prendre ce cher Boris Vian avant de s'assoir à sa table d'écriture !

Enfin, pour ne pas tout jeter en bloc, il faut avouer qu'il y a un gros travail sur les jeux de mots, et que l'auteur, par ce biais, aborde de nombreux thèmes : l'exploitation des ouvriers, l'addiction, le rapport à l'argent, etc…

C'était mon premier Vian, je tenterai peut être ma chance avec un autre de ses livres.
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Au vu des nombreuses acclamations autour de ce roman et à la lecture de la 4ème de couverture ("le plus poignant des romans d'amour contemporains" dixit Raymond Queneau), j'ai entamé ce bouquin avec la quasi certitude de lire un chef d'oeuvre, une valeur sûre.
Finalement, je me suis ennuyé à mourir, et quand je ne m'ennuyais pas, je faisais des efforts monstres pour imaginer ce que Boris Vian raconte, ce qui n'est pas aisé en soit : ce monde fantastique imaginé par l'auteur est souvent décrit dans un style lourd, avec des jeux de mots improbables, des mots inventés quand ce n'est pas un vocabulaire prétentieux.
J'aime pourtant le fantastique, mais celui-ci, loufoque et bizarre, ne me parle pas le moins du monde.
Je n'y ai perçu ni magie ni poésie, juste des personnages sans intérêts, aussi beaux et profonds que des poupées Barbie.
Je me suis quand même forcée à le finir, dans l'espoir mince d'y voir enfin ce qui lui vaut cette renommée. Raté. Je n'aime pas du tout. Je lui préfère de loin "j'irai cracher sur vos tombes".
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Il m'est rare de ne pas terminer un livre.

D'autant plus quand ce dernier est auréolé, encensé pas une critique unanime. Véritable chef-d'oeuvre dit-on.
J'en viens à me demander : Ai-je bien tourné les mêmes pages ?

Je n'ai rien ressenti. Rien, le néant. Pas une once d'attachement pour les personnages, la plume, le contexte. Rien à quoi m'accrocher pour en venir à bout.

J'ai abandonné lâchement. Complétement effarée de nager à ce point à contre courant. Je n'ai pas été emportée par l'art de Vian, ni par ses métaphores, ni par ses jeux de mot, son univers ou autres sens cachés. M'étonnant à chaque page de lutter férocement pour trouver ce qui résonne en beaucoup d'autres.

Seul le titre résonne en moi, malheureusement, comme une promesse non tenue.
J'en suis presque honteuse.

Bien à vous.





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L'Education nationale m'avait infligé la lecture et l'étude de ce truc. Je me souviens avoir été complètement imperméable à ce livre que je trouvais foutraque et dénué de tout propos cohérent. Mais c'était l'époque de l'adolescence où l'on n'a pas forcément les idées claires...
Laissant le temps opérer, j'ai attendu des années avant de redonner une chance à ce livre. Et bien rien n'y fait, je le trouve toujours aussi stupide, vain, absurde.
Inutile, ami lecteur, de me clouer au pilori numérique! On ne peut pas être réceptif à tout, et des goûts et des couleurs, etc.
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J'ai souvent entendu parler de Boris Vian alors intrigué, je me suis penché à lire un de ses ouvrages. Mal m'en a pris, j'ai vraiment eu du mal à entrer dans l'histoire. Pourtant, j'apprécie le dadaisme, le surréalisme, mais là pour le coup, l'écume des jours m'a plutôt semblé être l'enclume des jours parce que le surréalisme de ce livre m'a totalement assommé. Peut-être n'étais-je pas assez ouvert au monde de Vian. Pourtant, j'ai un grand sens du conceptuel et de l'abstraction, mais alors ici pour le coup, je n'ai rien entravé du tout. Tant pis. Une autre fois peut-être en essayant la version livre-audio.
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Je crois que je vais commettre un deuxième sacrilège (vu que j'ai perdu ma première critique) en disant que je n'ai pas aimé la lecture.

L'univers de l'auteur est trop surréaliste pour moi, tout simplement.
Dans ce livre, je n'ai réussi à m'attacher qu'à la souris, qui bizzarement me semble être le personnage le plus humain de l'histoire.
Les décors, les situations et les personnages ne me touchent pas.

Je trouve les personnages soit trop oisifs, soit trop éloignés de mon schéma de pensées.

Désolé.
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Je me suis dit, que je me devais de lire la base de la littérature d'une nécessité pour ma culture personnelle. Et bien, je peux vous dire qu'après cela, j'ai bien arrêté de vouloir me mettre des idées de la sorte dans la tête. Quel livre épouvantablement triste !

C'est une histoire complétement farfelue écrite en 1947, dont l'ambiance mi-fantastique, mi-glauque, tantôt poétique, tantôt étrange, reste pour ma part assez perturbante...

C'est une romance tragique ! Au début, l'amour est beau sous les rayons du soleil, innocemment jusqu'au malheur poignant qui lie des amoureux.
En effet, on suit un couple en particulier dont la jeune femme tombe malade d'une étrange maladie, elle à, à la place des poumons des nénuphars.. Et pour sauver sa bien-aimé son amant devra lui apporter quantité de fleurs pour la sauver mais réussira t'il a la garder en vie ?

Ce roman est un piège qui étouffe petit à petit le lecteur et les personnages, un peu à l'image dont la jeune fille se fane. L'histoire est contaminée par le drame jusqu'à devenir oppressant, morbide jusqu'au dernier souffle des mots. Brrrr
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