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3,75

sur 3008 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Que de perte de temps à lire la banalité d'une vie parisienne; l'écriture est fluide et agréable mais la noirceur de vie chez 2 personnages qui n'arrivent pas à se gérer est totalement insipide. C'est sûr que ce genre de livre ne va pas aider ou faire rêver les nombreuses personnes qui vivent la même chose dans les grandes villes !
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Très déçue par cet ouvrage.
J'aime beaucoup la plume de Delphine de Vigan généralement mais je trouve que dans ce livre on attend beaucoup durant tout le livre pour une fin décevante.
C'est vraiment dommage, même si j'imagine que cette fin était réfléchie.
La lecture de ce livre est une perte de temps selon moi…
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Dans ce roman, nous rencontrons tout d'abord Mathilde, une jeune femme veuve et mère de 3 enfants. Elle travaille dans une grande entreprise tournée vers l'international.

Tout se déroulait pour le mieux jusqu'à une fameuse réunion où son patron décide, sans que personne ne sache pourquoi, de lui mener la vie dure. La vie professionnelle de Mathilde va devenir un réel enfer...

De l'autre côté, nous rencontrons Thibault, un jeune médecin. Pour lui aussi, rien ne va plus. Il enchaîne les heures de travail et les visites médicales à domicile à travers les rues parisiennes...

Et si un jour, Mathilde et Thibault étaient amenés à se rencontrer, se croiser au détour d'une rue....


Mon avis

Ce roman est pour moi une déception.

Je l'ai lu en entier, je voulais en connaître la finalité.

Malheureusement, je n'ai pas compris où voulait nous emmener l'autrice.

Par contre, j'ai trouvé intéressant le sujet du harcèlement au travail. C'est un fait qui existe de plus en plus. On voit bien que dans cette histoire, que le patron de Mathilde a un seul but, celui de lui faire lâcher son poste et de lui faire péter les plombs.
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Juste trop pas envie de lire la suite...
Conclusion : je n'ai pas lu la suite...
Juste les deux derniers chapitres pour confirmer que c'était bien nul !
Ce n'est que mon avis... Mais l'avis d'un médecin...
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Mathilde travaille dans une entreprise de service. Tout se passe bien jusqu'à ce qu'elle s'oppose au boss. S'ensuit alors un harcèlement moral fort et Mathilde est rapidement exclut de la société : on ne lui confie plus aucune tâche, on ne lui parle plus, on la met dans un bureau qui ressemble à un cagibi. Et Mathilde souffre, chaque jour un peu plus.
Thibault est médecin et se déplace à Paris pour soigner ses patients. Il se sent terriblement seul et souffre lui aussi beaucoup.

J'avais lu No et moi de Delphine de Vigan il y a longtemps alors j'ai eu envie de retenter l'expérience. Les heures souterraines est un petit roman qui se lit rapidement mais dans lequel il ne passe pas grand chose. le harcèlement moral, celui qui ne laisse pas de traces visibles est bien détaillé mais on se serait attendu à une fin différente. En finissant le livre, je me suis dit "tout ça pour ça ?". le quotidien de nos "héros" ressemble à des histoires ordinaires. Pas le moindre espoir en perspective.

Bref, un livre déprimant dont l'intrigue centrale se résume aux embouteillages et aux métros. J'ai passé plusieurs pages tellement je me suis ennuyée.
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Les heures souterraines : 🌸 Résumé : Chaque jour, Mathilde prend la ligne 9, puis la ligne 1, puis le RER d'jusqu'au Vert-de-Maisons. Chaque jour, elle effectue les mêmes gestes, emprunte les mêmes couloirs de correspondance, monte dans les mêmes trains. Chaque jour, elle pointe, à la même heure, dans une entreprise où on ne l'attend plus. Car depuis quelques mois, sans que rien n'ait été dit, sans raison objective, Mathilde n'a plus rien à faire. Alors, elle laisse couler les heures. Ces heures dont elle ne parle pas, qu'elle cache à ses amis, à sa famille, ces heures dont elle a honte.

Thibault travaille pour les Urgences Médicales de Paris. Chaque jour, il monte dans sa voiture, se rend aux adresses que le standard lui indique. Dans cette ville qui ne lui épargne rien, il est coincé dans un embouteillage, attend derrière un camion, cherche une place. Ici ou là, chaque jour, des gens l'attendent qui parfois ne verront que lui. Thibault connaît mieux que quiconque les petites maladies et les grands désastres, la vitesse de la ville et l'immense solitude qu'elle abrite.

Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Autour d'eux, la ville se presse, se tend, jamais ne s'arrête. Autour d'eux s'agite un monde privé de douceur. 🌸 Mon Avis : J'avais lu ce roman très jeune, lorsque j'étais en seconde juste après avoir lu "No et moi", roman par lequel j'ai pu découvrir cette auteure. Je me souviens l'avoir moins aimé que les autres. Avec du recul, je pense tout simplement que je n'avais pas la maturité nécessaire pour en saisir les nuances. A relire donc.
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J'avais bien aimé "No et moi" et été très déçu par "Les loyautés" je me suis donc dit que j'essaierai une nouvelle fois De Vigan.
Cette fois je suis très partagé. La placardisation et le harcèlement au travail est bien décrit, on suit attentivement la descente de Mathilde vers l'enfer où l'envoie son patron. Même si on essaye de comprendre comment elle peut être aussi soumise et tenir autant à sa zone de confort qui n'en est plus une. Parallèlement on suit aussi le médecin et là par contre on n'en comprend pas la raison.
De Vigan me paraît vraiment très inégale. Elle peut écrire des histoires vides (Les Loyautés), elle peut s'intéresser à de jolies rencontres (No et moi) même si il aurait été intéressant qu'elle creuse cette relation et son dénouement. Et elle peut ici fignoler le portrait de Mathilde et rater celui de Thibault. J'espère qu'en prenant de l'expérience et en s'octroyant plus de temps pour aller en profondeur et imaginer, oser on aura un roman d'un plus haut niveau
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J'entendais parler de Delphine de Vigan depuis longtemps et j'étais curieuse de la découvrir. J'ai apprécié la description du monde du travail, des relations hiérarchiques, pour les avoir vécues. Mais cela ne m'a guère intéressée, ce n'est pas ce que j'aime lire, la vie de tous les jours.
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Et bien contrairement à ce que je pensais, j'ai bel et bien été déçue par ce roman...Les heures souterraines est très bien écrit et Delphine de Vigan décrit très justement de ce que peut être la vie en entreprise ou à Paris. Mais quelle vision pessimiste ! Solitude, isolement, indifférence, harcèlement, dépression, agressivité, passivité, etc. Et à peine une éclaircie (une collègue attentionnée, le soulagement de la rupture,...) au milieu de toute cette grisaille.Le dénouement ne m'a pas plu non plus : il ne se passe rien. Pas de chute dramatique, ni de lueur d'espoir, rien. A chacun son interprétation ? Peut-être, mais je remarque que même Delphine de Vigan abandonne Mathilde et Thibault à leur sort.Et pour couronner le tout, les deux personnages dont nous avons suivi les histoires en parallèle tout au long du roman ne se rencontrent même pas. Ils ne sont pas loin de se croiser à plusieurs reprises, mais non, pas de véritable rencontre en dehors d'un regard échangé dans le métro. Je veux bien parler de subtilité, mais à ce point...
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A chacun ses refuges de lecture. Mes périodes sombres s'accompagnent des chemins chaotiques, des vies brisées ou mal réparées des héros de papier.
Un réconfort, hasardeux certes, à se dire que l'on n'est pas seul à se sentir dépassé, de trop ou hors du monde. Delphine de Vigan avait tout pour envoûter mes délectations moroses et tristes humeurs dans mes trajets quotidiens.

Sauf que.
J'ai eu l'impression de lire un exutoire. Tout est détaillé les rues, les trains, les horaires, les changements, les bouchons, le stress palpable dans les couloirs du métro ou les allées bondées des bus. Et à lire la lente agonie de Mathiiiiiiilde, je me fais Fabrice Luchini, qui semble tellement vraie, vécue, qui est terrrrrrrrible, décrite à l'extrême, on est maaaaal, on étouffe. Mathilde c'est un peu le pendant dramatique du rigolard Stupeur et Tremblements (décidément je trouve plusieurs analogies entre les deux auteures, avec une vision drolatique pour l'une/tragique pour la deuxième). Heureusement Thibault est là pour «décompresser» entre tout cela et on se prend à penser qu'il n'est pas assez présent. Thibault qui semble moins réel, plus personnage de papier (et je l'en remercie pour cela).

Au final, j'ai eu l'impression d'être, au lieu de lecteur, le médecin qui a écouté le témoignage d'un patient qui avait besoin de s'epancher, médecin qui en plus a payé la consult'.
De l'air.
Juste un besoin d'air, frais, venteux, puissant. Pour balayer cette lecture.
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