Veux tu apprendre à bien vivre ? Apprends d'abord à mourrir. Confucius
C'est d'ailleurs là que j'entendis pour la 1ere fois la fameuse expression : ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers. Je n'avais que huit ans mais je ne pus m'empêcher de penser : " alors là, tout autour, il ne reste que les mauvais ? "
C'est là d'ailleurs que j'entendis pour la première fois la fameuse expression: "Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers." Je n'avais que huit ans mais je ne pus m'empêcher de penser : "Alors là, tout autour, il ne reste que les mauvais ?".
Frictions. Réchauffement. Chocs électriques.
Marc ouvrit les yeux et nous écarquillâmes les nôtres.
Est-ce que nous aurions enfin réussi ?
Notre héros nous tira de notre stupeur en se levant d'un coup, s'agitant, brisant tout autour de lui et poussant des hurlements.
- Je les ai vus ! Ils sont là ! Ils sont partout. Pas possible de leur échapper, ils sont partout.
- Qui ? Mais enfin, qui donc ? interrogea Raoul de son ton le plus ferme.
- Les diables ! Il y a des diables partout et ils veulent me pousser dans un grand chaudron et me mettre à cuire. Je ne veux pas mourir. Je ne veux plus jamais les revoir. Ils sont trop horribles.
Certains disent: "C'était inscrit, cela devait se passer ainsi". Moi je ne crois pas aux destins préécrits. Je crois que les hommes font des choix et qu'ils les assument. Ce sont ces choix qui dessinent les destins et ce sont ces choix des hommes qui dessinent peut-être l'univers.
— Les écrivains « pas rasoirs », il n'y en a pas tellement, expliquait Raoul. La plupart des auteurs se figurent que plus ils sont incompréhensibles, plus ils paraissent intelligents. Ils étirent donc leurs phrases sur vingt lignes. Ils obtiennent ensuite des prix littéraires, et puis les gens achètent leurs bouquins pour décorer leur salon et faire croire aux personnes qui viennent chez eux qu'ils sont capables de lire des trucs aussi sophistiqués.
Le secret de la liberté, c'est la librairie.
Certains disent : « C’était inscrit, cela devait se passer ainsi. » Moi je ne crois pas aux destins préécrits. Je crois que les hommes font des choix et qu’ils les assument. Ce sont ces choix qui dessinent les destins et ce sont ces choix des hommes qui dessinent peut-être l’univers.
Mais s'agenouiller est indigne d'un combattant. Etrange, ce qui me vint à l'esprit en ce moment d'horreur, ce fut le souvenir d'un cours de tir à l'arc zen. Pour réussir son tir, il faut visualiser la cible dans son esprit. Alors on devient l'arc, le centre de la cible, la flèche même. Et la flèche à rendez-vous avec le centre de la cible.
Seuls vos vrais amis savent ou vous frapper pour vous faire mal