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Carlos Batista (Traducteur)
EAN : 9782266245487
576 pages
Pocket (07/05/2014)
  Existe en édition audio
3.88/5   595 notes
Résumé :
La célèbre paléographe Patricia Escalona est égorgée en pleine nuit dans la Bibliothèque vaticane, alors qu’elle y étudiait l’un des plus anciens manuscrits détenus par l’Église : le Codex Vaticanus.

Près de son corps, le tueur a laissé un message codé. Tomás Noronha, travaillant sur la restauration des ruines du Forum de Rome, est appelé sur le lieu du crime par la police judiciaire italienne : il a été le dernier contact de la victime.

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Critiques, Analyses et Avis (100) Voir plus Ajouter une critique
3,88

sur 595 notes
Chic ! de l'hérétique !

Un livre qui ne plaira pas à tout le monde et dont l'hérésie des propos sera souligné par ces mêmes personnes !
Un vrai livre de Saint Thomas par ailleurs. Méfie- toi José Rodrigues Dos Santos, l'église en a brûlé pour moins que ça !
Mais de quoi s'agit-il ?

D'une odyssée passionnante dans la vie de Jésus. D'une analyse historique sur les mythes théologiques.
Ce roman est très instructif et les thèses défendues peuvent apparaître comme crédibles même s'il sera difficile pour un esprit judéo-chrétien d'y adhérer. Ce sera évidemment plus simple pour les plus cartésiens. Mais que l'on soit croyant ou non, s'interroger sur sa foi ou son absence de foi est toujours utile. du coup les thèses de ce livre vous questionnent aux tréfonds de votre âme.
Les thèses sont intéressantes et paraissent fondées même si certaines sont un peu tirées par les cheveux ou limite intellectuellement parlant. Vous les reconnaîtrez facilement, ce sont celles sur lesquelles l'auteur ne s'attardent pas.
Dos Santos n'hésite pas à utiliser les mêmes artifices ou subterfuges que son personnage principal (qui s'appelle Tomas, tiens donc !) reproche aux rédacteurs des livres du Nouveau Testament. Mais l'ensemble tient la route. Et ne boudons pas notre plaisir, il est très dur de déscotcher de ce livre.

En revanche, si on se penche sur un point de vue purement littéraire, le jugement sera plus tranché. le style est pauvre, vulgarisé pourraient dire les bonnes âmes et les dialogues sont vraiment pitoyables, à la limite du risible parfois. Les personnages sont désincarnés et manquent de consistance et on croit pas du tout à ce qui s'y passe. Arrivé avec dix ans de retard, le lecteur aura l'impression de lire un mauvais pastiche du "Da Vinci Code".
Oui, l'intrigue est plate et le traitement du suspense très artificiel. C'est même irritant ces chapitres inutiles censés donner du rythme à l'ensemble mais dont l'utilité est franchement très discutable.

Alors croira ou croira pas ?

4/5 pour l'intérêt historique, 2/5 pour l'intérêt littéraire ce qui nous fait une moyenne de 3 et c'est super super super bien payé. Votre critique favori est trop généreux !
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Il est très difficile de faire une croix définitive sur une éducation chrétienne commencée dès la plus tendre enfance à grand renfort de catéchisme, de messes et d'actes de contrition. Mais avec l'âge adulte arrive le besoin de s'accorder un certain recul vis à vis de tous ces principes inculqués "de force" et évidemment suit le temps des interrogations. Je remercie donc l'auteur de ce "roman" pour avoir répondu à bon nombre de mes questions. Je mets "roman" entre guillemets car il est vrai que l'intrigue fictionnelle elle-même est secondaire, elle reste au service du but premier de José Rodrigues Dos Santos, faire connaitre la vérité sur les textes des Saintes Écritures en les exposant à l'oeil d'un historien. En préambule, l'auteur avertit le lecteur que toutes les données scientifiques et historiques sont réelles ; plus loin, il précise que seule la partie concernant la génétique et l'ADN de Jésus reste de l'ordre de la fiction.

A une autre époque, José Rodriguez Dos Santos aurait eu des démêlés avec l'Inquisition. Lors de la parution de ce livre dans son pays, il s'est simplement attiré les foudres de l'Église portugaise. Faisant preuve d'une déconcertante bonne foi, il a rétorqué qu'il était prêt à expurger toutes les erreurs de son roman si on lui en apportait les preuves. Pris au piège, les représentants de la chrétienté au Portugal ont répondu que "les gens n'étaient pas prêts à entendre ce genre de vérités"...

Moi, en plein doute, j'étais sans doute prête car j'ai adoré ce gros roman de presque 500 pages qui fait l'effet d'un pavé dans la mare. L'intrigue policière très discrète au début, presque perdue au milieu du démontage point par point des croyances qui trouvent leurs sources dans l'Ancien et le Nouveau Testament, prend de l'ampleur sur la fin. Je déplore cependant une écriture irrégulière, très précise et complexe lors des références aux textes bibliques, elle reste presque simpliste dans les dialogues du quotidien des protagonistes. Les confrontations entre la catholique traditionaliste, le juif conservateur, les scientifiques et l'historien sont quand même jubilatoires.
Malgré quelques redondances dans les explications, j'accorde 18/20 à ce roman qui met si bien la fiction au service de la vérité et qui, loin de vouloir saper les bases de l'éducation chrétienne véhicule finalement un message final de paix. La foi reste un élément si personnel que nul ne peut s'accorder les prérogatives de vouloir la transmettre aux autres sans tirer la couverture à lui et la modeler à son avantage.
Pour résumer, si vous êtes ouverts d'esprit au sujet de la religion, si vous voulez connaître la vraie histoire de Jésus et les fondements du christianisme, vous allez vous régaler avec ce livre. Dans le cas contraire, passez votre chemin, vous n'allez pas aimer...
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Ce livre d'un auteur que je ne connaissais pas avait tout pour me séduire et pourtant il n'a malheureusement pas répondu à toutes mes attentes !

Je vais donc tenter de vous expliquer ce qui m'a plu et déplu dans ce livre. Selon moi, ce livre est à considérer étant composé de trois parties distinctes. La première durant laquelle l'intrigue se met lentement en place et où l'historien, personnage central de ce livre, pose les fondement de son analyse critique de la Bible et où il nous présente son interprétation de celle-ci. La deuxième partie, quant à elle, porte exclusivement sur un travail de recherche historique et d'interprétation de différents passages des Testaments. C'est la partie la plus fastidieuse à lire, selon moi ! Non que les arguments qui y sont avancés soient inintéressants, mais plutôt parce qu'ils sont souvent redondants et qu'ils ralentissent grandement le récit ... n'oublions pas que ce livre nous est présenter comme un roman ésotérique et non pas comme une thèse de doctorat ès histoire. Dans la troisième partie, tout se met finalement en place et on est emporté dans un récit à la "Da Vinci code".

Donc au final, j'ai passé un très bon moment à la lecture de ce livre malgré les quelques inconvénients précités. J'y ai appris beaucoup de choses et j'ai également été incité à prendre mon PC pour en apprendre encore plus sur tout ce qui était développé dans ce roman. Toutefois, à mon sens, la deuxième partie aurait mérité d'être moins développée, ainsi le récit aurait gagné en fluidité et en cohérence.

Comme à chaque fin de lecture, la question métaphysique qui se pose à moi est : "Quel livre vais-je pouvoir lire maintenant ?" Si vous avez la réponse .... Aidez-moi !

Retour à ma petite manie de vous présenter un jeu de société en rapport proche ou lointain avec le thème du livre chroniqué !

Aujourd'hui, je souhaite vous présenter "De Vulgari Eloquentia" dont le rapport avec le livre chroniqué est que les joueurs vont pouvoir essayer de percer les mystères de la bibliothèque du Vatican et pourquoi pas prétendre à devenir le prochain Pape !
"De Vulgari Eloquentia" est un jeu dans lequel les joueurs sont à la quête de la connaissance de la langue italienne (la langue vulgaire par oposition au latin). Pour cela, il faudra parvenir à réunir les manuscrits des différents dialectes italiens ou à percer les secrets de la bibliothèque du Vatican ou, encore, à devenir un riche et puissant marchand. Ou plutôt les joueurs entreront-ils dans les Ordres afin de gravir la hiérarchie de l'Eglise, jusqu'à, pourquoi pas, devenir le prochain Pape.
Stratégie, anticipation et audace seront nécessaires pour affirmer votre statut social et briller par votre culture !
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On doit normalement éviter les sujets qui fâchent et notamment la religion dans les diners.
voici le livre idéal pour se fâcher avec tout le monde.
pour résumer, Jésus est un gros plouc de province, analphabète et bas du front, qui vient foutre sa merde à la fête foraine annuelle. ça aurait pu se terminer en cellule de dégrisement voire en HP, bon ils étaient un tantinet plus sévères à l'époque, ils préféraient la crucifixion.

L'auteur est un escroc, on attend un roman, on a droit à une photocopie de la bible pour un démontage en règle (je suis loin d'être contre l'idée mais c'est répétitif et gavant)
cherchez en vain une ligne de dialogue originale…la photocopieuse a chauffé

et le duo de qualité ….. une enquêtrice italienne catholique pratiquante à ma droite, parfaite dans la candide indignée au fil des révélations (la bible c'est que des mensonges et de la science fiction) et un historien à ma gauche, à la base cryptologue spécialiste en langues anciennes uniquement ; qui est très très con dans le premier tome, limite abruti; et là un génie en théologie disposant d'une mémoire phénoménale et d'un savoir encyclopédique des saintes écritures. Incroyable un miracle s'est produit entre les deux tomes.
En résumé, le livre est parfait pour faire avaler son hostie de travers à Christine Boutin, pour le reste (gardons un peu de suspens)… je n'ai plus qu'à prier qu'on ne m'offre surtout pas le tome 3.
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"Que celui qui n'a jamais péché jette la première pierre !"

Drame à la Bibliothèque Vaticane : un assassin s'est introduit en pleine nuit dans le bâtiment, et a égorgé une jeune femme en pleine étude de documents. Très vite, Tomas Noronha prof de son état est missionné pour résoudre l'énigme qu'est ce meurtre. Mais le tueur n'en est pas à son coup d'essai, et les égorgements s'enchaînent au cours de cette nuit fatidique. Les circonstances plus que mystérieuses de ces actes affreux vont pousser Tomas à faire des révélations bouleversantes sur la véritable nature de la Bible, qui plus est devant une assemblée catholique jusqu'à l'os...

"L'ultime secret du Christ" : avec un titre pareil, comment résister ? Surtout lorsque l'on voit le CV bibliographique ô combien palpitant de l'auteur.
Alors, promesse tenue encore une fois ? Et bien c'est un oui, même si cet opus m'aura un peu moins convaincu que les autres. C'est plutôt courageux de démolir une religion entière en 600 pages de roman policier, surtout avec cette ardeur (à côté, Da Vinci Code c'est de la gnognotte). Mais n'ayant jamais été trop attiré par ce genre de démontage en règle de la Bible, je me suis un peu plus ennuyé que dans les précédents tomes. C'est sûr, Jose Rodrigues Dos Santos ne fait pas dans la demi-mesure et se sert de son statut d'écrivain pour faire passer des messages qui ne feront pas l'unanimité. Mais ça... On le savait déjà.
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Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Un bruit étouffé attira l'attention de Patricia.
- Qui est là ?
Ce bruit semblait provenir de la salle d'inventaire, tout près de la salle de consultation des manuscrits, où elle se trouvait ; mais elle ne remarqua rien d'anormal. Les livres étaient là, alignés sur les rayons richement ornés de cette aile de la Bibliothèque vaticane, ils étaient comme assoupis dans l'ombre que la nuit projetait sur leurs reliures poussiéreuses. C'était sans doute la plus ancienne bibliothèque d'Europe, et peut-être aussi la plus belle, mais, le soir, il s'en dégageait une atmosphère inquiétante.
- Mon Dieu... murmura-t-elle pour chasser la peur irrationnelle qui venait de l'envahir. Je regarde trop de films !
Sans doute était-ce l'employé de nuit, pensa-t-elle. Elle consulta sa montre ; les aiguilles indiquaient presque 23 h 30. D'ordinaire, la bibliothèque n'était pas ouverte au public à cette heure-ci, mais Patricia Escalona était devenue une amie intime du prefetto, monseigneur Luigi Viterbo, qu'elle avait accueilli à Saint-Jacques-de-Compostelle lors du jubilaire de 2010. En proie à une crise mystique, monseigneur Viterbo avait décidé de suivre les Chemins de Saint-Jacques et, par le biais d'un ami commun, il avait fini par frapper à la porte de l'historienne. Elle l'avait hébergé chez elle, un bel appartement situé dans une ruelle juste derrière la cathédrale.
Lorsqu'elle était arrivée à Rome pour consulter ce manuscrit, Patricia n'avait pas hésité à solliciter le prefetto, qui avait aussitôt accédé à sa demande et, en remerciement de l'accueil qu'il avait reçu à Compostelle, il avait ordonné l'ouverture nocturne de la Bibliothèque vaticane.
Mais il fit encore davantage. Le prefetto exigea qu'on mît l'original à la disposition de Patricia. Bonté divine, il ne fallait pas ! avait répondu Patricia, un peu gênée. Les microfilms auraient amplement suffi. Mais monseigneur Viterbo tenait à la choyer. Pour une historienne de son envergure, avait-il insisté, seul l'original pouvait convenir.
Et quel original.
La chercheuse galicienne effleura de ses doigts gantés les caractères bruns, tracés par la main scrupuleuse d'un pieux copiste, et les pages de vieux parchemin maculées par le temps et soigneusement protégées par des films transparents. Le manuscrit était composé d'une manière qui lui rappelait le Codex Marchaliamus ou le Codex Rossanensis. Sauf que celui-ci avait bien plus de valeur.
Elle inspira profondément et en huma l'odeur singulière. Elle adorait ce parfum de poussière exhalé par le vieux papier... Elle contempla d'un regard amoureux les caractères menus et soigneusement alignés, sans ornements ni majuscules, du grec rédigé en lettres rondes et régulières, aux mots liés, comme si chaque ligne n'était en réalité qu'un seul et même verbe, interminable et mystérieux, un code secret chuchoté par Dieu au commencement des temps. La ponctuation était rare, ici et là apparaissaient des espaces en blanc, des abréviations de nomina sacra, et des guillemets inversés pour les citations de l'Ancien Testament, tout comme elle en avait vu dans le Codex Alexandrinus. Mais le manuscrit que Patricia avait sous les yeux était le plus précieux de tous ceux qu'elle avait pu approcher. Son seul titre imposait le respect : Bibliorum Sacrorum Graecorum Codex Vaticanus B.
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- Dites-moi une chose, demanda-t-il sans préambule. Quelle est la nature de l'alliance établie entre Dieu et le peuple juif ?
Pris au dépourvu par la question, l'inspecteur israélien cligna des yeux.
- Eh bien... Dieu nous a donné les tables de la Loi, avança-t-il. Il nous a élus comme son peuple et nous a accordé sa protection, en échange de notre respect envers sa Loi.
- S'il en est ainsi, comment expliquez-vous la destruction du Temple en l'an 70 et les multiples persécutions subies par les juifs, comme l'esclavage à Babylone, l'expulsion de la Terre sainte et l'holocauste ? Dieu ne vous a-t-il pas promis sa protection ? Comment se fait-il que tant de malheurs vous aient frappés au cours de l'histoire alors que vous bénéficiiez de son assistance ?
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Les historiens tiennent pour certain que Jésus était un rabbin de Nazareth qui a vécu en Galilée, qu’il était l’un des fils du charpentier Joseph et de sa femme Marie, qu’il a vraiment été baptisé par Jean Baptiste, et qu’il a rassemblé un groupe d’adeptes composé de pêcheurs, d’artisans et de quelques femmes de la région, auxquels il a prêché l’avènement du royaume de Dieu. Vers l’âge de trente ans, il s’est rendu à Jérusalem, où il a provoqué un incident dans le Temple ; on a procédé à son arrestation et, après un jugement sommaire, on l’a crucifié.
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Cependant, Tomas était conscient qu'il existait des situations ou la croyance sans certitude était inévitable. En matière d'amitié, par exemple. Pour être l'ami de quelqu'un , il faut croire en lui,croire qu'il est digne de notre confiance. Naturellement, cette foi se révèle parfois infondée. Il suffisait de prendre le cas de Valentina. N'était-ce pas là une preuve définitive que la croyance sans connaissance était dangereuse. Mais comment faire autrement? Allait-il soumettre chaque ami potentiel à une rigoureuse enquête préalable ? Passer en revue tout son histoire personnelle ? Cela n'avait aucun sens ! Il y avait des situations dans la vie ou il fallait croire sans guaranties . Celles-ci viendrait ensuite, naturellement. Mais d'abord , il fallait passer par la croyance. Ou, employer un autre mot, passer par cette foi. S'il en était ainsi dans les rapports humains, pourquoi n'en serait-il pas de même dans les rapports avec le divin et le sacré ? Tomas avait parfaitement conscience que les hommes avaient besoin de croire en quelque chose de transcendant. Jésus n'était qu'un être humain, mais aux yeux de ceux qui croyaient en lui, comme sa mère, il était devenu un Dieu. Quel mal y avait-il à cela, si cette croyance l'aidait à affronter ses problèmes et à faire d'elle un être meilleur ? N'avons-nous pas besoin de foi pour avancer ? La vie est fait d'incertitudes, d'un rapport permanent avec l'inconnu....
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L'inspecteur se retourna pour le dévisager et l'historien se sentit troublé. Elle avait des cheveux bouclés jusqu'aux épaules, un nez pointu et des yeux d'un bleu profond et limpide.
- Que vous arrive-t-il ? demanda-t-elle devant son air extasié. Vous avez vu le diable !
- Le diable, non, rétorqua Tomas, en s'efforçant de reprendre une certaine contenance. Un ange.
L'inspecteur eut l'air agacé.
- Il ne manquait plus que ça ! s'exclama-t-elle, en roulant des yeux. Un séducteur ! Les Romains ont bien laissé une descendance au Portugal...
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