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Citations de Homère (523)


When I had finished my prayers and invocations to the communities of the dead, I took the sheep and cut their throats over the trench so that the dark blood poured in. And now the souls of the dead came swarming up from Erebus – brides, unmarried youths, old men who had suffered greatly, once-happy girls with grief still fresh in their hearts, and a great throng of warriors killed in battle, their spear-wounds gaping and all their armour stained with blood. From this multitude of souls, as they fluttered to and fro by the trench, there came an eerie clamour. Panic drained the blood from my cheeks. I turned to my comrades and told them quickly to flay the sheep I had slaughtered with my sword and burn them, and to pray to the gods, to mighty Hades and august Persephone. But I myself sat on guard, bare sword in hand, and prevented any of the insubstantial presences from approaching the blood before I questioned Teiresias.
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La lune se leva sur la rive orientale et ses ailes revetirent un éclat argenté.
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Nous arrivons à l'île d'Eole, où habite le dieu des vents. C'est une île flottante, entourée d'une côte de bronze indestructible ;en son milieu, un pic pointe vers le ciel.
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Non tu n'es pas mon père Ulysse !Un dieu cherche à me tromper pour augmenter mon chagrin.
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Elle se demandait si elle devait interroger son époux bien-aimé ou s'approcher de lui et l'embrasser.
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- Seigneur Alcinoos, gloire de tout ce peuple, quel bonheur d'écouter un aède comme lui : il chante comme un dieu ! Pour moi il n'est rien de plus beau que les moments où le peuple partage une joie collective, et où les convives, assis en rangs dans les palais, écoutent chanter l'aède tandis que près d'eux les tables sont couvertes de pain et de viandes et qu'un échanson puise du vin dans un cratère pour le verser dans les coupes. Mon coeur aime cela plus que tout.
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C'est ainsi qu'en un tas ,gisaient les prétendants, rendant leur dernier soupir.
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C'est Zeus qui m'envoie jusqu'ici. Il dit que tu retiens contre son gré le plus malheureux des héros qui combattirent sous les murailles de troie, Aujourd'hui il t'ordonne de le renvoyer, car son destin n'est pas de mourir sur cette île loin des siens.

(Le repas terminé Hermes prit la parole)
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À la vœux d'Athéna, Odysseus, tout joyeux dans son cœur, obéit : entre les deux partis, la concorde est scellée par la fille du Zeus à l'égide, Athéna : de Mentor, elle avait et l'allure et la voix.
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[…] Seul Achille pleurait,
Rempli du souvenir de son ami, et le sommeil
Ne pouvait le dompter. Il se tournait, se retournait,
Regrettant la vigueur et la vaillance de Patrocle.
Il repensait à tous les maux endurés avec lui
À travers les combats cruels et les flots déchaînés.
Plein de ces souvenirs, il répandait de grosses larmes,
Tantôt couché sur le côté, tantôt face à la terre
Et tantôt sur le dos. […]
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Patrocle, exhortant ses chevaux ainsi qu’Automédon,
Poursuivit Troyens et Lyciens. Pauvre fou ! ce fut là
Sa grande erreur. S’il avait écouté le Péléide,
Il eût échappé à la sombre mort, déesse horrible.
Mais le vouloir de Zeus l’emporte sur celui des hommes.
Il met le brave en fuite et lui arrache la victoire
Sans peine, alors qu’à la bataille il le pousse lui-même.
Ainsi Zeus déchaîna l’ardeur dans le cœur du héros.
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Tenez, dieux, faites-en l’épreuve, et vous serez fixés.
Accrochez donc un câble d’or à la voute du ciel
Et suspendez-vous tous après, les uns contre les autres.
Vous aurez beau vous démener, vous ne parviendrez pas
À tirer Zeus, maître absolu, du ciel jusqu’à la terre.
Mais si de mon côté je me mettais à le tirer,
C’est la terre et la mer que j’entraînerais avec vous.
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Chante, ô déesse, le courroux du Péléide Achille,
Courroux fatal qui causa mille maux aux Achéens
Et fit descendre chez Hadès tant d’âmes valeureuses
De héros, dont les corps servirent de pâture aux chiens
Et aux oiseaux sans nombre : ainsi Zeus l’avait-il voulu.
Pars du jour où naquit cette querelle qui brouilla
L’Atride, gardien de son peuple, et le divin Achille.
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" Gens d'Ithaque, cessez ce pénible combat !
Au plus vite, sans plus de sang, séparez-vous !"
Ainsi dit Athéna, et la peur verte les [les pères des prétendants assassinés par Ulysse] saisit.
Des mains des hommes effrayés les armes s'envolèrent,
toutes tombèrent sur le sol à l'ouïe de la voix divine.
Ils se sauvèrent vers la ville, voulant vivre.
Ulysse l'endurant poussa un effroyable cri,
se ramassa et, comme l'aigle des hauteurs, bondit.
Mais le fils de Cronos fit tomber sa foudre fumante
aux pieds de la déesse aux yeux étincelants, sa fille ;
et Athéna, aux yeux brillants dit à Ulysse :
"Fils de Laërte, enfant de Zeus, industrieux Ulysse,
contiens-toi : interromps ce combat trop égal
de crainte que l'Assourdissant cronide ne t'en veuille !"
Ainsi dit Athéna. Il obéit, son cœur se réjouit,
et Pallas Athéna, fille du Porte-égide,
qui avait emprunté l'allure et la voix de Mentor,
institua entre les deux partis un durable traité [de paix].
(Fin de l'Odyssée, v.531 à 546, Chant XXIV, trad. Philippe Jaccottet]
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Elle dit, en Ulysse accroissant le désir des pleurs ;
il pleura, tenant sa femme fidèle, joie de son âme.
Bienvenue apparaît la terre aux naufragés
dont Poséidon a fait sombrer le beau navire
en haute mer, chassé par le vent et la houle ;
peu d'entre eux peuvent échapper à la mer grise, et nagent
vers le rivage : tout leur corps est ruisselant d'écume,
joyeux ils mettent pied sur la rive, loin du malheur :
ainsi fut bienvenu à ses yeux le mari,
et ses bras blancs ne voulaient plus se détacher du cou...
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La sage Pénélope alors lui répondit :
"Les songes, étranger, sont confus et parlent peu clair,
ils sont bien loin de tous se réaliser pour les hommes.
Car, pour les songes vacillants, il est deux portes :
l'une est faite de corne et l'autre l'est d'ivoire ;
les rêves arrivant par l'ivoire scié
sont rêves dérisoires, n'apportant que paroles vaines ;
mais ceux qui entrent par la corne bien polie
cornent la vérité au mortel qui les voit.
Or, je doute que soit venu par là ce redoutable
songe : nous en aurions, Télémaque et moi, trop de joie...
[Chant XIX, v. 559 - 569, trad. Philippe Jaccottet]
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Les hommes sont des êtres d'un instant ...
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(...)
Sur ces mots, Athéna le toucha de sa verge d'or.
Elle lui mit d'abord une écharpe lavée de frais
et une cape autour du corps ; puis le grandit, le rajeunit.
Il reprit son teint brun, ses joues se regonflèrent,
une barbe bleu-noir encadra son menton ;
cela fait, elle s'en alla ; Ulysse alors
entra dans la cabane. Télémaque fut ébloui
et, troublé, détourna les yeux, craignant un Immortel ;
puis il lui adressa ces paroles ailées :
" Te voilà, étranger, bien différent de tout à l'heure !
Tu as d'autres habits, ta peau n'a plus le même teint.
Sans doute es-tu l'un de ces dieux qui règnent sur le ciel.
Sois-nous propice : nous t'offrirons d'agréables victimes
et des présents d'or ouvragé : épargne-nous !"
En guise de réponse, Ulysse l'endurant lui dit :
"Je ne suis pas un dieu ; que me prends-tu pour un des leurs ?
Je suis ton père pour lequel, avec gémissements,
tu souffres mille maux et subis les excès des autres !"
Cela dit, il baisa son fils et, le long de ses joues,
laissa couler les pleurs qu'il avait longtemps contenus.
(...)
[Chant XVI, v. 172 - 191, trad. Philippe Jaccottet]
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- Mais tu n'as plus ta tête, Ô le plus gueux des hôtes !
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Le temps d'une vie passe si vite. Bientôt, Ulysse aura fait le tour de la sienne et il rejoindra Pénélope. La mort est-elle triste si, dans l'autre monde, quelqu'un vous attend ?
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