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Critiques de Suétone (33)
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Vies des douze Césars

Ce livre est à déconseiller pour une lecture classique, c'est-à-dire linéaire, sous peine d'indigestion. Il faut lire selon ses centres d'intérêts les détails de la vie de chacun des Césars: enfance, amour, mort... La préface de Benabou dans l'édition folio classique est elle aussi très enrichissante.
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Vies des douze Césars

Selon Pline le Jeune, Suétone était d’une grande probité littéraire et d’une curiosité historique remarquable, soucieux de vérifier les informations, les détails même les plus infimes susceptibles d’enrichir ses écrits. Pour cela, il compulsait les correspondances des empereurs, tous les autres manuscrits qui retraçaient leurs vies, leurs faits et gestes, il étudia même les graffiti qui couvraient les murs, recueillit les « cancans », l’intime comme l’officiel.

Alors cette galerie de biographies reste une œuvre indéniable pour mieux approcher, mieux connaître les douze Imperator, de Jules César à Domitien.

« De vita duodecim Caesarum », pour les latinistes, un livre fort utile, des « realia » appréciables pour illustrer des cours suivis à « l’Université populaire du temps libre » consacrés à « la beauté à travers les âges », certaines descriptions physiques contenues dans cet ouvrage et des visites réitérées au musée archéologique d’Arles permirent de mieux visualiser et d’apprécier les canons de beauté de cette époque .

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Vies des douze Césars

Les empereurs romains nous sont connus pour leur prestige et leur décadence. Qui n'a jamais entendu parler des méfaits de tel empereur ? Ce genre d’anecdote sordide qu'on trouve dans les films péplums où dans des romans... On n'ose pas croire qu'ils étaient vraiment 'tarés". Et pourtant, dés leur temps, Tacite et Suétone mettaient en image leurs cruauté, et ce même si les historiens disent que la plupart des crimes commis par les empereurs ont été exagérés où inventés.

J'aime beaucoup l'histoire et participant à une reconstitution de l'époque, j'ai pu trouver ce livre à un prix abordable. Et quel livre ! Suétone, contemporain de Tacide, qui raconte les splendeurs et misères de douze grands empereurs, de César jusqu'à Domitien. Et c'est un livre assez particulier.

Déjà parce qu'il a été écrit à l'Antiquité, donc normal que la langue et les termes soient différent du nôtre et je dis bonne chance à ceux qui veulent le lire en latin car il est déjà difficile à lire en français !

En effet, son contenu est grandiose, enrichissant, remplis de faits surprenants et incroyances et nous renseignant sur une partie historique importante, il est pas aisé à le parcourir, chaque partie du livre parlant entièrement de l'existence d'un empereur, divisant par petit chapitres naissance, adolescence, carrière militaire, stratégique, accession du pouvoir et mort... D'autant plus qu'avec les termes romains, il faut s'y connaitre... Heureusement que sur l'édition, ils ont glissé des notes pour qu'on s'y retrouve mais c'est pas un livre à offrir à un gamin.

Mais attardons nous sur le contenu : on a au menu César, Auguste, Tibère, Caligula, Claude, Néron, Galba, Othon, Vitellius, Vespasien, Titus et Domitien. Si certains noms vous sont familiers (César, Auguste, Claude, Caligula...), d'autres peuvent vous être inconnus (Othon, Vespasien...).

Suétone nous retrace à chacun d'eux leur origine puis leurs faits ayant rythmé leur vie, leurs gloires et leurs horreurs. Et il y en a pour toutes les couleurs !

Si au début, César et Auguste sont bien calmes, c'est avec Tibère qu'on aura droit au catalogue des fous. Car Suétone a beau nous décrire longuement les longues batailles qu'ils eurent mener, leurs affaires politiques et autres, c'est leurs folies qu'on retiennent plus facilement, et quelles folies ! Des folies symbolisant à elles seule la Rome débauchée : Tibère prenant plaisir à violer des enfants dans son île à Capri, Neron avec son incendie (quoique qu'on remet en doute sa responsabilité depuis...), tuant son épouse enceinte en lui frappant au ventre... et je vous parle pas de Caligula ! Lui, il en a un très joli tableau... La plupart des dirigeants des siècles après sont parfois un peu minus comparés à eux...

Les références historiques et culturelles qu'on connait sont amusante à voir dans ce livre comme les quelques lignes consacrés à Titus et Berenice... Le souvenir de la pièce de Racine qui viendra après...

Par contre, outre sa difficulté, c'est un gros pavé où il faut bien s'accrocher aussi.

Un livre historique très intéressante, nous renseignant sur les travers des empereurs, qui au final sont aussi les travers des hommes de tous temps.
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Vies des douze Césars

Suétone est une des sources principales de la période Julio-Claudienne. Pourtant, il est très largement déprécié, et ce depuis longtemps, par les historiens et les latinistes qui lui reprochent son coté très "Paris-Match", cancan, porté sur les affaires de mœurs plutôt que sur le côté "sérieux" de l'histoire.

Il offre très peu de renseignements économiques par exemple et se concentre sur les déboires et petites manies (ou grosses horreurs) des empereurs dont il dresse le portrait !

De plus, il commet régulièrement des erreurs, des imprécisions, et rapporte des faits sans en citer la source "on m'a dit que", "on rapporte de façon certaine que".

Nonobstant, c'est une oeuvre qui se lit vite, et bien car le style de l'auteur est fluide, riche en détail pittoresques et "comiques", on ne risque pas de s'ennuyer avec ces Césars là !

Un classique à lire, assurément !
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Vies des douze Césars

Cet auteur vaut beaucoup mieux que le souvenir que j'en gardais .

Le fait de le lire d'un seul jet permet de dépasser le côté croustillant, voir sordide de l'anecdotique pour entamer une réflexion sur le pouvoir et ses ravages. " le pouvoir rend fou , le pouvoir absolu rend absolument foue."
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Vies des douze Césars

Avant toute chose, il faut replacer cet ouvrage dans son contexte : Suétone écrit sur la dynastie des Julio-Claudiens puis des Flaviens à destination de l'empereur Hadrien, de la dynastie des Antonins. C'est donc une oeuvre de propagande, destinée à louer la sagesse et la tempérance des membres de cette nouvelle dynastie, par contraste avec ceux qui les ont précédés, présentés comme un ramassis de fous, d'assassins, de névrosés morbides, de crétins congénitaux, d'êtres titillés par l'envie d'inceste, de fratricide, de matricide, de parricide, bref des gens fort peu fréquentables et fort cruels ! ^^ Ces caricatures outrées servent également de repoussoir afin de prévenir Hadrien des dangers de la tyrannie.

Même si de nos jours, les historiens ont tendance à réhabiliter certains de ces premiers empereurs, Suétone a contribué à associer à leur image cette légende noire et sulfureuse qui a traversé les siècles. A la lecture, on sent combien Suétone se complaît, bien qu'il s'en défende, à rapporter tous ces ragots sur leurs moeurs scandaleuses («Il [Tibère] poussa la turpitude encore plus loin, et jusqu'à des excès qu'il est aussi difficile de croire que de rapporter», page 149 ; et pourtant, ce bon vieux Suétone ne peut s'empêcher d'en dresser la liste !^^). Et quand il ne s'étale pas sur leurs débauches, il ne nous épargne aucun détail sur leurs soucis de santé, même très intimes (ainsi, on apprend qu'Auguste rendait «de petits cailloux en urinant», page 112). Suétone atteint le sommet du mauvais goût en faisant allusion à la relation incestueuse de Néron avec sa mère : «toutes les fois qu'il se promenait en litière avec sa mère, il satisfaisait sa passion incestueuse ; ce que prouvaient assez les taches de ses vêtements», page 245 (seriously Susu, était-ce bien nécessaire ?!? C'est grave dégueu !).

Bien que l'accès de Suétone aux archives impériales est censé donner de la crédibilité à ses propos, on sent que ses biographies sont truquées, car, d'une part, les faits sont éparpillés, et d'autre part, certains passages d'une même biographie, voire d'une biographie à une autre, sont contradictoires entre eux ! D'ailleurs, les faits scandaleux qu'il rapporte sont parfois tellement outranciers que l'on ne peut s'empêcher de s'interroger sur la véracité de telles scènes !

Parfois, une touche d'humour (involontaire ?) vient alléger la noirceur du récit : telle cette anecdote sur Claude qui faillit émettre un édit permettant de «lâcher des vents à sa table parce qu'il avait appris qu'un de ses convives avait pensé mourir pour s'être retenu devant lui», page 222. Et moi j'ai failli mourir de rire en lisant ce passage, même si après coup, cette touche d'humour n'en est pas une mais la volonté affichée de ridiculiser toujours un peu plus ces empereurs.



Néanmoins l'ouvrage fourmille d'informations extrêmement intéressantes sur les différentes pratiques sociales, politiques, cultuelles... On se rend compte par exemple à quel point les Romains accordaient une très grande importance aux signes, annonciateur de bonnes ou mauvaises nouvelles ; en effet, ces signes prennent une grand place dans chaque biographie, pour annoncer la naissance puis la mort de chaque empereur.

D'ailleurs, les biographies sont construites exactement sur le même schéma : Suétone ne suit pas une trame chronologique mais une succession de thématiques écrites toujours dans le même ordre : description des origines familiales, carrière avant l'ascension au pouvoir, actions publiques, vie privée, apparence physique, mort, divers prodiges.







En bref :

Les + : une mine de renseignements sur la vie des Romains ; des détails croustillants sur les moeurs supposées des empereurs

Les - : des portraits orientés ; une certaine complaisance pour des détails d'un goût douteux ; quelques longueurs
Lien : https://parthenia27.blogspot..
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Vies des douze Césars : Claude - Néron - Biling..

Caius Suetonius Tranquillus (70 env.-env. 140) est tenu pour l'un des principaux historiens de langue latine, alors qu'il fut en réalité un biographe, et ne toucha à l'histoire que dans la mesure où les personnages dont il trace les portraits et raconte la vie appartiennent à l'histoire générale. Il est d'une époque où l'érudition tend à l'emporter sur la création. Suétone est un érudit, un chasseur d'anecdotes rares. Il dut aux circonstances de sa vie d'avoir pu en recueillir de très précieuses, notamment sur les empereurs du Ier siècle après J.-C., et les renseignements qu'il a ainsi transmis viennent combler en partie certaines lacunes (perte partielle des Annales de Tacite, et totale des autres historiens de cette période). L'originalité de Suétone, plus biographe qu'historien, réside dans le fait qu'il s'éloigne des annales chronologiques pour peindre le portrait des empereurs - description physique, généalogie, administration de l'empire. Il ne cherchait pas à décrire une époque historique, tel son contemporain Tacite, mais à étudier un homme qui occupe à un moment donné une charge exceptionnelle.
Lien : http://promenades-culture.fo..
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Vies des douze césars, tome 1 : César - Auguste

Suetone, chevalier de son état, un grade ne l'élevant pas au niveau aristocratique, ami et protégé de Pline le Jeune, donne ici une galerie de portrait hauts en détails et en couleurs

Cependant j'attire l'attention que si la lecture est plaisante et riche de détails, il ne faut pas prendre pour argent comptant tout ce qui rapporté. Par ailleurs il s'agit d’une compilation historique, Suetone est « un rapporteur » comme le sont nos journalistes d'aujourd'hui ou certains historiens, qui transforment l'histoire à leur manière, et de manière tout à la fois livresque et personnelle, voire partiale et infondée.

Les fameux empereurs maudits qui y sont brossés relèvent d'une mode et d'un parti pris évidemment politique.

Il faut abattre les mauvais gouvernants et les prédécesseurs pour flatter le nouveau Cesar au pouvoir, pour s'en faire remarquer et obtenir de lui des avantages et des montées en grade.

Ainsi Néron et Domitien, pour ne citer qu'eux, sont décrits sans complaisance et avec une mauvaise foi évidente, ce fait concernant principalement Domitien que connurent Suetone et Pline, et qui, pour plaire à Trajan, n'ont cessé de dévaloriser dans tous leurs écrits et faits et gestes. Tacite n'a pas dérogé à cette règle.
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Vies des douze césars, tome 1 : César - Auguste

Pour connaître des détails extrêmement précis, dont on peut se demander s'ils sont véridiques. Pour briller au cours d'initiation au latin, si cette matière existe encore en 5ème...
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Vies des douze césars, tome 1 : César - Auguste

Que de cris, de calculs, de larmes et de trahisons pour tant d'espoirs et d'attentes volées et assassinées aux premières lueurs d'un siècle en éveil.
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Vies des douze césars, tome 1 : César - Auguste

J’ai lu il y a longtemps les biographies « romancées » (l’auteur n’était pas un grand romancier) de Jules César et Auguste par Roger Caratini. Je me décide enfin à aller voir l’une des quelques sources antiques.

Pourquoi Suétone plutôt que Tacite ? Ben… j’ai pris le premier qui m’est passé sous les yeux.

Est-ce une bonne pioche ? Ben… je vais faire une réponse de Normand.



D’un point de vue masse d’informations on est servi. C’est carrément exhaustif. Tout y passe ; Suétone n’oublie aucun détail. Les grands moments de l’Histoire sur lesquels les auteurs insistent en général sont traités avec la même célérité que les petits détails. Chez César la guerre des Gaules est expédiée en une page et la bataille de Pharsale (face à Pompée) en deux lignes. Pas mieux pour Octave/Auguste pour la bataille de Philippes (allié à Marc Antoine contre Cassius et Brutus, les assassins de César) ou Actium (contre Marc Antoine et Cléopâtre).

Les actes législatifs des deux hommes sont énumérés avec précision. On en apprend beaucoup sur les difficultés de César lors de sa préture ou de son consulat ; il a eu de nombreux échecs. On se rend compte de l’ambiance d’intrigue et de la violence des séances du Sénat. Pour Auguste, une fois son pouvoir installé, ça n’est pas la même chanson ; on sent bien la soumission du Sénat.

Suétone décrit le physique des deux hommes dans leurs détails les plus scabreux, ce qu’ils aimaient manger, comment ils se détendaient, leur vie amoureuse et leurs incartades. Une grande place est laissée aux présages qui ont émaillé leur vie – il semble qu’Auguste ait toujours été averti de ses victoires et même de sa mort avant que ces événements n’aient lieu – et aux songes qu’ils ont pu faire.

Bref, ce livre est une bible pour les étudiants en Histoire et pour les écrivains ou scénaristes qui veulent évoquer ces personnages dans leurs œuvres.



Mais le style est d’une sécheresse effroyable. L’émotion en est absente. J’ai parfois eu l’impression de lire un dictionnaire. Malgré tous les détails apportés par le texte, à aucun moment on a l’impression de pénétrer dans la tête de César et Auguste, de saisir leur psychologie. Même Roger Caratini fait mieux, c’est dire. Quant à l’entourage, ce ne sont que des ombres sans substance. Pompée, Calpurnia, Crassus, Livie, Germanicus, Tibère sont présents mais uniquement dans la mesure où ils interagissent avec les biographiés. De leur existence on ne saura que peu de choses.

Je me souviens de la série Moi Claude, Empereur, adaptée du roman de Robert Graves. De l’ambiance « Game of Thrones » qui y régnait, des infâmes complots de Livie pour mener son fils Tibère au pouvoir. Rien de tout cela ici.



Je continuerai Suétone bientôt avec Tibère et Caligula. Je sais à quoi m’attendre à présent : de l’information, peu d’émotions. C’est quand même dommage.

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Vies des douze césars, tome 1 : César - Auguste

Je veux seulement vous donner un poème /aperçu sur l'un des empereurs romains.



Elagabulus



Hérodian et aussi Edward Gibbon,

me font revivre dans vos mémoires,

et avec moi les empereurs Néron

ou Caracalla… Dans les vieux grimoires

de vos greniers vous lirez leur histoire

et la mienne et comment de Varius

je devins l’empereur Elagabulus.



À l’âge où l’on va encore à l’école,

des lambeaux de Rome j‘étais l‘empereur;

chaque sept jours j’allais sous la coupole

du sénat, comme un improbable acteur

qui se pavane pour ses adulateurs,

offert à tous, catin fardée soutenue

sur mon char par sept vierges nues.



Et ils m’attendaient les teens en transes,

comme une extravagante drag queen,

moi, empereur de Rome, premier trans;

j’étais le soleil de ma vie divine

rythmée par les lignes de cocaïne

pour supporter la greffe du vagin

qui me ferait roi de toutes les putains.



Je disais les noms, urbi et orbi,

de mes cinq femmes, le nom de mon mari,

l’esclave Hierocles de Carie;

j’étais sa chose, à lui toujours soumis,

en pensées le jour, dans son lit la nuit.

Je chérissais les rêves de désir

avant les petites morts du plaisir.



Grand prêtre du temple en Emesene,

je voulus être l’époux de Tanit

la déesse, Vénus Carthagène,

et celui de la vestale de granit

à qui en de sélénites coïtes

réservés aux accouplements divins

j’aurais fait des enfants presque humains.



C’est ce voulait mon âme virginale;

je ne fus que la gouape racoleuse

devant le bordel international,

cette métamorphose luxurieuse

de mon palais, résidence luxueuse

où je vivais dans un cauchemar d’Éros,

rêve de Cupidon sur son lit de roses.



En Mars, quelque jours avant les Ides,

j’avais dix-huit ans, c’était en vingt deux

du second siècle, des soldats apatrides

me pénétrèrent de leurs dards furieux

mettant un terme à mes jours licencieux.

Les eaux du Tibre nous charrièrent en enfer

moi, à peine ado, et avec moi ma mère.



Et maintenant que le monde a vieilli,

moi, prêtre du soleil et dépravé

tel que j’étais dans cet empire ramolli

le temps à travers les âges m’a laissé,

en l’innocence de ma lascivité;

les vieux acheteurs de lubricité.

jalousent tous ma vraie ambiguïté.















 ©Mermed


Lien : http://holophernes.over-blog..
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Vies des douze Césars, tome 2 : Tibère. Caligul..

Suètone a fait des Vies des douze césars, une biographie très partiale et postérieure de quelques empereurs emblématiques. Outre le côté historique, à prendre avec quelque précautions, on y retrouve des détails croustillants et des ragots dignes d'un magazine people des temps modernes.

A découvrir, pour changer de regard sur la vie des romains.
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