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Critiques de A. J. Finn (259)
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La femme à la fenêtre

Un roman policier désormais incontournable dans le genre du thriller domestique et pour cause : ce dernier se passe quasiment que depuis une maison - l'héroïne étant agoraphobe suite à un traumatisme. Fan de vieux films noirs, fan aussi de verres très réguliers dans la journée mélangés aux médicaments, vivant seule avec son chat, Anna voit un soir, un crime chez ses voisins qu'elle espionne régulièrement. Toutefois, l'a-t-elle vraiment vu ou imaginé sous l'impulsion de l'alcool ?



Tout le récit tourne donc autour des pensées - souvent défaillantes - de notre héroïne, qui va évidemment se dévoiler et révéler son passé, tout en menant l'enquête sur ses voisins. Personnellement, j'ai trouvé certains rebondissements attendus (l'origine du trauma d'Anna est facilement identifiable), toutefois la personnalité trouble d'Anna la rend attachante, ainsi que les nombreuses références aux films noirs (notamment Fenêtre sur cour, forcément). Une lecture facile mais plaisante.
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La femme à la fenêtre

La femme à la fenêtre raconte l’histoire d’Anna Fox, une pédopsychiatre, agoraphobe et assez portée sur l’alcool qui n’a rien d’autre à faire que de jouer aux échecs et espionner ses voisins. Elle va être témoin (du moins le pense-t-elle) d’un meurtre dans la maison d’en face. Cependant, elle est tellement névrosée et alcoolisée qu’elle n’a aucune crédibilité et donc personne ne la croit. Alors qui a raison ? A-t-elle vraiment vu quelque chose ou est-ce des hallucinations ?



Pour tout dire j’ai été très déçue de ce livre dont on a beaucoup entendu parler, qui est considéré comme un des best-sellers de cette année et dont les droits ont déjà été achetés pour en faire un film.

L’aspect qui m’a le plus dérangé dans la première partie du livre c’est la très forte ressemblance avec « La fille du train » de Paula Hawkins, livre que je n’avais pas particulièrement apprécié. En effet, le personnage principal et la trame de fond sont tout à fait similaire : une femme isolée qui boit et qui est témoin d’un crime et évidemment personne ne la croit. S’en est tellement similaire à certains moments que je suis étonnée que Paula Hawkins n’ai pas tenté de procès pour plagiat.

Par ailleurs, l’écriture est peu soutenue parfois même enfantine avec des expressions niaises du genre « Oh mon dieu, je suis complètement ivre. » Un problème de traduction reste cependant possible.

On voit venir les « rebondissements » depuis des pages, on s’en doute, c’est gros comme une maison et à la longue c’est décevant… Et puis, miracle, passé la page 350 (j’ai bien cru que je n’y parviendrai jamais), enfin un vrai rebondissement et la situation s’améliore enfin. La fin du livre est plus palpitante, les choses s’accélèrent et on veut connaitre la vérité.

Personnellement, je m’étais doutée de la fin mais je devine assez souvent…



En bref, grosse déception au début avec une belle amélioration pour la seconde partie de l’histoire. Je reste cependant très septique notamment à cause de la grande ressemblance avec « La fille du train ».
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La femme à la fenêtre

Lecture mitigée
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La femme à la fenêtre

Il y a longtemps que je n’ai été autant absorbée par un livre . J’ai éprouvé beaucoup d’empathie pour Anna Fox qui souffre d’agoraphobie et se noie dans des litres de Merlot et les mélange allègrement à ses médicaments . Peu à peu s’insinue le doute en nous . A t-elle tout imaginé du crime dont elle dit avoir été témoin ou est -ce bien la réalité ? On souffre avec elle , on a peur avec elle , on voudrait l’aider à sortir de son enfermement . Le cœur battant et totalement happée par le récit , j’ai dévoré ce livre et senti la peur m’envahir à plusieurs reprises . Oppressant , bouleversant ! A lire absolument .
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La femme à la fenêtre

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman, j'ai du interrompre à deux reprises ma lecture (et je n'y suis revenue que parceque je n'avais rien d'autre sous la main). j'ai finalement réussi à rentrer dedans, j'ai même été captivée à plusieurs moments, mais je garde un gout d'inachevé, un sentiment de "peut mieux faire". je ne décrirais pas ce thriller comme "haletant", plutot comme un "page turner". qui se lit vite et s'oublie aussi vite à mon avis.

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La femme à la fenêtre

N° 1 des ventes aux États-Unis et au Royaume-Uni depuis sa parution, avant de créer l’évènement lors de la Foire de Francfort où ses droits se sont vendus dans plus de 38 pays en un temps record, avec son premier livre, A.J. Finn entre par la grande porte dans le monde du thriller. La Fox est déjà en train de l’adapter pour le cinéma.



Anna existe derrière les portes et les fenêtres fermées de sa maison, les couleurs qui peuplent ses journées sont sombres et mornes. Elle est à la fois recluse à à l’intérieur et l’extérieur, puisque Anna souffre d’agoraphobie, ce qui la maintient enfermée comme prisonnière de sa propre maison et de son propre esprit.



Ses seules interactions avec le monde extérieur sont les visites hebdomadaires à domicile de son psychiatre, son physiothérapeute et son locataire au sous-sol, David. Anna est séparée de son mari, Ed, et de leur jeune fille, Olivia, ce qui entraîne une existence solitaire et suffocante. Les appels téléphoniques quotidiens ne semblent tout simplement pas remplir le vide.



Sa rare source de plaisir, elle l’a tire de la surveillance de ses voisins à travers l’objectif de son appareil photo… Une manière d’aller vers le monde extérieur, de le faire venir à elle…



C’est un thriller psychologique qui se lit bien, assez lent sur une grande partie, mais dont les divers interrogations accrochent le lecteur.



La claustrophobie de l’emprisonnement traumatique est palpable, l’amour de l’écrivain pour les films classiques ajoute à l’atmosphère tendue où les références et les dialogues brouillent la réalité avec une présence « hitchcockienne » quasi constante.



Même si le livre donne la sensation d’avoir beaucoup emprunté à d’autres thrillers ainsi qu’à quelques-uns des vieux films qu’Anna regarde, on est pris dans le suspense et on veut découvrir la fin mot de cette intrigue.



Pour autant, celle-ci est un peu longue à se mettre en place. On a tendance parfois à s’embrouiller entre les différents états psychotiques d’Anna, sa paranoïa palpable et intense.



L’auteur, A.J Finn, a réussi à m’entraîner dans le monde d’Anna, ressentant sa terreur et vivant ses pensées, mais certaines d’entre elles sont devenues répétitives au point d’être lassantes…



Malgré quelques incohérences, notamment avec la quantité de pilules et de merlot qu’Anna consomme, elle devrait être écroulée… Cela ne gâche pas trop la lecture. En effet, le personnage d’Anna est vraiment intéressant, l’auteur prend le temps de le construire et devient plus attachant que sa propre histoire trop, convenue, et prévisible…



L’auteur distille les indices avec parcimonie pour accrocher son lecteur. Un bon scénario, avec des rebondissements prévisibles, mais qui se lit bien. Avec un final que l’on n’imagine pas. On referme le livre avec un sentiment de soulagement de quitter cette maison où on se retrouve enfermé au même titre qu’Anna.



Une centaine de page en moins aurait permis d’élaguer les passages trop longs, pour autant l’intrigue est fluide et se laisse lire malgré les points négatifs on ne s’ennuie pas… L’écriture a une plume simple, directe avec un style simple mais assez visuel, maitrisé. On sent que l’auteur maitrise les codes de l’écriture, vu qu’il a travaillé dans une maison d’édition, mais il n’a pas non un style qui se démarque et sans être le plus travaillé, il fait son job pour raconter son histoire.
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La femme à la fenêtre

Dès que j’ai entendu parler de ce titre lors de sa parution, comme tout le monde, j’ai tout de suite pensé au chef-d’oeuvre d’Hitchcock, "Fenêtre sur cour". Ayant adoré ce film, il me fallait vérifier que nous n’assistions pas ici au plagiat du siècle.



Alors l’histoire, tout d’abord



L’intrigue est finalement très simple : on suit l’histoire d’une femme, Anna Fox, sur trois semaines. Psycho-pédiatre de formation, Anna est, en fait, devenue agoraphobe suite à un événement dont on ne connaîtra les circonstances que plus tard. Totalement recluse chez elle où son quotidien se résume à boire du merlot et à regarder des films en noir et blanc, ses seules relations avec le monde extérieur se limitent à échanger au téléphone avec son époux et sa fille, à communiquer sur l’Agora, forum de discussion en ligne, avec d’autres agoraphobes et, surtout, à regarder ce qui se passe chez ses différents voisins. Elle finit d’ailleurs par jeter son dévolu sur la famille Russel qui vient d’emménager et dont le fils , Ethan, et la mère, Jane, vont venir troubler le peu de quiétude qu’elle était parvenu à conserver dans son existence. Jusqu’au jour où elle assiste à distance à ce qu’elle pense être le meurtre de Jane par son époux Alistair. Commence alors pour elle un véritable enfer car qui peut croire les allégations d’une agoraphobe à tendance alcoolique de surcroît ? Certainement pas la police. Elle n’aura alors pas d’autre choix que de tenter de surmonter ses angoisses afin de résoudre ce mystère. Mais, tout comme le lecteur, elle apprendra à ses dépends que, dans ce genre d’affaire, les apparences sont souvent trompeuses…



Du Hitchcock mais pas seulement



Réglons tout d’abord la problématique hitchcockienne. Alors, oui, on ne pourra pas le nier, on a quelques parallélismes avec le film précédemment cité. Anna, tout comme James Stewart, est bloquée chez elle (certes, pas pour les mêmes raisons mais quand même). Tout comme lui, elle passe son temps à mater ses voisins avec son appareil-photo. Alistair Russel n’a pas grand-chose à envier à Raymond Burr en apparence même si ses motivations vont s’avérer très différentes. Enfin, la femme du voisin disparaît… enfin, pas tout à fait, je vous laisse le découvrir. Mais la comparaison s’arrête là.



Une chose est sûre : l’influence est là d’autant qu’A.J. Finn semble être un cinéphile accompli tant la culture cinématographique en matière de vieux films américains en noir et blanc d’Anna est développée. On pourra d’ailleurs s’amuser à essayer de reconnaître certaines œuvres dont seules, des bribes d’intrigue sont dévoilées dans le roman. Pour ma part, j’ai cru en reconnaître un (même si je doute, maintenant, en l’écrivant car il est en couleur) : "Papillon" de Franklin J. Schaffner. Un autre parallèle cinématographique m’a sauté aux yeux en lisant le roman. L’attitude d’Anna Fox n’est pas sans rappeler celle de Sigourney Weaver dans "Copycat" de Jon Amiel. On notera notamment le parallélisme entre les deux personnages lorsqu’elles doivent affronter le monde extérieur : on se souviendra, par exemple, de la scène où Sigourney Weaver cherche à récupérer le journal jeté trop loin de la porte de son appartement. Autre parallélisme évident mais cette fois-ci en littérature : celui avec le personnage de Rachel Watson dans "La Fille du train" de Paula Hawkins qui ne parvient pas à convaincre son entourage de ce dont elle a été témoin en raison de son alcoolisme et des médicaments pris à son insu.



Un huis-clos haletant



On reconnaîtra que ce roman reste un thriller haletant. Une fois ouvert, on ne le lâche plus même si l’intrigue en elle-même n’est pas d’une originalité transcendante. C’est bien écrit, le rythme est soutenu, les rebondissements placés aux bons endroits. Un bon roman en cas d’insomnie.



Après, moi qui ne suis pourtant pas très perspicace en matière de résolution d’énigme, j’ai quand même compris le gros du dénouement une centaine de pages avant la fin en repérant l’indice qui tue. Et n’oubliez pas : les apparences sont souvent trompeuses !



Autre élément intéressant : je trouvais très original le traitement de la famille d’Anna Fox dans le roman… jusqu’à . Déçu, j’ai été !



Mon chouchou



Comme d’hab, le très sexy locataire du rez-de-chaussée, David ! Là encore, j’aurais quelques propositions d’acteurs pour interpréter son rôle. N’hésitez pas à me consulter si vous êtes intéressé.



En définitive, un thriller psychologique bien ficelé et à recommander de toute urgence
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La femme à la fenêtre

La femme à la fenêtre (2018) a été écrit par Daniel Mallory sous le nom de plume de A.J. Finn et a nécessité un an d’écriture; le livre a été écrit comme un scénario de film, avec des chapitres ultra courts et une forte imprégnation cinématographique essentiellement sur les films en noir et blanc du répertoire hitchcockien (Sueurs froides, Fenêtre sur cour…) ou de Cukor (Hantise). En tant qu’éditeur new-yorkais reconnu , Mallory était bien placé pour devenir l’auteur d’un super ventes à la suite des livres Gone Girl de Gillian Flynn en 2012 et La fille du train de Paula Hawkins en 2015. De sa carrière d’éditeur il a gardé le sens (amplement réussi) de l’impératif commercial: son credo d’éditeur était « Must Have Plot » (l’intrigue est primordiale).



Le livre est un gros pavé de plus de 500 pages divisé en 100 chapitres courts avec une bonne intrigue qui rend la lecture addictive par moments. Je dis par moments car j’ai éprouvé parfois un peu de lassitude à cause du côté un peu répétitif de l’histoire et aussi à cause du temps qu’a mis l’auteur pour nous révéler l’origine du comportement pathologique de la protagoniste.



Loin de moi le désir de vous raconter les méandres de ce bon thriller psychologique, bien que ce soit plutôt un roman de stratégies qu’un roman psychologique. Je vous laisse le plaisir de découvrir les mille détails de l’intrigue car tout est si bien décrit que l’on sent les odeurs et que l’on entend les bruits…



En bref, Anna Fox est une pédopsychiatre de 38 ans qui sera en état de choc post traumatique, confinée dans sa grande maison de Harlem à New York, atteinte d’agoraphobie sévère, bourrée de psychotropes et qui picole du merlot à longueur de journée. Elle s’embête à mort et passe la journée à espionner les voisins, connaît tout sur leurs mouvements (11 mois qu’elle est confinée) et pousse le vice jusqu’à les prendre en photo. Les choses vont se compliquer, c’est évident. Pourtant Anna Fox n’est pas n’importe qui; elle est psychiatre, elle a de la jugeote. Mais peut-on avoir confiance dans ses propos après tout ce que je vous ai révélé à son sujet? C’est le point crucial. Et bien réussi. La fin m’a bien surpris, chapeau l’auteur.



Il y a un petit point qui m’a choqué. C’est quand cette femme de tête, Anna Fox, prend la décision de reprendre sa voiture à la montagne, en pleine nuit et en pleine tempête de neige. Irresponsabilité totale ou acte manqué?
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La femme à la fenêtre

Un thriller domestique comme on en voit beaucoup. Rien d'exceptionnel mais ça se laisse lire. J'ai aimé le fait que l'héroïne aime les vieux films.

Je me rends compte que je n'aime plus trop ce genre littéraire car c'est souvent le même schéma narratif.
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La femme à la fenêtre

Très bon thriller. Le personnage de la pédopsychiatre m'a beaucoup plu. Sa psychologie est très bien rendue grâce à un style efficace qui sait avancer finement en tenant le lecteur en haleine. A. J. Finn a su installer une atmosphère de tension et de mystère avec dextérité et intelligence. Le dénouement, très réussi, surprend et termine parfaitement cette histoire aux accents hitchcokiens.
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La femme à la fenêtre

J’ai succombé aux sirènes du marketing et à la mise en place inévitable de ce premier roman de A. J. Finn. Quelques heures de lecture plus tard, mon constat est mitigé… La quatrième de couverture en dit finalement trop : sachant qu’il y a un retournement de situation inattendu (le twist annoncé par Val McDermit), la lectrice que je suis a finalement… attendu le revirement du récit, mettant en doute tout ce que vivait Anna… Comme la Babéliote Janessane, je n’ai ni été surprise, ni étonnée. Je n’ai pas deviné le fin mot de l’histoire, l’auteur ne nous donnant pas toutes les clés pour démêler uniquement par la réflexion ce quasi huis-clos, mais j’avais au bout de cinquante pages les grands fils de la narration.

Pas de magie (ni de mérite !) dans cela, seulement la reconnaissance de techniques d’écriture propres au thriller qu’à force de lecture on finit par reconnaître.

Pour autant, « La femme à sa fenêtre » n’est pas un mauvais livre. A. J. Finn a bien travaillé et a créé une atmosphère particulière, confinée et angoissante, propre à vriller ses personnages. L’auteur a également bien révisé ses classiques, et les références cinématographiques mériteraient à elles seules une analyse plus poussée. Le parallèle entre les séquences de films que regarde Anna et ce qu’elle vit devrait mettre à jour des similitudes intéressantes.

Plus qu’un thriller original, « La Femme à la fenêtre » me laisse l’impression d’un bon hommage au cinéma américain des années 40, un clin d’œil à ces acteurs et réalisateurs de renom qui ont, via la pellicule, fait frémir et questionner des générations de cinéphiles. Comme scénario de film, le roman de Finn cadrera parfaitement (quoique la question se pose : une ressuçée de « Fenêtre sur cour » est-elle nécessaire ?). Comme roman, je n’y ai pas trouvé l’originalité, la création, la patte indélébile d’un grand auteur… Mais il faut dire que je suis extrêmement exigeante…
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La femme à la fenêtre

Un polar digne de ce nom. Tout le long du livre nous nous posont une seule question : le personnage principal a-t-elle vraiment vue ce qu'elle pense avoir aperçue chez ses voisins ou a-t-elle halluciné ? L'auteur se débrouille très bien pour nous faire tourner en bourrique jusqu'à la fin du livre. Je recommande.
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La femme à la fenêtre

Ce polar se déroule dans les quartiers chics de New-York. Vous allez faire la rencontre d'Anna, menant une vie tranquille au goût de vins, bêta-bloquants, antidépresseurs et informatique. Et comme vous vous en doutez, tout à coup tout bascule. Bonne lecture !
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La femme à la fenêtre

Un thriller captivant écrit comme un film que l’on regarderait à la télé comme fenêtre sur cour.

Un petit temps avant que ça se mette en place environ une 100aine de pages mais rien de longuet l’auteur met en place le contexte du livre.

On essaie de comprendre pourquoi Anna est si fragile si meurtrie.

Et puis après ce meurtre qu’elle voit à la fenêtre tout s’accélère et là on se laisse manipulé par l’auteur on cherche on doute je n’au absolument rien vu venir!

Je vous le recommande vivement il mérite d’être lu et connu!

8,5/10
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La femme à la fenêtre

Bon livre très prenant mais j'ai découvert quelques bouts de l'intrigue au fur et à mesure de ma lecture. Un peu prévisible donc
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La femme à la fenêtre





Anna agoraphobe vit seule dans une maison sous l'emprise des médicaments et l'alcool , elle passe son temps à espionner ses voisins .Un jour elle est témoin d'un crime . Es-ce le fruit de son imagination ou la réalité ?

Que va-t-on découvrir ?

Une première partie extrêmement longue , la moitié du livre .Il faut attendre les 150 dernières pages pour enfin avoir de l'action .

Je me suis ennuyée en première partie et réveillée en seconde. Un twist final auquel je ne m'attendais pas !

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La femme à la fenêtre

Anna Fox, pédopsychiatre vit seule avec son chat dans sa grande maison vide. Séparée de sa famille, elle est atteinte d'une forme complexe d'agoraphobie et n'est pas capable de mettre ne serait-ce qu'un pied dehors. Alcoolique, dépressive, bourrée de médocs, elle passe son temps à la fenêtre à épier ses voisins, armée de son Nikon D5500.

Elle est, de ce fait, témoin de beaucoup de choses comme le fait que Madame Miller trompe son mari. Mais juste en face, au 207, une nouvelle famille, les Russel, s'installe et là, tout bascule.

Je me suis dit, au début, qu'il ne se passait rien puis petit à petit je me suis rendue compte que j'étais branchée à une perfusion, qu'une drogue s'instillait petit à petit dans mes veines, que mes neurones étaient atteints les uns après les autres.

Je suis dans la tête d'Anna. Je respire avec elle. Je bois avec elle. (Je vous dis pas la gueule de bois 😜) Je souffre avec elle. Je m'interroge avec elle. Je deviens clairement aussi folle qu'elle au point que je ne sais plus très bien qui je suis !

Cette atmosphère lourde, pesante, cette folie m'a tourneboulé le cerveau comme dans une essoreuse à 1400 tours minutes. Plus rien n'a de sens, tout est confus, dilué dans les relents d'alcool, étouffé par les benzodiazépines.

Suis-je dans la réalité ? Dans le délire d'une femme malade ?

Des références cinématographiques à la pelle. Des vieux films en noir et blanc qui truffent ce récit, qui l'accompagne comme pour lui tenir la main. Cette impression de se retrouver dans un bon vieux Hitchcock version Manderley.

Ce n'est, certes, pas de la supra grande littérature. C'est clairement tout public mais il faut le dire, l'avouer, c'est rudement efficace ! La preuve, me suis retrouvée prise au jeu et n'ai pas pu le lâcher !

Et vous ? Serez-vous capable de suivre Anna ? De l'accompagner dans son délire ? De lui tenir la main ? De boire avec elle ?
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La femme à la fenêtre

Anna Fox ne sort pas de chez elle. Elle a un mari et une fille qui sont partis, elle vit donc seule dans une grande maison.

Et comme elle est agoraphobe, sa vision du monde extérieur se limite à ses voisins qu'elle observe de ses fenêtres.

Et "observer les autres, c'est comme tourner un documentaire animalier : on ne se mêle pas de la vie des bêtes".



Les jours s'écoulent lentement entre bouteilles de vin, médicaments, parties d'échecs, observation du voisinage et visionnage de vieux films.



Mais lorsqu'un jour, elle aperçoit dans la maison d'en face sa voisine, Jane Russell, blessée et perdant du sang, Anna ne peut que s'en mêler.



Elle prévient la police et essaie d'intervenir.

Mais comment croire aux délires d'une femme alcoolique et dépressive ?

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J'ai adoré ce thriller psychologique.

L'ambiance est pesante dès le départ, on sent que quelque chose se trame.

Et lorsque le drame arrive, on doute, on essaie de comprendre où l'auteur veut nous emmener. Et celui-ci ne se prive pas pour nous envoyer sur de fausses pistes.



Est-ce qu'Anna a réellement assisté à un meurtre ? Ou est-ce que le cocktail médicaments/alcool lui donne des hallucinations ?



On ne sait pas, on ne sait plus et le suspense grandit au fil des pages. La tension augmente et le final est incroyable.



C'est un huis-clos oppressant et les presque 600 pages se lisent en un rien de temps tellement on a hâte de connaître la vérité.



J'ai aimé la série, commencé à regarder le film, mais tous deux n'arrivent pas à la cheville du livre.

Je recommande !
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La femme à la fenêtre

Je viens de terminer ce roman et wouah !!! Ce thriller m’a fait froid dans le dos, j’ai eu une belle trouille au moment de découvrir le dénouement et je ne m’attarde pas sur le résumé pour ne gâche la surprise de personne. Mais cela m’a fait penser au suspens dans les vieux films noirs dont l’héroïne est fan.

Anna psychiatre agoraphobe est éloignée de sa fille et de son mari. Elle n’arrive pas à sortir de chez elle passe son temps à regarder des vieux films, à jouer aux échecs, faire des consultation en ligne et à observer ses voisins avec son Nikon, jusqu'au jour où elle assiste à la mort de sa nouvelle voisine ou de ce qu’elle croit être sa nouvelle voisine. J’ai tout de suite été charmée par le personnage son ton posé malgré tous ses tourments, le calme qui règne chez elle, ses astuces pour ne pas avoir à sortir, les références à son expérience en tant que psychiatre pour enfant. l’ambiance devient inquiétante, il se passe des choses qu’elle ne contrôle pas dans sa maison mais comme elle allie ses médicaments à sa passion pour le Merlot, les policiers,ses voisins ou son psychologue ont du mal à la croire et elle finit elle même par douter de ce qu’elle a fait ou non.

SI j’ai eu peur, froid dans le dos et que je me suis posée beaucoup de questions durant ma lecture, j’ai également ressenti une grande tristesse pour cette femme, sa situation, le drame qu’elle a vécu. J’ai adoré et l’auteur m’a bien menée par le bout du nez !!


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La femme à la fenêtre

Anna est agoraphobe. Elle ne sort donc jamais de chez elle. Un jour alors qu'elle espionne la famille qui habite en face, elle croit apercevoir sa voisine se faire tuer mais quand la police arrive ladite voisine est bien vivante. Anna a-t-elle eu une hallucination ? Pourtant elle est sûre de ce qu'elle a vu. Elle décide de mener l'enquête. Un bon polar psychologique dans la veine de « La fille du train ».
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