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Citations de Abigail Barnette (48)


— Écoute, tu es malade, vraiment très malade, il faut t’y faire. Personne ne t’en voudra si tu vomis, si tu fais dans ton pantalon, ou si tu es tout simplement grognon pendant la journée entière. Arrête de faire semblant d’être bien pour faire plaisir aux gens. Arrête de faire semblant de pouvoir faire semblant
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Parfois, il faut se débarrasser de certaines choses pour nettoyer la route qu’on veut emprunter.
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— D’accord, d’accord, capitulai-je en faisant la grimace. La nuit, c’est différent. On peut être sales, voire vicieux. Mais les matins n’ont rien de sexy. Et puis, j’ai l’air…

— Tu as l’air d’un canon de beauté ! m’interrompit-il, puis il m’embrassa et chassa une mèche de mes cheveux. Tu as l’air d’une femme qui a eu son compte hier soir, qui se réveille en sueur – il s’interrompit pour enfouir le nez dans mon cou et respirer profondément – et qui empeste le sexe, avec une seule idée en tête : recommencer.

— Qui empeste ? C’est du joli !

Bizarrement, aussi franc soit-il, il me rassurait.

— Sophie, je me fiche que ton mascara ait coulé, ou que tes cheveux soient emmêlés. Tout ce qui m’intéresse, c’est d’avoir cette jeune femme à la sensualité affirmée, qui a la moitié de mon âge et qui réclame de faire les pires choses dans ma chambre.

— Et dans la cuisine.

— On peut tenter aussi quelques positions dans la salle de bains, enchérit Neil en s’enfonçant plus encore.
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— Ne t’inquiète pas. L’attente est un excellent moyen de faire grimper l’impatience.
— Une attente de six ans ?
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Il lut le doute dans mon regard et posa une main sur ma joue. Cette main glissa ensuite derrière mon cou pour m'approcher de force vers un long baiser.
Ma bouche s'ouvrit instinctivement sous la sienne. J'eus un soupir fébrile. Enfin,pas moi. Mais plutôt la soumise du maître,celle qui dormait depuis trop longtemps. Je me sentis fondre contre son torse. Un bras musclé me serra plus fort.Ses lèvres explorais ma joue de baisers affamés. Il me mordilla l'oreille avant de chuchoter :
- On dirait que tu portes une robe...de mariée.
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- Comme si tu étais la seule chose qui donne un sens à sa vie,dit Gena sur un ton triste.
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- Vous êtes fous l'un de l'autre, je vous envie pour ça. J'aimerais trouver un jour quelqu'un qui me regarda de la même façon que Neil te regarde.
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Je n'avais jamais voulu d 'enfant,et pourtant le spectacle du beau mec qui s'occupe d'un bébé me faisait craquer à tous les coups. Il n'y avait rien de plus sexy qu'un homme assumant pleinement sa virilité tout en accomplissant une tâche supposée féminine.
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-Tu me veux pour toi toute seule,avoue-le,s'amusa Neil avec ce sourire qui me faisait fondre depuis le tout premier jour.
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Il ne manquait plus qu’un fumigène et une chanson de métal des années 1990 pour accompagner son arrivée. Façon bibliothécaire sexy, elle portait une jupe crayon noire moulante et une chemise blanche. Comment une femme avec une telle poitrine pouvait-elle se permettre de porter une chemise ? Elle était forcément taillée sur mesure, car les boutons tenaient bon. Son long pull à torsades était d’un rouge ocre et terne en comparaison avec ses cheveux flamboyants. Ses longues boucles ondoyaient sur ses épaules, retenues par ses lunettes de lecture à épaisses montures noires dont elle se servait comme d’un serre-tête improvisé.
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La mort nous privait d’une part entière de nos vies. On ne nous avait pas demandé notre avis. Impossible de revenir en arrière, de faire appel, de tout effacer pour recommencer à zéro.
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Un fossé nous séparait. Son chagrin était la pelle qui continuait de creuser. J’aurais aimé l’aider, mais ce fossé m’empêchait de me rapprocher.
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- Vous pouvez à présent échanger vos alliances, déclara le bonhomme.

Ian glissa la mienne à mon doigt en murmurant :

- ça y est, je t'ai attrapée, tu es à moi maintenant.
- Je l'ai toujours été, rectifiai-je.
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Je levai les yeux.
Il était là-haut.
Son regard croisa le mien. Je dus me retenir de ne pas grimper les marches quatre à quatre. Sa poitrine se soulevait par saccades et son sourire s'agrandit lentement. Je n'eus pas à courir pour le rejoindre puisqu'il s'empressa de descendre vers moi.
Il se pencha pour m'embrasser la joue.
- Tu portes du blanc.
- Évidemment, c'est notre mariage.
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- Mais je sais qu’il t’aime. Parce que chaque fois que vous sortiez, pendant votre séjour ici, je cassais un nouveau ressort du canapé, et il ne s’en est jamais plaint.

Ma mère avouait ses méfaits avec une fierté presque malsaine. De mon côté, je ne voyais vraiment pas ce que cela prouvait, mis à part que j’avais une mère complètement givrée.

— Mais c’est horrible ! lui ai-je reproché. À quoi tu joues ? À une crève-la-faim qui joue sa version de Autant en emporte le lit ?

— Je joue à la mère qui prend soin de sa fille !

Je dus me mordre la joue pour ne pas rétorquer que celle qui avait besoin qu’on s’occupe d’elle, c’était la folle dingue qui s’acharnait sur son canapé-lit à coups de ciseaux pour prouver un point de vue complètement improbable.

N’empêche, j’appréciais qu’elle soit prête à sacrifier son mobilier pour s’assurer de mon bonheur.
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- Tu es l'homme de mes rêves, Ian. Je veux que tu sois l'homme de ma vie.
- Moi aussi, je veux être l'homme de ta vie.
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- Penny ?
- Oui ?

Pour ce genre de chose, il ne faut pas y aller par quatre chemins.

- J'aimerais t'embrasser, mais tu as une haleine de chacal.
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J'enfouis le visage dans son cou et respirai son odeur.Cet homme,aussi excitant qu'insupportable,détenait une partie de mon cœur et m'avait offert en échange une partie du sien.
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__ Tu as marqué mon âme d'une trace indélébile, et mon cœur est tout à toi pour l'éternité.
Je ne me suis jamais sentie autant aimée,même s'il me comblait chaque jour dé son amour inconditionnel.
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__ Je veux rencontrer celui qui m'inspira confiance et avec qui je pourrai imaginer un avenir.Quelqu'un qui à les même envies que moi et qui sera prêt à prendre son temps pour les combler.
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Ça a débuté comme ça . J'étais en prison avec Jésus et ......?............., une soif terrible me tenaillait.

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