Adam Nevill

Je suis un peu mitigée après la lecture de ce livre: la quatrième de couverture qui m'a poussé à acheter ce livre me laissait entendre autre chose que ce que j'ai trouvé à l'intérieur de Barringhton House...J'ai beaucoup aimé l'ambiance glauque, malsaine et un peu creepy des lieux. Le côté qui m'a le plus plu est l'enquête que mène Apryl pour savoir ce qui est arrivé à sa grand tante, dont les circonstances de la mort sont encore assez incertaines...On change de point de vue à chaque chapitre, ce qui était intéressant mais parfois complexe à suivre. Tout le côté qui concerne "l'artiste glauque" du roman est assez compliqué à comprendre : sa vision du monde et la raison pour laquelle il peignait ce qu'il peignait reste quant à elle très vague...Je ne me suis pas trop attachée aux personnages, trouvant qu'Apryl était tantôt sûre d'elle, tantôt comme une gamine et même parfois "trop" dans le côté séduction que je ne n'ai pas trop compris d'ailleurs... Le personnage de Seth était intéressant, même si brouillon (tout comme beaucoup de passages du livre). Certains passages traînent en longueur ou n'ont pas grand intérêt...cependant l'idée de base de l'histoire est intéressante: la façon dont elle a été traitée était un peu maladroite pour moi: certaines explications sont tirées par les cheveux, et il faut s'accrocher pour vraiment tout comprendre du premier coup. Même la fin reste très floue, nous n'avons pas vraiment d'explication sur le pourquoi du comment: ce qui me laisse une impression étrange, comme si je ne retenais que le côté "fantastique" alors que je m'attendais réellement à un thriller psychologique. Bizarrement, même si je me suis ennuyée à certains moments, j'avais très envie de tourner les pages et de découvrir la suite (l'histoire met du temps à s'installer, et selon moi, tout devient intéressant à partir de la bonne moitié du livre). Je suis toutefois contente de ne pas avoir abandonné, même si ce n'est pas un livre qui va me marquer, j'ai passé un moment "bizarre", et je pense que c'est l'effet recherché avec ce livre...

J'ai bien aimé la première partie, l'ambiance est pesante, oppressante même, telle qu'on peut s'y attendre. Mais je ne m'attendais pas à la deuxième partie que je n'ai absolument pas aimé. J'ai été totalement perdue par les explications, les personnages sont caricaturaux et je me suis décrochée de l'histoire. Et que dire de la fin... Déception !

Ce livre ma rappelé un peu shining , très bonne lecture

Un roman horrifique qui a très bien fait son job et qui en plus de m'avoir empêché de dormir, m'a aussi mise très mal à l'aise. C'est glauque, malaisant et en en même temps très prenant. Bref je suis contente d'être passée outre les nombreux avis plutôt négatifs que j'ai pu voir un peu partout et suis bien contente d'avoir découvert ce roman qui m'a personnellement beaucoup plu.

Je remercie les Éditions Bragelonne pour m'avoir permis de découvrir cet auteur et ce livre qui me tentait depuis plusieurs mois.



Je suis friande du thème englobant 'terreur', 'fantastique', 'horrifique' et j'en passe. Aussi, j'ai commencé très vite ce roman dont la couverture était également très attrayante. Mais je dois dire que je reste un peu dubitative sur mon ressenti.



J'aime frissonner lorsque je me lance dans ce genre de livre, et ici, autant j'ai aimé l'histoire, autant je n'ai pas eu ce que j'y attendais, juste quelques frémissements.



L'histoire est contée à la fois par Apryl qui vient d'hériter d'un appartement à Londres d'une grande-tante inconnue. Ce logement est lugubre et la découverte de ses carnets de vie rendront la tâche plutôt ardue à Apryl pour démêler ce qui se passe réellement depuis 50 ans dans cet immeuble qui donne la frousse à tous les propriétaires assez âgés pour avoir vécu à cette époque.



De l'autre, nous avons Seth, jeune étudiant peintre qui travaille comme portier de nuit dans cet immeuble et qui malgré lui, va se retrouver confronté à une présence malsaine qui chamboulera toute sa perception de la vie et de la non vie.



Une seule règle: on ne rentre JAMAIS dans l'appartement 16.



La débrouillardise d'Apryl, sa lucidité contrebalance l'état d’aliénation dans lequel Seth va se confiner, se laisser bercer par ce qu'il pense être des hallucinations. Tout se joue entre ces deux personnages qui vivent en parallèle des évènements particuliers. Autant Apryl cherche des réponses, s'investit, prend des décisions plus ou moins claires, autant Seth y voit enfin la reconnaissance de ce qu'il peut être capable de faire sous une emprise mystérieuse.



L'histoire va crescendo dans les révélations du drame qui s'est déroulé il y a plusieurs décennies, malheureusement, elles se diluent car entrecoupées de longueurs descriptives qui m'ont perdue en chemin. L'auteur revient régulièrement sur des faits qu'il a déjà conté qui n'apportent rien de plus à l'histoire. Du coup, les palpitations qui m'ont assaillies retombaient et je me désintéressais de l'analyse qu'il en faisait.



Pour autant, le thème abordé était fascinant et les apparitions furtives auraient dû pouvoir en faire un livre terrifiant, avec cette fin en apothéose que j'ai particulièrement apprécié.

Je laisse à chacun le soin de se faire son propre avis, le mien étant mitigé.



Comme l'auteur a publié deux autres livres traduits en français, je ne resterai pas sur cette simple impression de sa plume et j'en découvrirai un autre pour me faire une idée plus précise de sa manière d'écrire.



Enjoy!
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Il est rare que j'abandonne un livre. Et pourtant... c'est ce que j'ai fait avec le roman d'Adam Nevill ! Pourtant la 4ème de couverture nous promettait de bons moments de terreur. Certes, le roman débute plutôt pas mal, mais je me suis très vite ennuyée. le personnage principal est quasi inexistant au profit du personnage censé être secondaire. Bref, je trouve l'histoire assez embrouillée, et c'est dommage, l'idée de départ était intéressante mais mal exploitée.

abandon de lecture car je ne vois pas ou l'auteur veut en venir de plus le fait de changer de personnage au fil des chapitres m'ennuient beaucoup je suis perdue dans le raisonnement de l'auteur

J'avais été échaudée par la lecture de Appartement 16 que je n'avais pas du tout apprécié mais cette fois, je dois dire que j'ai apprécié cette histoire de randonnée qui tourne mal... Luke, le héros est en marge de ses 3 potes : Phil, Dom et Hutch. Comme Phil et Dom ne sont pas fichus de marcher correctement, Hutch décide de couper à travers bois... Clairement, c'était pas une bonne idée. Les deux premiers tiers du bouquin sont absolument parfaits en terme d'horreur et d'angoisse. Je suis moins fan de la dernière partie, le côté groupe de métal suédois obsédé par le mal ne m'a pas convaincue, je l'ai trouvé cliché. Idem pour la vieille femme et le côté fantastique (il faut dire que dans le même genre, j'ai lu l'excellent Songe d'Adam il y a peu). La fin ne m'a pas tellement plue, pour le coup, je l'ai trouvée un peu trop ouverte. Sur le style de l'auteur, je le trouve assez décousu et je dois reconnaitre que je n'accroche pas trop





Ce que j'aime : la première partie du roman, angoissante à souhait. Les relations entre les 4 héros





Ce que j'aime moins : le twist final, cliché tout comme le groupe de rock





En bref : Un bon roman horrifique mais le style décousu et la fin ne m'ont pas transportée





Ma note





5,5/10
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Pas mal mais sans plus. Les chapitres sont concis, ce qui rend la lecture limpide.



Ce roman d’épouvante ne donne quand même pas envie de se perdre en forêt ! Un peu déçue vers la fin, qui a mon sens mérite un peu plus de frissons.



Promenons-nous dans les bois pendant que la créature n’y est pas !
Lien : http://www.exquimots.fr

« Derniers Jours » est un thriller surnaturel.



Malgré quelques longueurs, ce roman m’a fait froid dans le dos, car la tension grimpe progressivement comme dans un film. Ambiance « Rec » ou « Blair Witch » selon les goûts… Le résultat est le même, il nous fait frémir !



Salutations d’Exquimots !
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Partir en randonnée pour quelques jours, c'est bien. Se retrouver perdu en pleine forêt au milieu de symbole sataniste c'est beaucoup moins bien. C'est pourtant ce qui arrive aux héros du livre "le rituel" d'Adam Nevill.



Le livre en lui-même m'a fait passer un bon moment de lecture. On y retrouve quelques idée du film "Projet Blair Witch", film que j'apprécie beaucoup.

Je dirais même que le livre est coupé en deux partie (ce qui est le cas il me semblent xD) : une partie davantage axé sur la mise en place de l’atmosphère, qui se révèle par ailleurs oppressante à souhait, et une partie axée sur la survie du(des) survivant(s).



"Le rituel" se révèle être une bonne découverte à mi-chemin entre thriller et fantastique. Il demeure réel, oppressant et se lit assez rapidement. Je le conseille!

Quatre amis, piégé dans une forêt où se déroule des rituels pas très très chrétiens, voilà le speech de départ de "Le rituel".

Dans un premier temps, ce livre est divisé en deux parties. Afin d'éviter tout spoil, je me contenterai de décrire la première et de survoler la deuxième.

La première me fait penser à "Projet Blair witch". Le style est fluide, on rentre facilement dans l'histoire et on ressent très vite les diférents sentiments de nos malheureux randonneurs.

La deuxième partie se lit tout aussi rapidement mais de manière différente. Si la première partie est davantage prise de conscience et recherche de solution, cette deuxième partie est beaucoup plus axé sur la survie.



en bref, un bon roman que je conseille au fan de thriller flirtant avec le surnaturel, qui se lit assez rapidement et permet de passer un moment de lecture angoissant mais reposant.

Blair Witch Project reminiscences..

I really had fun reading the first half of the book. When Hutch, Dom, Phil and Luke get trapped in the forest, can't find a way to get out of its intricate paths and vegetation. I think it was well-built, the tension is fine, we feel absolutly terrified by the "something" that follows them through the wilderness until the first murder happens. But I must admit I have problems finishing the book. Once Luke "escapes" the forest and is trapped by the mad crew that lives on its edges, the story becomes long and annoying. I sense it's always the same old story again, you feel like nothing new emerges from the lines you read, it is boring and long. I don't know what's the point or where Nevill wants to go, I don't undersand what he aims at doing.

I will try finishing it but must say I'm disappointed with this novel, which had a terrifyingly good start though ;-(

Malgré une quatrième de couverture très prometteuse, j'ai été très déçu par ce roman. Les personnages de ce livre semblent tout aussi perdus que le lecteur dans des scènes totalement sordides dont l'explication arrive très tardivement. On peut appeller ça du suspense, si seulement le lecteur ne meurt pas d'ennuie avant la fin.

Apryl, une jeune américaine apprend que sa grande-tante Lillian est décédée et lui lègue un appartement à Londres à Barrington House. L'endroit est chic, ancien digne des grands immeubles des années 50. Intriguée par cette femme qu'elle n'a jamais connu, Apryl décide de fouiller dans sa vie avant de vendre l'appartement et toutes les richesses qu'il contient. Mais quand elle tombe sur ses journeaux intimes, l'atmosphère se gèle. Lillian paraissait folle à lié, hallucinant et effrayée de tout ce qui l'entourait. Elle semblait même incapable d'aller plus loin que quelques boutiques autour de l'immeuble. Décidée à connaitre la vérité, Apryl va enqueter sur ce qu'a été la vie des vieux pensionnaires de l'immeuble et se retrouver face à l'impensable qui habite dans l'appartement 16.

C'est angoissant au tout début. Avec Apryl, on suit aussi l'histoire du portier de nuit, Seth qui dès les premiers chapitres est "appelé" par l'appartement 16 et devient possédé, hallucine et devient fou. Comme on ne sait pas du tout dans quoi on s'embarque avec l'histoire de Seth et ses rêves ignobles c'est efficace. Et puis ca s'essoufle de plus en plus quand on devine plus ou moins la suite de l'histoire. C'est un Chair de poule pour adulte ou c'est angoissant au début, où on croise de vrais esprits vengeurs/tueurs et ou la fin ne présage que le pire. C'est bien mais c'est dommage que cela ne soit pas plus original et que la qualité de la quatrième de couv ne se retrouve pas dans le texte.

Dans l'immeuble très select de Barrington House, dans un quartier huppé de Londres, un appartement est pourtant inoccupé depuis plusieurs années. Personne n'y rentre jamais et les concierges et autres gardiens de nuit ont pour consigne de veiller à ce que la porte en reste bien fermée. Mais lors d'une ronde, Seth, un étudiant en arts plastiques qui a pris le travail de veilleur de nuit pour libérer ses journées, entend un bruit étrange qui émane de ce fameux appartement 16. Sa curiosité va être plus forte que les consignes mais il ignore dans quoi il va plonger. Pendant ce temps, Apryl, une jeune Américaine, arrive dans la résidence pour vider l'appartement de sa vieille grand-tante qu'elle n'a jamais connue et qui vient de décéder mystérieusement dans un taxi alors qu'elle tentait de quitter Londres pour les Etats-Unis …



J'ai un peu de mal à rédiger un résumé tentant vu que je dois avouer que je me suis plutôt ennuyée lors de cette lecture qui, pourtant, me semblait prometteuse (il ne faut jamais se fier aux couvertures !!!!). Je suis une fan d'histoires de maisons hantées et quand j'ai vu cette histoire d'appartement toujours fermé dans lequel il s'est passé (et il se passe encore) des choses étranges, voire horribles, j'ai forcément été interpelée ! Mais encore une fois, j'ai été déçue (je deviens très difficile dès qu'il s'agit d'une bonne histoire fantastique). Le début s'annonce assez bien mais ça se met très vite à trainer en longueur, à se délayer dans les détails pas très effrayants et si le rythme s'accélère quand même un peu vers le dernier tiers, il est quand même déjà trop tard pour éveiller mon intérêt ou quelque empathie pour les personnages (même si j'ai quand même assez apprécié Apryl). Quant à la fin, elle est plutôt abrupte et tourne court, comme si l'auteur n'avait pas su comment conclure une histoire dans laquelle il s'était enlisé. Pour faire court, au cas où ça intéresserait malgré tout quelque lecteur, il faut que je précise que cela parle aussi d'art mais avec une touche fantastique bien évidemment mais dans le genre, j'ai lu bien mieux. Le roman m'a plusieurs fois pensé à des livres de Graham Masterton, mais eux, bien mieux tournés et inquiétants alors qu'Apartment 16 a surtout eu le mérite de m'endormir au lieu de me faire frissonner d'effroi !