Agnès Maupré

Nous reprenons l'histoire où elle s'est arrêtée dans le tome 1 : Aurore vient de passer son brevet, elle participe à ses premières soirées et a rencontré le frère de son ami Samira. Le brevet en poche, Aurore va découvrir, après l'été, sa première année de lycée. Ses résultats ne seront pas encore glorieux. Avec ses ami.e.s, ce n'est toujours pas simple, elle voit beaucoup moins Lola, sa meilleure amie.

Avec sa famille, c'est toujours compliqué, d'autant qu'elle ré-emménage chez ses parents, après avoir passé plusieurs mois chez ses grands-parents. Elle décide de faire des efforts pour améliorer les relations, notamment en se montrant plus joviale.

La grande nouveauté est qu'elle va intégrer un groupe de rock, et qu'elle chantera ses compositions personnelles.

Aurore évolue dans ce second opus. On la voit grandir, notamment parce qu'elle devient tata, qu'elle entre au lycée, et elle prend confiance en elle en faisait partie de son groupe de musique. Elle a toujours son caractère bien trempé mais semble davantage ouverte aux autres. Comme toute adolescente, elle garde des préoccupations de son âge : amitié, amour, sont les thèmes récurrents.



Aurore est touchant et plus plaisante dans cette histoire, car elle pleurniche un peu moins, elle ne se remet pas perpétuellement en question, et se montre moins froide avec son entourage. Elle devient adulte. Ses maladresses sont toujours présentes et drôles.


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Ce n'est plus le temps des amourettes, mais celui de la vengeance pour Milady. On voit du coup plus les Mousquetaires dans ce tome, mais les hommes apparaissent faibles, sans volonté par rapport à celle qui engage une lutte pour sa survie. Moins original que le premier tome, car reprend plus les éléments connus de l'intrigue.

Je suis une passionnée d'histoire depuis toujours, et j'aime particulièrement l'histoire de France. Ainsi quand j'ai découvert les livres d'Anne-Sophie Silvestre, j'ai eu l'occasion de me pencher sur l'histoire du Chevalier d’Éon, cet homme androgyne qui pouvait s'habiller autant en homme qu'en femme et qui par ce talent se verra confier le rôle d'espion pour Louis XV.



J'avais beaucoup aimé parcourir son histoire sous forme de roman, mais quand j'ai vu qu'il existait des BD je n'ai pas pu m'empêcher de craquer.

J'ai tout de suite été conquise par le dessin d'Agnès Maupré et par les couleurs utilisées qui mettent parfaitement l'histoire en valeur, sans pour autant se focaliser seulement sur l'aspect esthétique du livre.

L'histoire elle-même vaut la peine d'être découverte, le Chevalier d’Éon n'ayant pas toujours eu une vie facile.



La série comporte deux tomes qui présentent à eux seuls l'histoire complète. Nul besoin de se ruiner pour la découvrir.

Enfin, à moins de vouloir découvrir l'autre série de BD de l'autrice, cette fois sur Milady de Winter, la grande ennemies des Trois Mousquetaires.
Lien : http://www.cranberriesaddict..

Je suis une passionnée d'histoire depuis toujours, et j'aime particulièrement l'histoire de France. Ainsi quand j'ai découvert les livres d'Anne-Sophie Silvestre, j'ai eu l'occasion de me pencher sur l'histoire du Chevalier d’Éon, cet homme androgyne qui pouvait s'habiller autant en homme qu'en femme et qui par ce talent se verra confier le rôle d'espion pour Louis XV.



J'avais beaucoup aimé parcourir son histoire sous forme de roman, mais quand j'ai vu qu'il existait des BD je n'ai pas pu m'empêcher de craquer.

J'ai tout de suite été conquise par le dessin d'Agnès Maupré et par les couleurs utilisées qui mettent parfaitement l'histoire en valeur, sans pour autant se focaliser seulement sur l'aspect esthétique du livre.

L'histoire elle-même vaut la peine d'être découverte, le Chevalier d’Éon n'ayant pas toujours eu une vie facile.



La série comporte deux tomes qui présentent à eux seuls l'histoire complète. Nul besoin de se ruiner pour la découvrir.

Enfin, à moins de vouloir découvrir l'autre série de BD de l'autrice, cette fois sur Milady de Winter, la grande ennemies des Trois Mousquetaires.
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Le Journal d’Aurore, en trois tomes, j’avais adoré. Aurore, je l’avais côtoyée, choyée, aimée. Bref, imaginée. Alors forcément, quand j’ai lu les premières pages de l’adaptation en bande dessinée, il y a eu la fameuse confrontation entre le personnage inventé dans ma tête et celui qui prenait vie devant mes yeux. Que faire ? J’ai choisi de ne pas me laisser gâcher le plaisir. Si cette Aurore n’était pas la mienne, tant pis, elle en serait une autre. J’ai laissé de côté le souvenir du roman et j’ai plongé dans la bande dessinée. Grand bien m’en a pris : j’ai savouré chaque rebondissement de la tumultueuse vie d’Aurore. Cette bd a du peps, elle décoiffe tout en donnant envie de flâner, elle colorise la vie, elle se savoure à chaque page.

Ma conclusion : que vous soyez adeptes ou non du roman, foncez découvrir cette bande dessinée pleine de réalisme qui dépeint la vie d’une ado nécessairement différente et unique. Et Aurore, sache qu’on t’aime toujours.
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Une découverte : la BD ! Je ne l'aurais pas cru et pourtant, je viens de m'acheter une BD de type ado : "le journal d'Aurore".

J'ai été attirée par un article car cette BD va être portée prochainement sur nos grands écrans!

Et cela m'a donné envie de la découvrir. Les dessins de cette adolescente jamais souriante sont attrayants.

En tous les cas, je crois bien que c'est la première BD que je m'offre alors même que je ne l'aurais pas imaginé.

Un pur plaisir que je n'imaginais pas et que je souhaitais partager avec vous!

Même si Aurore estime que sa vie a moins d’intérêt que celle d’un rat-taupe sur les plateaux d’Abyssinie, elle décide d'écrire son journal intime. Résultat : « Hier : rien. Aujourd’hui : rien. Demain : rien de prévu. » Heureusement, dans la vie désespérément ennuyeuse d’Aurore, il y a Jessica, sa grande sœur. Quand, au cours d’un repas, Jessica annonce qu’elle a l’intention de se faire percer la langue, Aurore est prise d’un fou rire devant la réaction horrifiée de ses parents. Et Aurore a enfin quelque chose à raconter dans son journal.



L’avis de Chloé, 14 ans : J'ai adoré cette BD et la conseille à tous ! 



L’avis de la rédaction : Une BD très réussie, pleine d’humour et de gags, comme les romans dont elle est l’adaptation. Autre bonne nouvelle pour les fans d’Aurore : ses mésaventures sont également adaptées au cinéma, dans un film d’Émilie Deleuze, Jamais contente, qui sortira en salle le 11 janvier prochain !

J'avais déjà lu le Journal d'Aurore. Je souhaitais me faire un avis de l'adaptation en bande-dessinée. Je l'ai lu d'une traite. Aurore est en 3ème. Elle est la cadette d'une famille de trois filles. Coincée entre une aînée au physique avantageux et une benjamine brillante, Aurore se sent le vilain petit canard. Il faut dire que ses résultats scolaires ne sont pas terribles. Le sort s'acharne puisque aucun de ses camarades ne trouve grâce à ses yeux à part sa copine Lola. Pire : elle ne ressent rien pour le garçon avec qui elle sort. Aurait-elle été victime d'un traumatisme dans son enfance ? Ses parents décident de l'envoyer vivre quelques temps chez sa mamie.

Une comédie sympathique sur la vie d'une collégienne : amies, amours, relations inter-générationnelles... Aurore est aussi énervante que touchante. Elle donne envie aux adultes de retourner en enfance et d'envoyer valser leurs soucis. Quant aux ados, nul doute qu'ils s'y retrouveront...



La bande-dessinée ajoute une dose d'humour à un roman qui n'en manquait pas ! J'ai apprécié les couleurs omniprésentes qui donnent une tonalité dynamique à l'ensemble. Pour moi, l'adaptation est réussie.
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Suite et fin de l'adaptation subtile du roman de Dumas par Agnès Maupré, contée du point de vue de sa véritable héroïne, personnage probablement le plus intéressant de l'histoire, à savoir Milady de Winter. Encore plus réjouissant que le 1° tome, bourré d'humour ce très bel album est une des réussites de ce début d'année. Le boulot d'adaptation est agrémenté de trouvailles personnelles fort bienvenues, qui éclairent sur le passé de Milady, en faisant une de ces femmes fatales, tragiques et belles; et tout en connaissant le dénouement, on espère jusqu'aux dernières pages ( scène impressionante que celle du bourreau) que la Mata Hari de l'époque va s'en tirer.Côté graphique, le dessin à la plume et l'encrage délicat de Maupré, le tout en niveau de gris, sont parfaitement adaptés à l'histoire. Un dyptique à découvrir...en musique: http://bobd.over-blog.com/article-femme-fatale-97783435.html
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Autant l'histoire des 3 mousquetaires m'a toujours royalement emmerdé, autant j'avais ce faible pour le personnage de Milady, et ce depuis que, gamin, j'avais vu à la télé la version de Borderie où Mylène Demongeot jouait la Mata Hari de l'époque.

J'ai donc trouvé l'idée d'Agnès Maupré de raconter l'histoire du point de vue de Milady intéressante. Ce 1° tome est une réussite à bien des niveaux, le dessin d'abord, très bien, dans le ton d'un certain style Franco Belge (entre du Miss Pas Touche et quelques uns des Sfar) et en N&B. Et le traitement ensuite, qui remet un peu de comédie (noire) et de tragédie (feinte) dans le poussiéreux roman de Dumas ne serait ce que par le caractère de ses personnages(et leurs défauts) et en rajeunissant le langage. Cela dit, la vraie réussite de cette version c'est sa sensualité exacerbée, jamais racoleuse présente tout au long de ce 1° tome Et voici de quoi écouter avec: http://bobd.over-blog.com/article-le-cote-obscur-des-3-mousquetaires-95387735.html
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Un album en noir et blanc, en deux tomes, où Agnès Maupré a choisi de raconter l’histoire des Trois-Mousquetaires du point de vue de la femme fatale… et en rapportant quelques-uns des épisodes les plus célèbres du gros pavé, les ferrets de la reine, le siège de La Rochelle et l’épisode du vin d’Anjou… Les personnages sont traités avec un graphisme simplifié avec de grands nez pointus (je ne suis pas vraiment séduite par ce style), Milady de Winter est presque devenue une héroïne de Fantasy, machiavélique et non plus « simple » victime des hommes.
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J'en suis à ma troisième lecture de ce recueil de contes. Il est toujours d'actualité

J'ai bien accrochée à cette bande dessinée, l'histoire et l'époque m'ont plu immédiatement ! On admire le courage de cette femme non ordinaire !

EXTRAIT "Décidément, je suis totalement partisan du personnage de Milady. Elle reste pour moi la grande victime, des hommes et de l’esprit religieux de l’époque qui faisait des femmes des créatures pécheresses. Impossible de tenir à l’écart ce qu’elle a vécu, les outrages qui lui ont été infligés. Cela n’excuse pas ses méfaits suivants, mais la sort immédiatement de la catégorie des « méchants »."
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EXTRAIT "Agnes Maupré décida d'écrire ce diptyque après avoir lu les Trois Mousquetaires, trouvant que le beau rôle était bien trop donné au héros d'Artagnan. Etonnant comme une même lecture peut être perçue différemment. Certes, je ne serai pas allé jusqu'à donner à d'Artagnan le rôle du salop, mais il m'avait semblé que Dumas avait donné de l'épaisseur à Milady. En fait, je ne suis pas surpris par les choix d'Agnes Maupré. Tout me semble absolument logique."
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Adapté du roman d’Emile Zola, nous faisons la rencontre de Denise qui arrive dans une capitale en pleine mutation. Les petits commerces, comme celui géré par son oncle, subissent la concurrence des grands magasins qui vendent de tout. Fini les magasins spécialisés en chapeaux ou en ombrelles, le « Bonheur des Dames » offrent une grande variété de produits et de nouveautés constantes. A la quête d’un emploi, Denise entre dans ce monde en plein effervescence que gère Octave Mouret. Assez vite repérée pour ces talents de vendeuse, Denise va en rendre certaines jalouses et attirer l’attention d’autres.



Au fil des pages, je me suis souvenue des grandes lignes du roman lu il y a quelques années. Dénonçant les conditions des femmes et travailleurs dans le Paris du Second Empire, ce sujet est abordé en second plan. L’auteure a choisi de mettre en lumière l’histoire de Denise et sa romance avec Octave Mouret. J’ai grandement aimé découvrir le parcours de cette jeune fille provinciale qui arrive très naïves et se révèle.



Cette lecture aurait pu être un coup de cœur. J’avoue ne pas avoir été sensible aux illustrations, que je trouve même grossière. Il n’y a pas de détail et de finesse dans les traits, comme j’aime grandement. Par contre le côté haut en couleur ne me gêne aucunement. J’aime beaucoup.
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Voilà une BD Jeunesse qui me faisait depuis longtemps de l'oeil...Et dont je termine la lecture un peu mitigée !



Aurore est une jeune fille en 3e, effectivement "jamais contente, toujours fâchée", comme le souligne le sous-titre. A la lire dans son journal intime, sa vie est un enfer peuplé par ses parents, ses deux soeurs qu'elle ne supporte plus, ses grands-parents et sa meilleure amie Lola. Aurore désespère de ne jamais tomber amoureuse, n'arrive pas à se motiver pour le collège, et provoque sans arrêt des disputes intrafamiliales.



Aurore est attachante, parce qu'on devine qu'elle souffre...mais j'ai justement trouvé sa souffrance traitée avec beaucoup de légèreté, ce qui m'a un peu dérangée. Bien sûr, son entourage est perdu face à sa colère et sa tristesse, on le voit bien, et recherche des solutions, comme celle de l'envoyer quelques mois chez ses grands-parents. Mais j'ai trouvé que les questions de santé mentale chez les adolescents.es sont traitées plutôt à la légère, alors qu'un mal-être comme celui d'Aurore peut laisser des traces pendant des années...J'ai aussi tiqué, je l'avoue, sur la représentation de l'homosexualité comme une éventualité peu enviable et rendant impossible d'accéder au "véritable amour" : dommage que les autrices n'aient pas repris ce préjugé, un peu désuet, pour le démonter !



Malgré cela, cette adaptation du roman éponyme, aux personnages attachants se lit facilement, et l'on passe plutôt un bon moment.

BD fraîche et entraînante, parfaite pour les adolescent(e)s et jeunes adultes.



L'histoire est moderne, les dessins illustrent à merveille les propos écrits. Suivre Aurore dans son quotidien est toujours aussi plaisant.



C'était un chouette duo de BD.



[Critique service civique]

Le feuillage peut se faire rouge ou ocre, l'herbe bleue ou rose. La magie de ce monde féerique et de son spectacle enchanteur nous permet de voir la réalité sous un prisme plus vif, plus brillant, comme dans les yeux d'un enfant.
Lien : https://cnlj.bnf.fr/fr/conte..

Ces récits fantaisistes mettent côte à côte différents univers : la fable animalière, le conte traditionnel, la bande dessinée, avec ses procédés de découpages, de cadrages, de prises de vue et de perspectives qui isolent un personnage, puis un autre dans une vignette ou un gros plan.
Lien : https://www.ricochet-jeunes...