Alberto Vazquez-Figueroa

L'histoire de Irma Gerse, tortionnaire des camps, de concentration nazis, condamnée à mort par pendaison à 22 ans en 1945, répond à l'urgence selon l'auteur de remémorer l'histoire des atrocités du régime hitlérien face à la résurgence des croix gammées et autres crânes rasés. Partant du principe que l'histoire se répète et sans doute, d'ailleurs, de manière différente.

Son roman est passionnant de par la forme narrative qu'il emploie.

Un éditeur rencontre une dame de plus de 90 ans qui a été la maîtresse de la tortionnaire et c'est l'occasion pour l'auteur de repasser les faits historiques sur fond de drames humains ancrés dans le passé mais aussi dans le présent. J'ai eu du mal à lâcher le bouquin avant de le finir pour aller dormir. Alberto Vazquez Figueroa pose à un moment la question de l'oeuf et de la poule (cf citation) : Le nazisme a-t-il engendré des monstres ou bien des monstres ont-ils engendré le nazisme? Jonathan Littell à travers "Les Bienveillantes" y avait apporté un élément de réponse en peignant un personnage fallot, médiocre qui par la grâce de la guerre et de l'impunité qu'elle lui procure devient un criminel hors pair. Aujourd'hui, il me semble que les guerres n'ont plus et n'auront plus les mêmes formes qu'avant mais l'âme humaine étant toujours aussi noire, je ne doute pas un instant que sa propension à faire le mal prenne aussi une autre forme.

Roman plaisant qui met en lumière le mal que fait l'impérialisme américain allié aux dictatures militaires passées au détriment de la population en général et aux peuples indigènes en particulier. Pas sur qu'aujourd'hui, ce soit beaucoup mieux. Non traduit en français à ma connaissance.

Tristantristan m'avait involontairement mise en quête de ce livre;en précisant qu'il était devenu introuvable j'avais encore plus envie de le lire! Après négociation, ce livre "à consulter sur place" à la médiathèque a obtenu un droit de sortie : ) .

Plus sévère que Tristan j'ai tout de même passé un bon moment avec ce roman. Intriguée j'ai vérifié si les personnages avaient réellement existé mais ce n'est pas le cas. Ce qui, malheureusement, est bien réél est l'esclavagisme pour s'enrichir dans l'exploitation du latex. Ce fond historique avec toute la violence qu'il engendre rend "l'aventure"poignante et moins exotique qu'Indiana jones! La descrption de la jungle amazoniene est parfaite dans ce qu'elle posséde d'hypnotique, de richesse mais aussi d'enfer.C'est aussi un appel à la révolte pour la dignité.

En route avec le magicien des romans d'aventure pour une découverte de l'Amazone depuis Quito jusqu'à Manaos, avec au passage, une chasse au jaguar et aux crocodiles...

Plusieurs fois j'ai eu l'occasion d' acheter ce livre, un des rares jamais lu de cet auteur. Mais le sujet me rebutait trop ( des pédophiles violeurs et tueurs). Finalement, mon amour pour l' auteur l' emporta et j' entrepris la lecture. Comme toujours avec Alberto Vázquez Figueroa, l' humanisme et le sens de la justice et du devoir imprègnent les pages de ce roman monté à partir d' un personnage qui a le don de d' entretenir avec les morts et dévoile les secrets des criminels sans omettre de rappeler l' histoire de Gilles de Rais. C' est bien mais le sujet reste ce qu'il est.

Alberto Vazquez Figueroa n'a rien perdu de sa verve ni de sa capacité à produire des effets humoristiques avec des rapprochements apparemment contradictoires mais du meilleur effet. Il nous offre avec Rumbo a la noche un roman d'aventures où sont présentes des piques contre tout ce que n'aime pas cet humaniste : les ordinateurs, l'injustice, la corruption et... Donald Trump.

Roman d'aventure sous fond historique de l'esclavage causé par l'exploitation du caoutchouc dans les pays amazoniens.

Deuxième tome de la saga Cienfuegos, cet ouvrage a pour cadre Haïti, sur fond d'aventures dans un monde inconnu et hostile. Chaque roman peut se lire séparément des autres, encore faudrait-il qu'il soit traduit en français pour les non hispanophones.

Roman d'aventures plutôt passionnant à la lecture car la description de la nature et des hommes est prenante. Oberlus, surnommé La Iguana (l'iguane) est un individu monstrueusement laid qui a été moqué, écarté, battu, vilipendé, rejeté par tous ses congénères. A l'instar du Don Quichotte de Miguel de Cervantes, il s'invente alors un monde solitaire à sa mesure où il règne en maître. La différence s'arrête là car l' "Iguane" fait en sorte que l'enfer s'abatte (aussi) sur les autres.

Beau roman d',' aventures au Pérou par le magicien Alberto Vazquez Figueroa malheureusement très peu traduit en français à part Manaos ( les seringueros), Touareg et Les yeux du Touareg

Située au Mali, l'action met aux prises les extremistes islamistes avec Gacel Mugtar.

Ca déménage!

Encore une belle histoire d'aventure sur fond de justice.

À part Touareg et le fils du Touareg pas de traduction en français pour les romans d'aventure de Vasquez Figueroa ce qui n'est pas le cas de ses confrères Vasquez Montalban ou de Arturo Pérez Reverte: problème éditorial?. C'est toujours palpitant, juste et humaniste car l''auteur, natif de Tenerife a vécu en Afrique et notamment au Maroc et au Sahara occidental. Journaliste, il a été témoin de conflits en Guinée, Tchad, Congo, Saint-Domingue, Bolivie et Guatemala.

Il s'agit ici d'un roman d'aventures, toujours à partir de faits réels. En l'occurrence, la guerre civile en République Dominicaine en 1965 qui a emmené les USA à intervenir dans l'île. E tant qu'envoyé spécial Alberto Vazquez-Figueroa a vécu de près ces événements.

Encore une belle histoire d'aventure et de voyage sur fond d'islamisme au Nigéria. Merci à cet auteur prolifique et jamais traduit en français (sauf pour "Touareg" et "Le fils du Touareg", pour sa langue pure et ses délicates descriptions du monde.

Superbe roman d'aventures par le maître du genre.

Très belle histoire contée merveilleusement par le maître des romans d'aventure et grand voyageur qu'est Alberto Vazquez Figueroa. Cet ouvrage a été porté à l'écran sous le titre Ashanti.

Globe-trotter, humaniste, romancier d' aventures sur fond de réalité historique ou politique, Alberto Vázquez Figueroa nous propose dans " Delfines" un hymne à la mer et à sa faune. Les dauphins, historiquement amis de l' homme se mettent à les attaquer car ils sont victimes des agissements toujours plus ingenieuz des trafiquants de drogue.

Roman d' aventures, très bien mené par Alberto Vazquez Figueroa. Parfait pour une lecture du soir ou pour la plage

Roman d'aventure dont le scénario a pour lieu une île dirigée par la princesse Anacaona. C'est la partie n° 4 de la saga "Cienfuegos"

À part Touareg et le fils du Touareg pas de traduction en français pour les romans d'aventure de Vasquez Figueroa ce qui n'est pas le cas de ses confrères Vasquez Montalban ou de Perez reverte: problème éditorial?. C'est toujours palpitant, juste et humaniste car l''auteur, natif de Tenerife a vécu en Afrique et notamment au Maroc et au Sahara occidental. Journaliste, il a été témoin de conflits en Guinée, Tchad, Congo, Saint-Domingue, Bolivie et Guatemala.

Dans ce roman le personnage principal est l'Amazonie et les rapports entre un propriétaire terrien et ses employés indiens dont il a fait de véritables esclaves.

Les yeux du Touareg dont l'action se déroule une génération après celle de Touareg, creuse encore un peu plus l'écart entre le monde occidental actuel, industrialisé, médiatisé, hyper mercantilisé qui s'étend et devient le modèle à l'échelle de la planète et un peuple empreint de traditions qui tend à disparaître.