Citations de Alexandre Astier (303)
Père Blaise (à Perceval) : ben, y'a la fois où vous avez confondu la potion de vérité avec une fiole de purin...
YVAIN : Moi, au moins, je les respecte en tant que personnes ! Je les mets pas dans mon lit le matin pour ma propre satisfaction, comme certains.
LÉODAGAN : Eh ben vous savez pas ce que vous perdez ! (croisant le regard noir de Séli) Et moi non plus, d'ailleurs ! Mais si je me base sur les "on-dit", il paraît que c'est correct. Moi, je trouve que c'est une atteinte à la dignité mais tout le monde peut pas être droit comme un "I" comme moi !
SÉLI : Vous vous étonnerez pas : si vous ressentez une vive douleur sur le sommet du crâne, c'est sûrement que vous aurez pris le plat à gigot dans la tronche.
[Épisode 2-2 – La roche et le fer]
Non, moi je suis entrainé à jeter des saloperies sur les pignoufs qui viennent traîner devant le château.
- Je ne demanderais pas mieux d’être mise à contribution pour les besoins de l’état ! Seulement, à part l’agencement des fleurs et le choix des tentures, vous ne me donnez pas de grandes responsabilités !
- Disons qu’elles sont à la mesure de vos compétences.
Sélie : Qu'est-ce qu'ils sont emmerdants, avec leurs trompettes, ceux-là !
Leodagan : Un jour, ils vont se les ramasser où je pense, ça leur coupera l'envie de souffler dedans !
Arthur : Pour faire simple : « On peut douter de tout, sauf de la nécessité de se trouver du côté des opprimés »
(…)
Yvain : C’est marrant parce que mon père, il a une phrase presque pareille : « On peut douter de tout, sauf de la nécessité de se trouver du côté de celui qui a le pognon »
La Chevalerie
Arthur - Nouvelle technique. On passe pour des cons, les autres se marrent et on frappe. C'est nouveau
Guenièvre - Ah ... Eh c'est répandu, comme technique ?
Arthur - Ah non c'est que nous, Parce qu'il faut être capable de passer pour des cons en un temps record. Non, là dessus, on a une avance considérable.
La dent de requin
LÉODAGAN - Qu'est-ce que vous voulez, mon petit Bohort... Entre son épée qui fait de la lumière, son Merlin qui fait pleuvoir des grenouilles et sa Dame du Lac qui se prend pour une truite, il lui manque plus qu'un numéro de trapèze, au Roi des Bretons !
Ce qui est pour nous un "mythe" était considéré par les Indiens, au moins jusqu'au XIXe siècle, comme une histoire réelle expliquant un rite, ou donnant un cadre de pensée pour l'action et les comportements sociaux.
[Lancelot] Et l'orque, vous en pensez quoi ? Parce que moi, je vous le dis, il m'inspire rien de bon.
[Léodagan] Ouais mais attention... Les orques ils ont tellement une sale gueule qu'ils inspirent jamais rien de bon à personne.
Léodagan : Allez, Bohort ! Lambinez pas !
Bohort : Je ne sens plus mes pieds...
Léodagan : Non mais vous allez sentir les miens, je vous préviens ! Grouillez-vous !
Arthur - Il y a des merdes d'oiseau partout par terre, chez vous.
C'est parfaitement dégueulasse.
Merlin - Non, ça, c'est moi quand je me transforme en chouette.
Arthur - Quoi ?
Merlin - Ouais, la sensation de liberté, je vole dans la pièce, je me sens plus
et je fais pas gaffe.
PERCEVAL - Bizarre comme soirée, non ?
ARTHUR - Ça aurait pu être beaucoup plus bizarre, croyez-moi.
PERCEVAL - Ah bon ?
ARTHUR - Vous auriez préféré que vous et moi, on fasse des saloperies avec les cagaudes de la taverne pendant qu'un Général byzantin nous reluque ?
PERCEVAL (abasourdi) - La vache... J'avais pas compris ça, moi...
ARTHUR (OVER) - A force de jamais rien comprendre, il va vous arriver des bricoles, un jour.
La conscience d'Arthur : Perceval, c'est comme un gamin. Et qu'est ce que c'est la plus grande peur des gamins ?
Arthur : J'en sais rien moi .... L'Orgre des Collines .... La soupe de poissons ....
La conscience d'Arthur : Etre abandonnées. Et pour pas être abandonnés, ils sont obligés de correspondre à ce que leur parents leurs disent qu'ils sont
La Conscience d'Arthur
Arthur - Est-ce que vous croyez qu'on peut être complètement con et avoir quand même une belle vie ?
Guenièvre : C'est pour moi que vous dites ça ?
Arthur : Mais non !
Gueniervre : Méfiez vous des cons ... Il y en a qui vont plus loin qu'on ne pense
Excalibur et le Destin
ARTHUR : Bon il n'y a plus qu'une solution .... Merlin
LEODAGAN : Merlin ? Vous appelez ça une solution, vous ?
"Guenièvre : Vous croyez pas que vous vous prenez suffisamment le bec avec mon père quand on est au château ? Vous pourriez pas faire une pause en extérieur ?
Arthur : Parce que vous croyez que votre père devient supportable en extérieur ? "
(Karadoc) - C'est moi qui commence à déconner à cause de la malnutrition ou vous voyez la même chose que moi?
(Perceval) Non, je confirme... nain ET asiatique.
(À Perceval) Est-ce que vous avez souvenir qu'il se soit passé quelque chose entre Mevanwi et moi ?
Perceval : À quel niveau ?
Au niveau... du chou rouge.
Quand je viens vous voir, pour vous demander des trucs ; c'est l'enchanteur que je viens voir ; pour qu'il m'donne des solutions d'enchanteur : pas des combines à la noix ou des remèdes de bonne femme ! Vous êtes mon enchanteur, vous êtes pas ma grand-mère, OK ?