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Critiques de Alexandre Jollien (395)
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Petit traité de l'abandon : Pensées pour accuei..

Celui-là, je ne l'avais pas vu venir ! 😄

J'ai passé un excellent moment avec ce tout petit bouquin qui risque de devenir mon livre de chevet.



Il s'agit de la retranscription du CD qui est dedans. Vous pouvez donc choisir votre mode de lecture.



Je connais un peu Alexandre Jollien pour l'avoir lu avec son duo de copains Ricard et André, mais c'est la première fois que je lis un livre de lui, seul.



J'aime la présence lumineuse de l'homme, philosophe, quand je le vois sur un plateau de télévision, et par hasard il m'a été donné de trouver son bouquin chez des amis.



D'une façon simple et limpide sont abordés des notions que j'aime, comme la gratitude, la simplicité, ou encore la foi, et cela m'a fait beaucoup de bien. Ce n'est nullement un livre de développement personnel, pas non plus un livre de philosophie, mais simplement des idées, des pensées, qu'il est bon de lire pour vivre mieux..., je vous laisse les découvrir.



Ce n'est bien sûr pas un livre magique, mais c'est un livre qui arrive dans ma vie au moment opportun, et j'ai donc su saisir ce que Alexandre Jollien me disait avec joie et reconnaissance.

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Petit traité de l'abandon : Pensées pour accuei..

Vous avez bien lu le titre? 'Accueillir' et non accepter la vie telle qu'elle se propose, accueillir comme on accueillerait un être cher ou un cadeau. C'est la belle leçon que nous donne Alexandre Jollien, handicapé de naissance.



Pour lâcher prise, retrouver sa paix intérieure, il se nourrit de citations de maîtres bouddhistes, philosophes classiques, Spinoza... mais aussi de sa vie de père de famille, de ses amis, de ses rencontres.



Un livre qu'il est utile de méditer comme la sûtra du diamant que j'ai mis un peu de temps à percuter.

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Eloge de la faiblesse (BD)

J'ai eu du mal à accrocher à l'écriture par moments (question d'affinité avec le style, je pense) mais le fond était intéressant. Ce livre présente des réflexions authentiques sur le regard que l'on porte sur les autres, sur la différence et sur la normalité. Le point de vue de la personne sur sa propre situation de handicap et en quoi elle joue sur sa relation aux autres est intéressant.
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Le philosophe nu

Un jour, un médecin propose à Alexandre Jollien: « Ecrivez-nous un traité des passions ». Il décide alors de suivre la suggestion en écrivant un journal où, dans cet esprit, il consigne ses réflexions et ses expériences vécues. Au fait, c'est quoi, une passion ? « C'est le fait d'être attiré par un objet qui, ô surprise, va nous faire souffrir » (p. 90). Mais l'auteur se centre d'abord sur sa passion principale: lui qui est lourdement handicapé a une jalousie maladive vis-à-vis de hommes valides. Ayant beaucoup lu, il cherche dans les livres de philosophie une voie pour s'affranchir de cette obsession. Hélas ! ce puzzle intellectuel intéressant, certes, ne lui apporte évidemment pas une solution miracle. Cependant, Alexandre Jollien est aussi versé dans diverses techniques provenant de l'Orient, notamment le zazen; pourtant, il doit reconnaitre que « dix minutes d'assise méditative bâclée auront suffi à révéler le tourbillon qui traverse mon esprit, le flot des désirs artificiels » (p. 98). Comme on s'en doutait, toute vraie évolution personnelle est laborieuse.

Ce livre ne m'a pas semblé facile à lire. Ce qui m'a frappé, c'est l'honnêteté de l'auteur, qui s'observe avec lucidité et sans complaisance. Ce qui finalement compte pour lui, c'est le chemin et (peut-être) pas le but de sa douloureuse quête – qui ne sera pas vraiment atteint. Les lecteurs tentent de l'accompagner, mais attention: leur propre chemin diffère nécessairement de celui qu'a suivi Alexandre Jollien...
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Éloge de la faiblesse

Pas de grandes révélations à attendre de cette lecture, pas de grandes déceptions non plus. Ce livre m’a cependant permis de mieux cerner et admirer cet homme courageux, handicapé moteur cérébral. Alexandre Jollien a choisi un dialogue original avec Socrate pour initier une profonde réflexion sur lui-même qui lui permettra de mieux se connaître et donc de mieux vivre.
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L'Abécédaire de la sagesse

Cet abécédaire, intéressant et enrichissant, permet de survoler différentes thématiques.

Pas forcément pertinent de le lire d’une traite. C’est plutôt un outil à ouvrir régulièrement pour en extraire une notion, une réflexion au hasard ou en fonction de « notre actualité du moment »…



Les 3 points de vue se complètent, s’éclairent. Les renvois vers d autres définitions, ainsi que les conseils, nous accompagnent pour aller plus loin.



Ce livre pose des bases, des pistes, nous rappelle des enseignements où nous interpellent pour creuser plus (dans d’autres livres de développement ou de spiritualité qui iront plus loin dans les thématiques…).
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La sagesse espiègle

ce livre m'avait été offert en cadeau et je l'avais mis de côté pour quelques temps ce que je n'aurais pas dû. M. Jollien m'a fait remonter en surface beaucoup mes lectures d'autrefois et qui m'incitent à reprendre au plus vite.

J'ai beaucoup aimé l'ouverture d'esprit et la franchise d'Alexandre et je pense qu'il m'a donné une leçon pour éradiquer au plus vite ce satané ego et de grandir.





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Éloge de la faiblesse

Voilà un petit ouvrage qui fait du bien, beaucoup de bien. 96 pages de sagesse, une belle leçon de vie pour moins de 4€ ça vaut le coup, non?



Le livre se présente sous forme de dialogues entre Alexandre et Socrate. Alexandre, handicapé moteur cérébral de naissance, partage son expérience en institution spécialisée.



Loin de pleurer sur son sort, le philosophe nous montre comment tirer bénéfice de toutes les situations. Il nous incite à la pugnacité, à la persévérance et au dépassement de soi. Il s'appuie sur les difficultés pour se transcender. La philosophie devient son arme la plus efficace pour se confronter au monde. Donner sens à la souffrance ou l'accepter.



J'ai aimé le langage simple et accessible, les propos optimistes et la sensation de mieux être qui flotte quand la lecture est terminée.



Un sacré bonhomme cet Alexandre Jollien. Merci pour cette leçon d'optimisme et d'humanisme.



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Éloge de la faiblesse

Le contenu philosophique présenté est plutôt concis mais percutant, sous la forme d'un témoignage sur la vie d'un jeune handicapé résidant en institution et sa relation avec celle-ci. Cependant, la réflexion sur la signification de la normalité a été l'aspect le plus captivant : quelle est la signification d'être considéré comme normal ? Et peut-on véritablement donner un sens à cette question ?

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Éloge de la faiblesse

Alexandre Jollien, je ne l'avais encore jamais lu. Je ne sais pas pourquoi car j'aime ce qu'il dit et j'aime l'écouter. Il aura fallu que ma fille doive le lire dans le cadre de ses études pour que je le fasse enfin.

Et boum!



Dans son (premier) livre au titre oxymore et si percutant, Alexandre Jollien revient sur ses 20 premières années, lorsqu'il a été placé dans une institution médicalisée en raison de son handicap, l'athétose.



Devenu philosophe en dépit de tout, il s'invente un dialogue avec Socrate pour nous les raconter et aborder le regard des autres et de que ça entraîne, l'amitié et le don de soi, la pitié et le mépris, la volonté et les épreuves de la vie, la sagesse et la normalité, un mot qui conditionne tant...



Il cite des philosophes antiques ou contemporains, et tout en nous parlant de lui, de son parcours, de ses joies et difficultés, il nous parle de nous



Je l'ai lu deux fois en un mois et je vais le garder bien précieusement, non loin de moi, pour y revenir...
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Trois amis en quête de sagesse

Cela fait longtemps que j'ai lu ce livre, mais je peux dire qu'il est très enrichissant sans être lourd à la lecture.

Le style est fluide et permet la compréhension de son lecteur. Cela permet de remettre certaines actions ou pensées de la vie en question.

Très intéressant et à conseillé.
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Petit traité de l'abandon : Pensées pour accuei..

Encore un petit livre d'Alexandre Jollien qui fait chaud au coeur. c'est simple, parfois naïf ou évident, un peu trop du soutra du diamant, difficile à vraiment appréhender, voici un lien vers sa vidéo qui l'explique plus clairement

https://www.youtube.com/watch?v=KP5ag0Js9G4

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Trois amis en quête de sagesse

J’ai apprécié la lecture de « trois amis en quête de sagesse » Il procure de la sereinité. Je comprends mieux la signification de l’expression la liberté intérieure. Comme l’écrit Alexandre Jollien « Ne jamais nous installer dans nos blessures, sans pour autant les nier ». Laisser évaporer les émotions avant qu’elles nuisent à notre équilibre mental et qu’elles s’expriment de façon chronique dans notre corps. Sur le dernier point, je suis consciente d’être au début du chemin…



En pratiquant la méditation de pleine conscience, j’ai pris conscience de la nécessite de vivre ici et maintenant. Grâce aux mots de Christophe André, j’angoisse moins sur le fait qu’il est normal de rechuter (surtout quand la réalité est de couleur grise). Quelle que soit notre vie, se poser aide à profiter de la beauté de la vie. Ceci permet d’accueillir nos émotions sans jugement. Les neurosciences montrent clairement que la méditation régulière provoque des changements dans le fonctionnement de notre cerveau.



Quand l’envie de ruminer me vient je recentre mon esprit par cette pensée n’oublie jamais que ton regard sur le monde ne correspond pas à la réalité du monde. Et je pense à la phrase d’Alexandre Jollien  »Voir qu’en ce monde tout est précaire et fragile m’aide à avancer vers une liberté plus profonde ».



Il est agréable d’ échanger avec des amis, la famille, l’amoureux en étant dans le présent. Mon esprit ne vagabonde pas ailleurs, je suis dans l’écoute. Je me suis retrouvée dans la phrase de Christophe André « Quand je suis avec quelqu’un, j’essaie de lui donner mon attention ». Comme lui, j’ai découvert tout ce que m’apportent les promenades en pleine nature. Ceci me permet de me connecter entièrement avec la vie animale et végétale. Dans ces moments là, je fais volontairement attraction des problèmes de société.



Je suis en empathie avec la vie trop souvent maltraitées par l’homme qui l’enferme (béton, cage, etc.) Je pense à la très belle phrase de Matthieu Ricard « Si l’on veut éviter la souffrance, il faut cesser d’en créer les causes ».



Parmi les 3 auteurs, je m’accorde plus facilement aux paroles et actes humanitaires de Matthieu Richard. Les deux autres compères, j’aime leurs propos quand ils restent sur terre ! Christophe André et surtout Alexandre Jolline ont un esprit très spirituel. Je reconnais que dans certains passages, ils m’ont perdue. Ma réflexion politique ne peut suivre leur raisonnement quand je pense aux gouvernances libérales. Je m’interroge sur leur rôle. Que font-ils pour que cessent les actes odieux envers les animaux et les végétaux ? Comme envers les humains ? Afin d’être cohérente avec mes valeurs et dans mes actes, je préfère de pas FAIRE, plutôt que de renier mes idéaux.



La lecture de cet ouvrage renforce l’idée que pour changer le monde, l’homme doit changer ses pensées, ses paroles et ses comportements. Je suis convaincue que pour vivre une vie meilleure nous devons changer de société. La libéralisme est néfaste à l’empathie.
Lien : https://educpop.fr/2021/10/2..
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Éloge de la faiblesse

Alexandre nous livre un témoignage sous la forme d’un dialogue étonnant : son interlocuteur n’est autre que le grand Socrate ! Vous vous souvenez du fameux “𝙲𝚘𝚗𝚗𝚊𝚒𝚜-𝚝𝚘𝚒 𝚝𝚘𝚒-𝚖𝚎̂𝚖𝚎” ? C’est de lui !

Eh ! Je vous vois prendre peur face à la vue de ce nom.. 😟 𝗥𝗘𝗩𝗘𝗡𝗘𝗭 ! Cette lecture est accessible et très agréable, croyez-moi. J’avais l’impression d’être la meuf qui s’incruste dans une conversation en soirée et qui ne fait que de hocher la tête 👁👄👁



Les sujets abordés ne sont pas extravagants mais l’approche est intéressante. Cet homme, handicapé de naissance, construit son observation autour des préjugés, de ses relations avec les éducateurs, de ses amitiés et bien plus encore !



Un livre qui fait du bien quoi !✨
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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À nous la liberté !

Pas facile de dire brièvement ce qu’on pense d’un livre si imposant (569 pages) !



Déjà, il est accessible et compréhensible pour tous, il est coécrit par un trio très sympathique : moine-philosophe-psychiatre. Cela traite de la liberté mais aussi de tout ce qui peut la menacer ou y contribuer, donc à peu près tout !



C’est un ouvrage toujours positif et intelligent. Ce qui domine, c’est la sagesse et la bienveillance avec l’importance des petits efforts quotidiens pour s’entraîner à s’affranchir des facteurs risquant d’entraver notre liberté, préjugés, modes, incitations à consommer, addictions…

Notre bonheur et notre liberté ne dépendent pas de notre statut social, de notre richesse et de notre pouvoir sur les autres mais au contraire de notre harmonie relationnelle avec ceux qui nous entourent et de notre humilité vis-à-vis de la nature.



Tout petit bémol : orthographe ou coquilles d’impression… Un manque certain de relecture.

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Le philosophe nu

De la M en boîte, ce bouquin.

J’en ai perdu mes cheveux.

Et pourtant je suis bon public, je lis Onfray.

Je le redis : de la M en boîte. Affligeant. La nudité c’est, pour jollien, la dépouille : aucun style, aucune idée, aucun fond, aucune profondeur.
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Le philosophe nu

Ce livre est une leçon de vie. Jollien effectivement se met à nu, face à son lecteur à travers ce journal. Il se pose les questions existentielles que tout le monde devrait se poser. Il se remet en question sur ses émotions, ses pensées, ses actes, son handicap, ses valeurs, ses obsessions… A travers des références philosophiques et spirituelles, notamment la découverte et la pratique du zen. Je me retrouve dans ses questionnements. C'est ici une leçon de philosophie vivante qu'il nous offre, à l'instar des Grecs du Lycée, de l'Académie, du Jardin, où l'on accordait sa vie à sa pensée. Il renoue avec cette dimension métaphysique, mais dans la vie de tous les jours, la vie actuelle, les transports, s'occuper des enfants, la vie de famille, le travail... Il s'agit parfois d'une véritable analyse, rédigée dans un style très accessible.

Il n'échappe pas toujours à la redondance et certains passages ont moins d'intérêt que d'autres. Mais il est tellement rare de lire ce genre de journal philosophique que l'on passera sur ces longueurs.

Un journal de vie qui devrait nous inspirer au quotidien.
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Vivre sans pourquoi

Alexandre Jollien partage son voyage intérieur et raconte avec bienveillance et simplicité la parenthèse spirituelle qui l'a emmené à recommencer une nouvelle vie, avec sa femme et ses trois enfants, en Corée du Sud.



Parti chasser ses démons, rechercher la paix d'esprit pour atteindre le tant voulu nirvana, l'auteur partage ses réflexions sur comment vivre pleinement le moment présent, sans attentes, réussir à se détacher du regard de l'autre, les bienfaits de vivre une vie simple et en harmonie avec ceux qui nos entourent.



Un retour aux sources nécessaire dans un monde cahotique et de plus en plus fébrile, mais peut-on être véritablement Libre restant accroché à la religion des Hommes ?



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Petit traité de l'abandon : Pensées pour accuei..

J’ai lu ce livre pendant ma guerre contre le cancer. J’avais entendu, peu de temps avant, une interview d’Alexandre Jollien, et avais été impressionnée par le personnage.



Accueillir la vie telle qu’elle se propose, quel vaste programme. Et pourtant nous n’avons pas toujours le choix.



Il ne sert à à rien de se battre contre la vie, alors autant l’accueillir avec bienveillance. La base de la méditation de pleine conscience en fait, si on y ajoute l’impact de nos pensées sur le corps.



Ce livre fait du bien et donne des clés pour avancer dans la vie. J’ai vraiment beaucoup aimé.



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Cahiers d'insouciance

Dans ses « Cahiers d’insouciance », Alexandre Jollien nous propose façon carnet de notes ses réflexions sur la vie et le bonheur. Avec le souci, comme le dit si bien l’auteur d' »abandonner le souci et s’ouvrir authentiquement à une vie plus généreuse, plus libre ». L’ensemble est assez décousu, façon aphorismes par moments, et permet à Alexandre Jollien de se dévoiler, bribe par bribe, au fil des pages. Il évoque notamment son parcours, en particulier son placement en institution à l’âge de trois ans, le regard des autres sur son handicap ainsi que la difficile acceptation et affirmation de son homosexualité. De ces notes émerge en toute franchise aussi bien son sentiment d’insécurité chronique et maladif, sa peur du rejet et de la non acceptation ainsi que son besoin de tendresse. Il dévoile sa philosophie de vie, imprégnée de bouddhisme et fondée sur le lâcher prise, le « SFCDT », « Se Foutre Carrément De Tout », sauf de la compassion et de l’attention aux autres.



Une série de conseils et d’injonctions, nourries par la philosophie et la spiritualité, dans lesquels chacun pourra venir piocher à sa guise pour avancer dans sa vie et trouver les réponses à ses questionnements.
Lien : https://mangeurdelivres.word..
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