Citations de Ann Rule (179)
Loni Ann s'attendait à une existence merveilleuse avec son mari et le bébé qu'elle portait.
Lors du traditionnel lancer du bouquet, celui-ci se coinça sur une ligne téléphonique.
Liysa était devenue un élément perturbateur dans sa famille, avec ses visites inopinées, ses crises à propos de Chris, et surtout sa façon de considérer que la vie des autres et leurs problèmes pouvaient être ignorés pour satisfaire ses propres besoins.
Quand je suis d'une humeur généreuse, j'ai envie d'être bonne pour toi, tant que je peux faire partie de ta vie d'une façon ou d'une autre. Quand je me sens égoïste, je me contente d'avoir envie d'être avec toi.
Sans la morphine qu'on lui injectait à l'hôpital, elle n'aurait jamais eu le courage de le lui avouer. Le psychologue du service lui avait affirmé qu'une des causes du cancer était à chercher du côté du refoulement des émotions. Il y avait si longtemps qu'elle étouffait son amour pour lui.
Cependant, son attachement à l'éducation catholique et aux bonnes oeuvres de l'église ne l'empêchait pas de poursuivre sa liaison avec Debby MacIntyre et n'éveillait apparemment chez lui aucun dilemme d'ordre moral. Il pensait que sa générosité envers autrui lui octroyait le droit, bien mérité, aux plaisirs "innocents" de l'adultère. Après tout, un homme aussi exceptionnel ne pouvait se laisser entraver par les interdits réservés au commun des mortels.
C’était dingue, hallucinant, rageant ! Pour les enquêteurs qui essayaient de mettre la main sur cet homme, c’était comme travailler dans un labyrinthe, où chaque nouvelle piste qu’ils suivaient se révélait très vite sans issue. Les victimes n’avaient pas l’air d’avoir été vraiment choisies au hasard ; cela était intrigant.
Ted ne correspond à aucun schéma préétabli. Nul ne peut s'intéresser à son histoire et décréter que ce qui s'est produit était inéluctable. En fait, c'était incompréhensible.
La personnalité du sociopathe à été comparée à un écran de télévision sans image...Il «singe» les individus et ne renvoi que le minimum nécéssaire pour recevoir une gratification.
je n'ai pas encore lu ce livre, mais ce livre a l'air d'être intéressant qui parle d'une fille trop gâtée, j'ai très envie de le lire.
SONIA GUEZGUEZ
Le suicide ne constitue jamais une réponse à un problème. La vie s'améliore toujours si on s'accroche.
" Nan est décédée le 2 Novembre 1992. Ce fut le moment le plus tragique de ma vie. J'avais toujours cru que ma grand mère etait eternelle. Elle était l'adulte la plus fiable, stable et sensée de mon existence. Une partie de moi est morte avec elle. Je me sens encore comme engourdie. La terre est privée d'un peu de son bonheur, mais les Cieux se rejouissent de son arrivée. "
Dans ses récits pour adultes, l’héroïne était toujours une femme aimante mais désespérée s’efforçant d’échapper à l’emprise d’un époux cruel. Parfois la femme était atteinte d’une maladie mortelle. Ailleurs, elle était sûre que son mari projetait de la tuer.
Liysa était en quête de l’amour parfait, de l’amour sans condition, de l’amour qui n’exigerait rien d’elle et lui offrirait le monde sur un plateau d’argent.
Ce grand échalas blond n’avait peur de rien, et quelques fractures récoltées à la suite d’accidents de ski ou d’équitation ne l’avaient pas refroidi. Les yeux bleus pétillant de malice, il n’était jamais à court de blagues.
u étais mon seul ami, le seul à qui je me confiais. Pour tous les autres, je suis un cactus. Sous la pluie de tes larmes, je m’épanouis comme une fleur sur une tige épineuse.
Deux mondes se heurtaient dans l'esprit de Liysa : le premier, dans lequel elle vivait malgré elle ; le second, idéal, bienveillant, n’existait que dans son imagination.
Elle ment tellement qu’elle finit par croire à ses propres mensonges. C’est pourquoi elle est si convaincante. Elle ment sur n’importe quoi.
Tout le monde pouvait commettre une erreur de jeunesse.