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Citations de Anna Gavalda (2660)


Dis-toi que tu es le flic des mots. A chacun tu leur demandes leurs papiers avant de les laisser circuler :
- Vous là! Comment vous vous appelez?
- Adjectif.
- Avec qui vous roulez, mon garçon?
- Avec "chiens"
- Bon, alors, qu'est-ce qu'il vous faut?
- Un s, monsieur.
- C'est bon, circulez. p.95
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Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre.
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Je préfère te voir souffrir beaucoup aujourd’hui plutôt qu’un peu toute ta vie.
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Je guettais le moment où la maison allait s’envoler.
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J’avais envie d’une cigarette. C’était idiot, je ne fumais plus depuis des années. Oui mais voilà, c’est comme ça la vie… Vous faites preuve d’une volonté formidable et puis un matin d’hiver, vous décidez de marcher quatre kilomètres dans le froid pour racheter un paquet de cigarettes ou alors, vous aimez un homme, avec lui vous fabriquez deux enfants et un matin d’hiver, vous apprenez qu’il s’en va parce qu’il en aime une autre. Ajoute qu’il est confus, qu’il s’est trompé.

Comme au téléphone : « Excusez-moi, c’est une erreur. »
Mais je vous en prie…
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Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences...» « Sourire à un interlocuteur qui vous embarrasse, on n’a pas encore trouvé mieux pour passer à autre chose. » « L’Enfer, c’est quand tu peux plus voir les gens que t’aimes... Tout le reste ça compte pas...
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On parle toujours du chagrin de ceux qui restent mais as-tu déjà songé à celui de ceux qui partent ?


Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'ne défendre, et puis...
Et puis je l'ai perdue. De la même manière.

ET parce que je préfère te voir souffrir beaucoup aujourd'hui plutôt qu'un peu toue ta vie.

La vie, même quand tu la nies, même quand tu la négliges, même quand tu refuses de l'admettre, est plus forte que toi. La Vie est plus forte que tout.
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Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée ? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour ?
Qu'on me tende un sablier.
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L'important ce n'est pas le lieu ou on se trouve, c'est l'état d'esprit dans lequel nous sommes.
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Quelques heures plus tard, Laurence Vernes irait chez le coiffeur, sourirait à la petite Jessica en enfilant sa blouse, s'installerait devant un miroir pendant qu'une autre préparerait sa couleur, prendrait un magazine, feuilletterait les ragots, lèverait la tête, regarderait en face et se mettrait à pleurer.
Ensuite on ne sait pas.
Elle n'est plus dans l'histoire.
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"On est mal, là, on est mal...", avait-il pressenti et il s'était gouré. Jamais de leurs vies ils n'allèrent aussi bien au contraire.

Dit comme ça, c'est un peu cucul évidemment, mais bon, c'était la vérité et il y avait bien longtemps que le ridicule ne les tuait plus : pour la première fois et tous autant qu'ils étaient, ils eurent l'impression d'avoir une vraie famille.

Mieux qu'une vraie d'ailleurs, une choisie, une voulue, une pour laquelle ils s'étaient battus et qui ne leur demandait rien d'autre en échange que d'être heureux ensemble. Même pas heureux d'ailleurs, ils n'étaient plus si exigeants. D'être ensemble, c'est tout. Et déjà c'était inespéré."
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Il n'y a pas de chagrin qu'un livre ne puisse consoler.
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On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder...
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La consolante? vous n'avez jamais enendu ce mot là?
Eh bien... Il y a la première manche, la deuxième, la bellle, la revanche et la consolante. c'est une partie pour rien.. Sans enjeu, sans compétition, sans perdants... Pour le plaisir, quoi....
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Les salua brièvement. Retrouva ses accoudoirs usés. Eut du mal à se concentrer. Commença par traire son ordinateur. 58 messages. Soupira. Tria le bon grain des emmerdes en secouant la tête par à-coups pour se débarasser de ses soucis domestiques. Ouvrit par mégarde le spam suivant: greeting charles.balanda did you ever ask yourself is my penis big enough? Sourit un peu jaune, écouta les doléances de tous, dispensa conseils et encouragements, vérifia le travail du jeune Favre, fronça les sourcils, attrapa son bloc et le noircit à une vitese hallucinante, changea d'écran, réfléchit, réfléchit longuement, chassa le visage de L., essayait de comprendre, refusa plusieurs appels pour ne pas perdre le fil de sa pensée, corrigea certaines erreurs, en commit d'autres, consulta ses notes, feuilleta ses bibles, travailla, cogita encore, lança une impression et se leva en s'étirant.
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Il pleuvait à Paris. Partagèrent un taxi et se quittèrent aux Gobelins.
- Merci, murmura-t-elle à son oreille. C'est fini, je te promets. Ca va aller...
Il la regarda dévaler les marches du métro.
Dut le sentir car elle se retourna à mi-chemin pour former le O des plongeurs avec son pouce et son index en clignant de l'oeil.
Ce petit geste qui réconforte et assure que tout va bien.
Il l'avait crue et s'était éloigné le coeur léger.Etait jeune et naïf alors... Croyait aux signes...
C'était hier et cela fera dix-neuf ans dans quelques semaines.

Elle l'avait bien eu
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Tu es assez fort pour me retenir et assez intelligent pour me laisser filer...
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Je hais l'école.
Je la hais plus que tout au monde.
Et même plus que ça encore...
Elle me pourrit la vie.
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Nous quatre, ici, maintenant, dans cette Clio pourrie, libérés, ensemble, et que vogue la galère...
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Le courage de s'affronter au moins une fois dans sa vie. De s'affronter soi, soi-même. Soi seul. Enfin
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