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Critiques de Anthony Doerr (603)
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

J ai adoré ce roman

J ai eu un peu peur de me trouver dans un roman à l’eau de rose mais me suis finalement laissée emporter.un diamant maléfique , une jeune fille aveugle , un jeune orphelin allemand surdoué …

De vrais méchants .

Vu aussi l adaptation sur Netflix qui se laisse regarder sans déplaisir mais qui est moins puissante , saluons l habileté des scénaristes cependant
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La cité des nuages et des oiseaux

La critique la plus explicite que je peux fournir de cet ouvrage est une citation de la lettre que l'ai envoyée à son auteur. Il m'arrive extrêmement rarement d'écrire à un auteur pour le féliciter et le remercier, mais pour Anthony Doerr, j'ai fait exception, tant son livre "La Cité des nuages et des oiseaux" a été pour moi une révélation. Pas moins.

Je lui ai donc écrit : [Vous êtes un merveilleux conteur, un aède. Votre écriture survole les siècles, elle est intemporelle tout en étant résolument contemporaine. C'est une gourmandise de haute volée : il est rare que je revienne sur un paragraphe que je viens de lire, juste pour le plaisir, mais j'ai lu votre ouvrage en allers retours fréquents.

Vous dites mieux que quiconque combien la littérature et l'imagination sont les seules vraies justifications de notre parcours de vie humaine.

J'espère très fort que des personnes comme vous permettront de contenir les dérives à craindre de l'intelligence artificielle.]

Le livre est d'une richesse remarquable, tant sur la forme que sur le fond.

Et définitivement frustrée de ne pouvoir lire le grec ancien - il comporte des mots ou des citations que je "lisais" sans pouvoir les prononcer ni les comprendre - j'ai commencé à apprendre les rudiments au moins de cette langue ! mais oui ! Une gourrmandise de septuagénaire, un vieux rêve de littéraire enfin réalisé (" Initiation au grec ancien" de Jean Christophe Vernhes)

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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Marie-Laure est une jeune aveugle qui a fuit le Paris occupé pour Saint-Malo.

Werner est un jeune orphelin allemand qui est enrôlé dans le Wehrmacht pour ses qualités d’ingénieur dans les transmissions.

Ces deux individus n’étaient pas appelés à se rencontrer mais seront réunis par le destin et par cette Seconde Guerre mondiale qui a chamboulé et détruit tant de vies.



« Toute la lumière que nous ne pouvons voir » se compose de chapitres très courts alternant les points de vue de Werner et de Marie-Laure. Beaucoup de flashbacks aussi qui permettent de comprendre la manière dont ces deux jeunes gens se sont retrouvés ensemble dans un Saint-Malo bombardé par les Alliés. L’auteur se paie en plus le luxe de rajouter une sous-intrigue au sujet d’un diamant volé.



Un début de lecture un peu laborieux pour ma part. La mise en place du contexte, de l’intrigue et des personnages m’a semblé un peu trop long et peu passionnant. J’ai eu peur pour la suite.

Pourtant, la richesse du roman se dévoile progressivement jusqu’à atteindre une intensité émotionnelle peu commune. On finit enfin par s’attacher aux protagonistes et à se laisser prendre par l’ambiance générale du livre.



Au final, « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » est une excellente surprise. On dévore les pages à grande vitesse et on referme ce récit avec ce petit vide qui caractérise les grands romans.
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Le destin d'une jeune française et d'un jeune allemand durant cette période trouble de la deuxième guerre mondiale.

Ils vont se croiser, pendant peu de temps.

Ce roman n'occulte pas la souffrance du jeune allemand dans une période où beaucoup de peuples ont souffert dont le peuple allemand.

Deux destins marqués par une époque terrible dont il ne reste plus beaucoup de témoins.



La forme en chapitre très courts 1 page, 2 pages, jamais plus de 5 pages m'a surpris.

Peu l'habitude de cette façon d'écrire surtout après avoir lu des auteurs comme Roth, Harisson ou Proust et d'autres.

Cela donne un rythme certain, mais je ne suis pas sûr que découper ainsi un roman apporte beaucoup.

Mais semble-t-il, d'après ce que j'ai lu quelque part, telle est l'écriture des auteurs d'aujourd'hui.

Pas sûr que cela soit une évolution favorable.



Ce livre a reçu beaucoup d'éloges dont le prix Pulitzer.

Je ne pense pas que cela aurait été mon choix même si je reconnais à ce roman beaucoup d'intérêt.
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La cité des nuages et des oiseaux

Au centre de ce roman, un manuscrit grec ancien écrit par Antoine Diogène dans lequel sont racontés les péripéties et voyages étonnants de son héros, Aethon. Cet ouvrage est un trésor fragile et hélas bien abîmé qui a traversé les siècles, et se voit « confié », avec sa cité fabuleuse des nuages et des oiseaux, à chacun des cinq personnages, comme un fil rouge qui les relie les uns aux autres : Omeir, Anna, Zeno, Seymour et Konstance. Ils vivent tous à des époques et dans des lieux bien différents, entre Constantinople et Lakeport, du Moyen-Âge à un futur lointain. Et on comprend, au fur et à mesure de la lecture, le lien qui se créé entre chaque personnage du roman.



Il est question ici de la transmission d’un récit et du pouvoir des livres. Une grande leçon sur la fragilité de la transmission, sur le roman et sa grande force lorsque les lecteurs s’en font les ambassadeurs et les protecteurs. Lecture indispensable.



Chaque personnage est attachant, chaque histoire est passionnante. Tout est raconté avec beaucoup d’émotion. Anthony Doerr est un conteur-né, qui m’avait déjà beaucoup remuée il y quelques années avec « Toute la lumière que nous ne pouvons voir ».

Il m’a à nouveau happée dans cette histoire à nulle autre pareille. Les chapitres sont assez courts, donnant envie, à chaque fois qu’on en termine un, de passer au suivant. Jusqu’à ce qu’on finisse ce gros roman sans voir le temps passer. Je pense que tous ces personnages m’accompagneront longtemps.
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

C'est en regardant la série Netflix que j'ai su qu'il existait le roman. Et la série est bien loin du récit.



Un roman où l'on suit deux destins : Marie-Laure jeune française aveugle et Werner, jeune orphelin allemand. Ils sont liés sans le savoir par la radio. Leurs chemins ne se croiseront que quelques heures.



On suit de manière parallèle la jeunesse de ces deux protagonistes : l'une fuyant l'Occupation et découvrant la Résistance, l'autre se faisant embrigader par les Jeunesses Hitlériennes.



Un beau roman qui fait parfois froid dans le dos.

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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Août 1944, le destin de deux jeunes : l’un, d’une jeune fille aveugle réfugiée avec son père, dans la ville de Saint-Malo, devant la difficulté d’approvisionnement à Paris, et l’autre, d’un jeune homme avide de connaissances, orphelin habitant près de la ville d’Essen. Un destin parallèle pendant un certain laps de temps qui aboutira à une rencontre pour le moins désirée, pendant la période de libération de la ville maritime.



Difficile d’appréhender la vie de ces adolescents, qui augure d’une vie pleine de sacrifices, d’incompréhension de la situation sociale, aussi Werner Pfennig choisit-il d’intégrer alors une école d’élite, une école d’abnégation – sans aucune alacrité –, dont le seul mot d’ordre est : La nation sera votre seule et unique raison de vivre. En effet, facile à exprimer mais point de réflexion pendant cette période, où l’injonction permanente était, la disparition de l’unité pour la gloire du groupe ! Werner part donc sur différents fronts de guerre, sur lesquels l’ignominie survole la noria des horreurs commises par la sempiternelle folie des hommes.



Quant à Marie-Laure Leblanc, souffrant d’une cataracte congénitale inopérable, elle arrive à se prendre en charge, grâce à l’appui de son père – serrurier au Muséum d’histoire naturelle – qui en permanence l’initie, notamment, à la connaissance de la famille des mollusques et qui deviendra bien plus tard l’objet d’un professorat. Peut-être que la lecture en braille du roman de Jules Verne : Vingt mille lieues sous les mers, ont permis cette symbiose.



Un formidable conte que Anthony Doerr, prix Pulitzer en 2015, d’une plume légère arrive à nous faire saisir les difficultés, les atrocités subies par les uns et les autres. Certes il n’est pas question d’oublier mais d’admettre déjà le pardon ! Et malgré tout, dans ce contexte spécifique, l’esprit s’élève tant l’auteur, parsème d’échappatoires avec des envolées sur la houle et les couleurs des vagues de l’océan, sur la faune ornithologique, sans oublier, bien sûr, la partie historique intra-muros de Saint-Malo. Bref chacun, arguant de sa personnalité, sera plongé, dans le bruit et la fureur des bombardements, puis survolera d’une tranquille ataraxie les remparts de cette éminente cité maritime.



La lumière existe-t-elle au bout du tunnel de l’ineffable ?


Lien : https://bookslaurent.home.bl..
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La cité des nuages et des oiseaux

La construction du récit pourrait en rebuter plus d'un, ce serait dommage, car les histoires et personnages sont très prenants et intéressants. La quête est poétique, l'écriture travaillée et fluide, les ambiances bien posées, les sujets traités nombreux, avec subtilité pour la plupart. Ce fut une lecture riche, exigeante et assez remarquable !
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La cité des nuages et des oiseaux

J’avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans ce roman choral, écartelée entre des personnages et des histoires se déroulant dans des lieux et des périodes on ne peut plus dissemblables.

Et pourtant, petit à petit, la magie a opéré, les pièces du puzzle ont commencé à s’assembler, et j’ai terminé ma lecture quasi en apnée, plongé dans ce récit aussi foisonnant que la vie.



Car il s’agit bien de cela : de notre vie, de notre condition humaine. Des rêves qui nous soutiennent, mais qui nous éloignent aussi du bonheur, qui nous entrainent parfois vers l’enfer, alors que le paradis est bien ce jardin imparfait que nous avons sous les yeux.



L’auteur nous dit qu’il a conçu ce roman comme un hommage à l’univers des livres, et c’est bien de cela qu’il s’agit. Les livres nous sauvent, car c’est dans l’écrin de leurs pages fragiles que se cache notre vérité.

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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Regards croisés de deux adolescents sur la seconde guerre mondiale. Werner, adolescent allemand surdoué en math et en physique, est sélectionné pour devenir une élite nazie et a la chance de se former dans les meilleures écoles du reich. Marie-Laure, adolescente française aveugle, fuit Paris avec son père qui tente de mettre à l'abri un des trésors du musée qui l'emploie. Magnifique roman sur l'engagement, les illusions, désillusions, le courage et la lâcheté sur fond de siège à Saint-Malo.
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Il m’aura fallu plusieurs semaines (voire mois, voire années) pour enfin terminer ce livre, mais je ne regrette pas d’avoir persévéré car cela s’est avérée être une belle découverte.



J'ai mis du temps à me plonger pleinement dans l'intrigue car celle-ci met du temps à se développer. Bien que les chapitres soient très courts et alternent deux points de vue différents, j’avais l’impression de ne pas avancer.



Puis au fur et à mesure, j’ai compris : le temps est long car la guerre était longue. Quand on pense à la guerre, l'image qui nous vient immédiatement à l'esprit est celle des combats, des batailles, des tirs et des explosions dans tous les sens. Cependant, la réalité de la guerre était surtout marquée par l'attente. De longs jours, mois, années d’attente, à vivre dans la peur de ne pas savoir ce qui va nous tomber dessus, l’angoisse d’être arrêté sans raison, d’être envoyé ailleurs, loin des siens, loin de tout. Anthony Doerr nous faire ressentir la guerre dans sa plus lente atrocité.



Puis comme je le disais plus haut, l’auteur a fait le parti pris de décrire cette guerre de deux points de vue : celui d’une jeune fille française dans la résistance, et celui d’un garçon allemand condamné à s’engager dans l’armée pour sauver sa peau. Mais l’on n'est pas non plus dans un récit manichéen : l’auteur souligne avec justesse qu'il n'y a pas les bons d'un côté et les méchants de l'autre. Que la vie est plus compliquée que ça, que la peur et la pression nous font faire des choses terribles, que la cruauté est partout, mais la bonté également.



C’est donc un très beau récit qui mérite que l’on s’y accroche !
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Autant j ai adore la cité des oiseaux autant ce pavé m à ennuyé .

Le roman raconte l histoire parallèle d une jeune aveugle française et d un jeune génie allemand un peu avant et pendant la seconde guerre mondiale avec comme fil rouge l impossible enquête pour retrouver un diamant exceptionnel qui porterait malheur à son détenteur, le tout parsemé d une lecture en braille par l héroïne de passages de 2000 lieux sous les mers censes « éclairer » les événements qu elle vit

Je n ai pas trouvé cette lumière si présente dans le roman et ai même trouvé le tout un peu simpliste même si on suit pendant toute la première partie du roman avec intérêt l’adolescence très différente de ces jeunes gens

Mais 600 pages jusqu’à la libération de St Malo dans laquelle se retrouve les deux héros (pour une pseudo histoire d amour de moins de 24h!) et le chasseur de diamant c est long, vraiment long
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La cité des nuages et des oiseaux

Cette oeuvre est poétique, complexe et bien écrite ou traduite. J'ai aimé entendre la mélodie des mots, je l'ai écouté en audio.

Par contre, j'ai eu de la peine à me retrouver dans ces différentes histoires et époques. D'habitude, j'aime bien les romans chorals avec différentes temporalités mais dans celui.ci, je n'ai certainement pas tout compris. Le mélange des genres, ce n'est pas trop pour moi.

Au début, je devais m'accrocher et me concentrer, puis j'ai lâché prise, j'ai juste entendu la musique des mots et tout s'est imbriqué.

Mon avis sera donc mitigé. Je ne partage pas l'enthousiasme des la majorité des lecteurs mais je pense que l'auteur mérite d'être lu. Je vais lire un autre titre pour me faire une idée plus positive.
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La cité des nuages et des oiseaux

Pour une fois que je me suis fiée à la critique et à la jaquette qui entoure le livre...Que dire ? Pour être tout à fait honnête, je suis allée au bout car je l'ai acheté neuf et au prix fort et que je devais me forcer à le finir pour à minima amortir mon achat.

L'idée est bonne pourtant, l'idée qu'un manuscrit puisse être un lien entre les personnes et les époques, qu'il traverse le temps et qu'il serve de guide de vie à ceux qui le lisent, c'est le teasing qui m'a motivée dans mon achat.



Mais je me suis ennuyée, je ne suis pas parvenue à m'attacher vraiment aux personnages tant la plupart des chapitres sont courts...pourtant il est assez gros ce livre. Bref je suis vraiment déçue, c'est un article de consommation rapide et sans profondeur n'en déplaise à ceux qui l'ont aimé et dont je respecte tout à fait les gouts et avis...

il reflète la société d'aujourd'hui où on ne fait que lister des événements et des faits puis de passer à autre chose.

Dommage
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La cité des nuages et des oiseaux

Un conte étrange écrit par Diogène a été retrouvé à de multiples reprises au cours de l’Histoire. XVe siècle à Constantinople ; début XXIe à Rome ; XXIIe dans l’espace… Un conte étrange qui va fasciner une poignée d’individus à travers le temps et leur apporter le souffle dont ils avaient besoin dans leurs vies ballottées par les évènements.



J’ai commencé ce livre il y a plus d’une semaine, mais les évènements actuels me l’ont fait mettre de côté, car oui, certains personnages se retrouvent mêlés à la guerre, à l’intolérance religieuse et face à de telles thématiques, je me suis dégonflée comme une outre. Et puis j’ai picoré, toute la semaine, sans vraiment me poser avant de le reprendre hier et de le dévorer d’une traite ! Et j’ai bien fait tant ce roman est d’une beauté incroyable ! Défilent sous nos yeux les vies de cinq personnages à travers le temps, l’espace, tous bouleversés à un moment donné par une même histoire. Les récits sont enchâssés, mais l’ordre chronologique permet de les suivre sans difficulté. C’est un hymne à la puissance de l’imagination littéraire, celle qui nourrit, console, mais également une ode à la douceur, à la compassion à travers des personnages comme Zeno ou Omeir.

Un magnifique coup de cœur que je ne suis pas prête d’oublier !
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Un roman pétri de bonnes intentions mais que j'ai trouvé la plupart du temps presque naïf, pour ne pas dire mièvre, même si je qualifierai plutôt ainsi son adaptation sur Netflix, beaucoup trop dans le pathos.

Je m'attendais à beaucoup mieux et donc je suis forcément très en-deçà des espérances que j'avais bâties.
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Choisi au départ pour son prix Pulitzer (oui, je sais, ce n'est pas un bon critère, mais quand on hésite à choisir comme ce fut le cas alors !), je me suis forcé à persévérer pendant une bonne centaine de pages, comme lu dans une autre critique d'ailleurs.

Et le récit est devenu de plus en plus prenant, jusqu'au bout. Pas de regrets et très bonne surprise.

Chose curieuse, je me suis persuadé inconsciemment au fur et à mesure de la lecture que les deux personnages principaux allaient se rencontrer à l'issue de cette histoire.



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La cité des nuages et des oiseaux

Tout part d’une idée intéressante : un livre qui lierait le destin de plusieurs personnes dans le passé, le présent et le futur.



Une idée donc intéressante, mais une réalisation qui m’a rendue perplexe, principalement par ce choix de morceler autant le récit de tous les personnages. On alterne trop souvent entre les 2 personnages de présent + celle du futur et les 2 personnages du passé ce qui rend parfois les wagons difficile à rattacher. En plus de ça, chaque “parties” commencent avec un extrait du livre, livre dont je n’ai jamais réussi à comprendre l’histoire puisqu’elle est encore plus découpée que l’histoire des personnages et qu’il se passe donc beaucoup de choses entre deux passages (sans compter les passages où il manque des mots…).



J’aurais aimé m’attacher plus aux personnages et m’imprégner réellement de leurs histoires mais la narration m’en a empêché, et c’est assez frustrant pour être honnête. Finalement, il n’y a qu’un personnage, Zeno, auquel j’ai vraiment adhéré parce que son histoire me parlait le plus. C’est le personnage du futur qui m’a finalement le moins apporté : elle même n’y est pour rien, elle est plutôt agréable à suivre mais le déroulement de son histoire et sa conclusion ne m’ont pas du tout plu et je n’ai absolument pas compris le choix de l’auteur. J’ai failli réussir à adhérer aux personnages du passé par leurs histoires, surtout au début de l’ouvrage, mais finalement, j’ai perdu l’intérêt parce que les points qui m’intéressaient le plus ont été occultés.



Peut-être ai-je trop entrecoupé ma lecture, peut-être n’ai-je tout simplement pas été entraînée par la narration et le rythme. Je voulais vraiment aimer ce roman mais, c’est un sentiment mitigé qu’il me laisse.
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La cité des nuages et des oiseaux

Un vrai chef d'oeuvre comme l'indique le bandeau...C'est un livre complexe, qui fait voyager dans le temps et dans l'espace et qui est impossible à lâcher. J'ai été hypnotisé par l'univers que l'auteur arrive à créer, par la beauté des personnages et leur sensibilité. Il me marquera longtemps.
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La cité des nuages et des oiseaux

Je suis totalement d'accord avec le bandeau rouge accroché à ce livre : "Un chef d'œuvre". J'ai été complètement happé par ce roman, pourtant si déroutant au début.



On suit simultanément l'histoire de 5 personnages à travers le monde et le temps : Konstance, Anna, Omeir, Zeno et Seymour. Leurs histoires sont entrecoupées de chapitre du codex, nommé "La cité des nuages et des oiseaux " traduits par Antoine Diogène.



La lecture est un peu difficile au début, on alterne un chapitre par personnage, et il est difficile de comprendre où l'auteur veut aller. Mais les histoires sont toutes intéressantes et je me suis rapidement prise d'affection pour tous.



C'est difficile d'expliquer plus sans rentrer dans les détails et perdre un peu de la magie de ce livre. L'intrigue monte en puissance au fur et à mesure, pour nous laisser dans un état de bonheur et de satisfaction à la fin.



Énorme coup de cœur que je recommande à tous. Je conseille simplement de se plonger dedans et de ne pas s'éparpiller avec d'autres livres car les sous intrigues sont déjà complexes à suivre.
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