"Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous avons."
Il faut vous montrer intraitables à l'égard de votre propre négativité.
J'ose. Je serai critiqué ? Je serai critiqué. J'aurai peut-être des souffrances, les choses ne se passeront pas comme je le souhaite. Tout est dangereux, On ne peut pas vivre pleinement sans aucun danger. On ne peut pas vivre la sagesse si l'on refuse de vivre.
Ces petites choses qui n'ont l'air de rien produisent de grands effets puisqu'elles vous mettent en paix avec vous-même et vous rendent votre liberté d'esprit.
Le sens ultime de la vie humaine n'est pas avoir, mais être.
Fondamentalement, essentiellement, la méditation est un non-faire, un non-agir, un non-effort. Ceci ne doit jamais être oublié.
...l'essentiel n'est pas d'acquérir ce qui nous manque - la sagesse, la maîtrise de soi, l'amour universel, la supra-conscience - mais de faire disparaître ce qui est en trop.
Il n'y a aucun limite à l'insatisfaction des désirs.
Et l'amour de nous-mêmes, pas la vanité ou l'amour-propre, le véritable amour viendra par la reconnaissance : "Oh, j'ai été enfin capable de me rendre heureux."
Même si un bonheur vous vient de l'extérieur, comment avez-vous réussi à l'attirer et à le recevoir ? D'une part vous l'avez attiré et d'autre part vous l'avez reçu. Il arrive que nous attirions une grâce, une bénédiction de la vie sans être capable de la recevoir ; elle nous est donnée mais nous n'en faisons rien.
Plus ou moins refoulé, nié, censuré, le passé bouillonne tout le temps en vous et il se projette sur le futur immédiat ou lointain.